34e édition du Festival International de Jazz de Montréal

34e édition du Festival International de Jazz de Montréal
34e édition du Festival International de Jazz de Montréal

Un des premiers événements nord-américains d’envergure à atteindre la carboneutralité, le Festival International de Jazz de Montréal est fier de se distinguer par ses initiatives en développement durable et ses mesures responsables mises en place depuis plus de 25 ans. Ces initiatives se manifestent dans tous les secteurs de l’organisation : utilisation de produits nettoyants bio, de serviettes, de verres et d’assiettes biodégradables dans les lieux de restauration, impression des outils promotionnels sur du papier recyclé, récupération de l’eau de pluie pour l’arrosage des plantes, compostage, achat d’aliments locaux (90 à 95 % des aliments ont été achetés à moins de 40 km de leur lieu de distribution), ou encore recyclage. Ainsi, en moyenne, 34 tonnes de matières recyclables sont traitées chaque année sur le site du Festival en collaboration avec le Consortium Écho-Logique. Le Festival a aussi mis en place en 2009 des mesures de réduction à la source des matières utilisées, c’est-à-dire qu’il planifie stratégiquement ses besoins réels afin de maximiser ses résultats. L’ensemble de ces actions a permis de réduire de moitié le nombre de déchets enfouis par rapport à l’an dernier et d’atteindre un taux de récupération de 69 %. Citons enfin la présence de l’Écho-Scouade pour sensibiliser les festivaliers et lesstationnements à bicyclettes sécurisés. De plus, en 2008, le Festival acceptait de participer à un projet piloté par Planetair mis sur pied en collaboration avec le Fonds d’action québécois pour le développement durable (FAQDD). Le projet en question a permis de développer une méthode de calcul des émissions de CO2 du Festival dans le but de produire un guide, des outils publics et des conférences de formation utiles à n’importe quel festival souhaitant réduire son empreinte carbonique. Grâce à ces mesures, au partenariat avec Rio Tinto Alcan et au programme de crédits compensatoires lié à la neutralité d’émissions de CO2, le Festival est carboneutre pour une 6e année consécutive.

Le Festival International de Jazz de Montréal a vu ses efforts en matière dedéveloppement durable récompensés de belle façon, cette année, lors du gala couronnant les gagnants de la 2e édition du concours Les Vivats, puisqu’il a été le lauréat du Grand Vivat remis par Loto-Québec à l’événement qui s’est le plus démarqué en matière de gestion responsable. Rappelons qu’en 2009, le Festival avait aussi gagné le prix du Tourisme durable des Grands Prix du tourisme du Québec.

On trouvera dans la section Questions pratiques, onglet Développement durable, le détail des nombreuses initiatives de développement durable — aussi bien environnementales et sociales qu’économiques — ayant été mises en œuvre au fil des années.

La promenade des artistes…

Sur la promenade des Artistes, qui longe le boulevard De Maisonneuve, plusieurs stations attendent les festivaliers. Avec son décor de trattoria italienne, Wienstein & Gavino’s (nouveauté cette année !) propose de savoureux mets italiens classiques : pâtes maison, pizzas faites sur place et, bien sûr, tiramisus. Pour se détendre et se rafraîchir, on trouvera tout ce qu’il faut au Bar Amarula et au Jazz bar Heineken. On pourra aussi découvrir la nouvelle application La Presse+ pour iPad au mobile La Presse+, profiter de la zone d’animation, ou encore vivre la nouvelle ambiance du Casino de Montréal avec l’expérience sensorielle proposée au camion l’Expérience Casino, et courir la chance de gagner un forfait souper au casino en participant à un petit jeu questionnaire !

… et de quoi se rassasier partout !

Le site du Festival a encore bien d’autres munitions pour rassasier les festivaliers assoiffés et affamés. Nouveautés cette année, L’Atelier d’Argentine propose des sandwichs de grillades argentines, tandis que SoupeSoup présente un grand choix de soupes froides, sandwichs et salades. On pourra aussi casser la croûte au Barbecue, aux chariots à hot-dogs, ou, pour une touche plus exotique, aux kiosques mangues en fleur ou porchetta et savourer des produits glacés Häagen-Dazs. Pour se désaltérer, plusieurs formules sont possibles, de l’ambiance décontractée duLounge Heineken aux comptoirs conviviaux des Jazz bars Heineken ou du Bistro Express SAQ, des terrasses accueillantes du Bar Terrasse, de la Terrasse Amarula ou des Bistros SAQ aux dégustations variées de porto au Kiosque Porto Cabral ou de café au Café Jura… Sans oublier la Fontaine Naya, alimentée à l’énergie solaire, un point de ravitaillement en eau de source où on peut remplir sa gourde ou sa bouteille réutilisable. Enfin, il y a la Terrasse Élixirs, la terrasse agrandie du Balmoral, le bistro au menu alléchant, située directement sur la place des Festivals, qui pourra accueillir les festivaliers en grand nombre, au soleil et en plein cœur de l’action !

