Riot and the Blues Devils : 100 % blues-a-billy, fait au Québec

 

 Riot and the Blues Devils
Riot and the Blues Devils

Riot and the Blues Devils, c’est la réunion de trois musiciens chevronnés : Riot au chant et à la guitare, Big Papa Mike à la basse et Mark DiClaudio à la batterie.

Plaçant délibérément le blues au cœur de leur musique, qu’ils assaisonnent de rockabilly, de rock’n’roll et d’un soupçon de country, ils la définissent comme du « blues-a-billy ». Enregistré live en studio, pour l’authenticité, No one to blame but me présente, à travers douze compositions originales, un blues solide et efficace, accompagné sur certains titres par la guitare complice de Jimmy James.

Alors qu’il est guitariste dans plusieurs groupes, dont les Vilains Pingouins, Riot décide en 2001 de fonder le sien. Ce sera Riot and the Rhythm Devils, dont le répertoire comprend des compositions originales et des reprises de musiciens particulièrement inspirants : Danny Gatton, Merle Haggard, Muddy Waters, Buck Owens, Roy Buchanan… Le bassiste Big Papa Mike le rejoint l’année suivante et un premier album éponyme sort en 2005. L’arrivée du batteur Mark DiClaudio, en 2006, consolide définitivement la formation, qui fait paraître un deuxième album, Tough Times, en 2008 (où l’on trouve l’incroyable reprise de Purple rain de Prince).

Riot, Big Papa Mike et DiClaudio fréquentent assidument les grands festivals de blues, du Toronto StreetFest au Festival International de Blues de Mont-Tremblant, ou le Festival International de Jazz de Montréal. Ils donnent de nombreux concerts dans tout le Québec et font les premières parties de Jeff Healey et Ronnie Baker Brooks, entre autres.

C’est lors de la sortie du troisième album que le groupe se rebaptise Riot and the Blues Devils. No one to blame but me : voici l’œuvre de trois musiciens diaboliques qui font un blues d’enfer.

Dates de spectacles :

Montréal • 20 mars | Petit Medley
Gatineau • 28 mars | Petit Chicago