The Knocking Within Un duo de danse-théâtre

ANIKAI Dance Theatre-The Knocking Within
ANIKAI Dance Theatre-The Knocking Within

La troupe ANIKAI Dance arrive à Montréal pour la première fois pour présenter The Knocking Within. Après avoir retourné d’une tournée en Inde, ou cette création jouait seulement au public la place debout, en recevant des critiques élogieuses, The Knocking Within se jouera au MAI, comme partie de Festival Fringe Montréal, avant retourné à Boston pour un retour prolongé. The Knocking Within a été réalisé par les danseurs Wendy Jehlen et Pradhuman Nayak avec l’éclairage par Stephen Petrilli.
Inspiré par la recherche de neurosciences de sommeil et d’anthropologie de rêves, The Knocking Within met ensemble un portrait de deux amoureuxs et les cauchemares qui les tourmentent, en dévoilant la violence sous la surface. Avec des influences de Capoeira à Bharata Natyam, de la langue des signes américaine à la poésie et Kalaripayattu, de la danse africaine d’oeust aux styles contemporaines et divers, cette création mélange une vocabulaire de mouvements vertingineuse, tissé ensemble pour faire une nouvelle langue de corps. Elle pose des questions sur les liens entre les formes d’art, les cultures, même les méthodologies.
The Knocking Within utilise les textes de Shakespeare, sans doute le dramaturge le plus reconnaissable dans la langue anglaise au monde, parmis les extraits de Hamlet, Macbeth, Othello, Twelfth Night, Titus Andronicus et ses sonnets, pour créer une remise en place de
théâtre, et la prendre vraiment dans le domaine de communication visuelle. Les textes sont
présents mais en même temps implicites, en créant une tension entre la permanence de mot
écrit, la persistance des histoires culturelles et la force immanente de corps en remuant en
espace.
Ces textes, éxaminés dehors le contexte et réalisés pour le plupart en hindi ou en langue des
signes américaine, évoquent des récits complets avec une seule ligne, un mot, une geste. Le
défi pour le public est d’utiliser ces sources, mais de ne les voir pas comme des vrais
personnages shakespeariens – comme Macbeth, Othello, Ophelia – mais plutôt les voir
comme des amoureuxs inconnus qui peuvent être n’importe qui.
La création était joué en Inde juste après un viol collectif horrifique et un meurtre qui ont
provoqué une manifestation contre la violence effrénée vers les femmes. La directrice
artistique de ANIKAI Dance, Wendy Jehlen, aborde cette violence dans cette pièce, << Très
souvent, on considère ces événements complètement séparés de nous-même. J’espère que
le public rapprochera viscéralment avec les personnages et transporter cette compréhension
à leur engagement avec la violence mondiale. >>
Au passé, le public a réagi fortement à cette relation mal engagée sur scène. Une personne
d’entre lui avait dit << The Knocking Within était une expérience passionnée et personnelle. Il
y avait un moment pendant le spectacle quand j’ai remarqué une douleur dans mes doigts.
C’était à ce moment là que je me suis rendu compte que mes mains étaient agrippées
ensemble, mes doigts entrelacés, tout serré contra mon alliance. Je n’étais totalement pas
conscient de ma réponse physique jusqu’au moment que j’ai réalisé que mes doigts étaient
engourdis. >>
The Knocking Within
ANIKAI Dance Théâtre au Festival St. Ambroise Fringe, Montréal
MAI (Montréal, arts interculturels), 3680 rue Jeanne-Mance, la durée: I heure
Les dates: samedi, le 15 juin 21:45, dimanche, le 16 juin 22:30, lundi, le 17 juin 19:45, jeudi, le 20
juin 16:45, vendredi, le 21 juin 20:00, dimanche, le 23 juin 14:45
Les billets: $8.00/$5.00 tarif étudiant/personnes âgées (+ $2, le service)
L’achat: 514 849-FEST (3378), sur le web www.montrealfringe.ca, au guichet au Parc FRINGE
(au coin de Rachel/ St-Laurent) ou au MAI, au moins qu’une heure avant de spectacle.
www.anikai.org

Clique sur le clip promo pour savoir plus: The Knocking Within

Avec ANIKAI Dance, les textes de Shakespeare sont examinés dehors le contexte et réalisés pour le plupart en hindi ou en langue des signes américaine. Ils évoquent des récits complets avec une seule ligne, un mot, une geste.

Photo: courtoisie