Rappelons que tous les profits réalisés dans le cadre de la vente de tous ces produits sont entièrement consacrés au financement des activités gratuites du Festival, une société sans but lucratif. Trente-six pour cent des revenus du Festival proviennent ainsi des ventes au public, que ce soit à la billetterie, dans ses restos-terrasses ou encore avec la Galerie Lounge TD.

Circulation sur le site

Le site du Festival restera fermé à la circulation automobile de 18 h à 3 h, jusqu’au 8 juillet à 6 h. Pour planifier sa venue aux Festival et tout connaître sur les fermetures de rues, l’accès au site en voiture, à vélo, à pied, ou pour personnes à mobilité réduite : montrealjazzfest.com, onglet Accès au site.

Le Grand événement

Wax Tailor

Ce soir, 21 h 30, scène TD

Chaque année, le Festival réserve à son public au moins une méga soirée de party. Après avoir présenté les Champion, Bran Van 3000, Beast, Mister Valaire et Escort, pour ne nommer qu’eux, le Festival perpétue sa tradition festive en présentant un des DJ français les plus hot de l’heure, Wax Tailor, qui compte parmi les ténors de la scène électro internationale. Sa vivifiante et cinématique bourrasque trip-hop-hip-hop orchestral a mis le feu au Métropolis en 2010 (en 1re partie de Caravan Palace) et à L’Astral l’an dernier. Appuyé par de super invités spéciaux — Jennifer Charles, Charlotte Savary, Mattic, A.S.M. et Voice —, le brillant auteur-compositeur-producteur-manager utilisera cette fois tout son talent pour relever le plus cool des défis : faire danser des dizaines de milliers de personnes au Grand événement de mi-Festival ! Alors, qu’on se passe le mot : ce soir, c’est party !

Concerts à guichets fermés

Les concerts suivants affichent déjà complet :

Serena Ryder (ce soir, 19 h, Club Soda)

Dr. John & The Nite Trippers | Leon Russell (demain, 20 h — Théâtre Maisonneuve, PdA)

Vijay Iyer Trio avec Stephan Crump et Justin Brown (4 juillet, 18 h, Gesù — Centre de créativité)

The Cat Empire (5 juillet, 20 h 30, Métropolis)

Preservation Hall Jazz Band (5 juillet, 21 h 30 — Théâtre Jean-Duceppe, PdA)

Oliver Jones (5 et 6 juillet, 19 h — Cinquième Salle, PdA)

Spectacles en salle : encore d’excellentes places disponibles

Si plusieurs concerts affichent complet, des billets sont toujours en vente notamment pour les concerts suivants :

Thomas Enhco, solo-trio — ce soir, 19 h, Cinquième Salle, PdA — Sa dernière visite au Festival, en 2011, a laissé un souvenir ému aux bienheureux festivaliers. Pour renouveler le plaisir, et aussi pour nous présenter son dernier-né, Fireflies, le jeune pianiste et violoniste français varie les formules. En solo, il nous donnera un aperçu de son génie à l’état brut, qui lui a notamment valu le Django d’Or du Nouveau talent 2010. En trio, il sera accompagné de Chris Jennings à la contrebasse et de Nicolas Charlier à la batterie.

Vieux Farka Touré — demain, 19 h, Club Soda — Digne héritier du talent de son père, le légendaire Ali Farka Touré, Vieux Farka Touré trône parmi les plus grands noms de la musique du monde. Couronné du sobriquet de « Hendrix du Sahara », le guitariste et chanteur — qui n’a de vieux que le nom ! — se révèle aussi créatif que brillant en faisant tomber, d’une main de maître, les barrières entre blues malien, rock, reggae et soul. Un nouvel album solo dans les cordes, le voici au Club Soda, et nous voici aux anges.

