L’espace contemporain galerie d’art, 5175, av. Papineau, présentera du 20 mars au 1er avril 2012, « Pour la forme », une exposition individuelle de Jocelyn BLOUIN.
L’espace contemporain galerie d’art, 5175, av. Papineau, présentera du 20 mars au 1er avril 2012, « Pour la forme », une exposition individuelle de Jocelyn BLOUIN. Le vernissage aura lieu, dimanche le 25 mars de 14h à 16h. Vous y êtes cordialement invités. Le public aura accès à la galerie aux heures suivantes : mardi et mercredi de 12 h à 18 h, jeudi et vendredi de 12 h à 20 h, samedi et dimanche de 12 h à 17 h.
EXPOSITION « POUR LA FORME »
Jocelyn Blouin nous présente une tranche de son continuum artistique dans l’élaboration de panoramas urbains dans une exposition où se succèdent des œuvres dont il a gardé les seules lignes essentielles. Le cube, la ligne, la forme, l’aplat de couleurs riches aux agencements parfois surprenants s’y retrouvent, mais sans ajout d’aucunes fioritures.
D’un tableau à l’autre, tout doucement, évoluent des scènes urbaines, à travers les formes simples ou complexes sous différents jeux d’angles. Il est le metteur en scène de perspectives aux points de fuite amusants avec des jeux d’ombre et de lumière orchestrés dans une géométrie personnelle.
L’exposition « Pour la forme » mène à une destination où l’homme est absent, mais dont la présence, intellectuelle , se fait sentir par le rappel adroit de la vie contemporaine.
L’ARTISTE – Jocelyn BLOUIN
Jocelyn BLOUIN vit et travaille dans la ville de Québec. Artiste autodidacte acharné, il peint depuis toujours, mais c’est à l’âge de quarante ans, qu’il ose montrer son travail en public. À sa grande surprise, il attire alors l’attention d’acheteurs, de collectionneurs et de critiques. Depuis ce jour, ses œuvres ont trouvé des cimaises en permanence dans différentes galeries du Québec et de l’Ontario.
Sa recherche artistique se définit sur deux plans à la fois. Tout d’abord par une approche figurative avec la perspective et la justesse des lignes, ainsi qu’une précision des différentes teintes que l’on retrouve dans les zones éclairées et celles ombragées. Et de l’autre côté, un autre regard, un plissement des yeux nous transporte dans l’abstraction. Il n’y a alors que de grandes masses de couleurs qui s’appellent, se soutiennent en douceur ou qui s’enfilent dans de grands carambolages. Aucune de ces deux approches n’a de préséance l’une sur l’autre. Elles se chevauchent et s’intègrent au tableau au fur et à mesure du processus de création