Joel Miller et Honeycomb — demain, 18 h, L’Astral — Après avoir ébloui la critique avec son bijou de jazz acoustique, Swim, en 2011, Joel Miller fait un virage audacieux vers un jazz beaucoup plus épicé de musique du monde dans son dernier album produit cet hiver avec ses complices de Honeycomb. Le brillant percussionniste cubain Kiko Osorio, Rémi-Jean Leblanc à la basse et John Roney aux claviers se joignent au magistral saxophoniste ténor pour une envolée de rythmes fougueux teintés de cumbia, de funk et de bossa-nova. Un voyage au soleil tout en musique…

Marianne Trudel, Trifolia  4 juillet, 18 h, L’Astral — Derrière cette entité dynamique à trois feuilles, on trouve Marianne Trudel aux piano, wurlitzer, accordéon et voix, Étienne Lafrance à la contrebasse et Patrick Graham aux percussions : un trio palpitant de vie qui s’adonne à la liberté créative la plus totale. Au-delà des barrières stylistiques, mariant jazz, musique romantique et rythmes du monde dans un univers sonore riche et métissé, les 3 acolytes font paraître Le refuge en 2013 et nous comblent, entre-temps, d’un concert débordant d’inspiration passionnée.

Programme double : Lyle Lovett and his Acoustic Group | Chris Isaak and his musicians — 4 juillet, 19 h 30, Salle Wilfrid-Pelletier, PdA — Deux grandes premières visites au Festival ! D’abord, la figure culte de la scène alt-country, le chanteur et guitariste texan Lyle Lovett trace, depuis les années 80, un riche sillon qui s’étend au western swing, au folk et au jazz. Il survolera son éclectique répertoire avec une formation acoustique. Suivra le crooner-rockeur Chris Isaak, digne héritier de Roy Orbison et d’Elvis ? honorés sur son récent disque Beyond the Sun. L’artiste nous servira une impressionnante brochette d’immortelles, dont les superbesBlue Hotel et Wicked Game. Tout un doublé !

Alpha Blondy & The Solar System — 4 juillet, 19 h, Club Soda — Figurant parmi lesreggaemen les plus célèbres du continent africain, Alpha Blondy continue d’écrire sa légende aux 4 coins du globe. En tournée à travers le monde, le mythique, engagé et pacifiste chanteur s’arrête chez nous pour nous présenter son nouvel album, Mystic Power, sorti au printemps. Deux ans après avoir brassé le Métropolis lors de son dernier passage aux FrancoFolies de Montréal, Alpha Blondy et ses musiciens nous réservent un concert dans le cadre plus intimiste du Club Soda, pour une ambiance 100 % survoltée !

Martha Wainwright. Première partie : Dear Criminals — 4 juillet, 20 h, Théâtre Maisonneuve, PdA — Toute 1re tête d’affiche pour Martha Wainwright depuis 2006, alors que la passionnante auteure-compositrice-interprète avait brillé au Métropolis. Pour l’occasion, la benjamine du clan McGarrigle-Wainwright rattrapera le temps perdu en nous présentant des pièces de son excellent nouvel album, Come Home to Mama, quelques extraits de la trame sonore de l’émission télé Trauma et peut être un peu de Piaf ! De belles retrouvailles avec cette artiste entière. En lever de rideau, le projet folk sombre et sensuel de Frannie Holder (Random Recipe) et Charles Lavoie (Lackofsleep, b.e.t.a.l.o.v.e.r.s), qui oeuvrent ensemble sous le nom de groupe Dear Criminals.

Benoît Charest et le Terrible Orchestre de Belleville présentent les 10 ans desTriplettes de Belleville — 4 juillet, 21 h 30, Théâtre Jean-Duceppe, PdA — Une décennie après l’avoir portée à la scène, Benoît Charest fait revivre la musique du filmLes Triplettes de Belleville avec une remarquable brochette de collaborateurs (Dan Thouin, Jim et Chet Doxas, Dany Roy, Dave Martin et Simon Meilleur). Attendez-vous à être transportés en pleine atmosphère d’avant-guerre des années 1930, sur fond de jazz et d’ambiances de cabaret, avec en prime un méchant swing ! Sans oublier la voix de Betty Bonifassi (présente par ordinateur) et le long métrage projeté derrière les musiciens. La totale, quoi.

Alex Cuba  5 juillet, 19 h, Club Soda — Il est né à Cuba mais vit au Canada, et sa musique se promène allégrement entre les deux lieux. Un brin de soul latino et un brin de pop-rock, ça donne un doux mélange de mélodies sucrées, de rythmes accrocheurs et de ponctuations électriques. Avec plusieurs Juno en poche, dont meilleur albumworld, et des scènes partagées avec Seu Jorge, Feist et Cesaria Evora, Alex Cuba nous réserve le répertoire de son nouvel album, Ruido En El Sistema / Noise in the System, en primeur montréalaise !

Des artistes à découvrir lors des spectacles extérieurs gratuits :

les programmateurs du Festival vous suggèrent…

Ce soir, 2 juillet

Bob Walsh — 21 h et 23 h, scène Loto-Québec — La simple évocation de son nom rappelle presque toute l’histoire du blues québécois à compter des années 1970. Véritable légende vivante, le chanteur et guitariste Bob Walsh brûle toujours du feu sacré du blues, comme en fait foi son plus récent album, There’s a Story Here. Un artiste à voir et revoir encore et encore !

Carmen Souza — 20 h, scène Rio Tinto Alcan — Il y a 2 ans, cette Ella Fitzgerald du Cap-Vert nous régalait de son 1er tour de chant au Festival, soulevant derrière elle une vague d’enthousiasme. En créole, en anglais et en portugais, la belle à la voix légère et virtuose débarque avec son plus récent album, Kachupada, où le jazz se mêle aux rythmes traditionnels. Une superbe découverte, tout en fraîcheur et en sensualité.

Roma Carnivale vs Gypsy Kumbia Orchestra — 2 et 6 juillet, 17 h, place des Festivals — Voici pour la 3e année les Rencontres festives : deux groupes, après avoir joué chacun à leur extrémité de la place des Festivals, se rejoignent en plein centre pour s’affronter musicalement dans la joie — et la foule ! Deux brass bands d’influence gypsy, Roma Carnivale — musiciens montréalais qui donnent dans la tradition serbe — et Gypsy Kumbia Orchestra, qui propose une irrésistible fusion de percussions colombiennes et de fanfares gitanes d’Europe de l’Est, se rencontrent. Ça va chauffer !

Jai Nitai Lotus — 22 h, scène Bell — Rappeur et producteur montréalais basé à N.D.G., Jai Nitai Lotus est l’auteur du très abouti Something You Feel, disque de hip-hop shooté aux hormones R&B et soul qui, par ses ambiances crépusculaires, évoque l’Anglais Tricky. Bien entouré d’une impressionnante bande de collaborateurs riche en talent local ? dont Karma Atchykah, « Sam I Am » et les membres de KVC —, JNL joue sans contredit dans la cour des grands.

Demain, 3 juillet

Kellylee Evans — 20 h et 22 h, scène Rio Tinto Alcan — Kellylee Evans continue de surprendre : après nous avoir séduit avec Nina, disque hommage à Nina Simone couronné d’un Prix Juno en 2011, la chanteuse se tourne vers le hip-hop et le R&B sur I Remember When, un disque qui s’inspire entre autres de Kanye West, Eminem et… Stromae, dont elle a adapté le tube Alors on danse ! Un virage qui lui sied à merveille…

Nick Waterhouse — 21 h et 23 h, scène TD — Nick Waterhouse, Californien de même pas 30 ans, nous plonge tout droit dans le Memphis des années 60 avec son 1er album, Time’s All Gone, qui fait fureur en Europe. Sa musique renoue avec l’âge d’or du R&B et nous offre des pépites qui respirent l’âme de Muddy Waters et dont les rythmes nous couvrent de frissons. Sa 1re visite au Festival ne risque pas de passer inaperçue !

Pugs & Crows — 19 h, scène CBC/Radio-Canada — Quintette basé en Colombie-Britannique, Pugs & Crows propose un jazz frais et vibrant se distinguant par son parc à instruments atypique, où le violon tient un rôle prépondérant. Il s’agit d’une 1reexpérience au Festival pour le groupe qui a remporté le prix JUNO Album instrumental de l’année 2013 grâce à Fantastic PicturesEn lice pour le Grand Prix de Jazz TD.

Des rendez-vous nocturnes au Bistro Le Balmoral

Tous les soirs dès 22 h, la série Musique au Balmoral proposera des concerts gratuits de 45 minutes sans entracte aux festivaliers. Figurant parmi les meilleurs guitaristes de sa génération, Stéphane Tellier s’installera ce soir pour un duo de haut vol avec un autre as de la 6-cordes, réputé pour sa maîtrise du fingerstyle : Dan Livingstone. Les 3 et 4 juillet, Shlomo and Julie leur succèderont avec leur sympathique mélange de folk, de blues acoustique et de ragtime. La série s’achèvera en compagnie de Viva Nova les 5 et 6 juillet, avec notamment le chanteur, guitariste, percussionniste et claviériste Micäel Lüssi, dont le répertoire se compose de jazz brésilien, de rythmes entraînants et de groove élégant.

Des soirées enflammées — et gratuites ! — à L’Astral et au Savoy

Dès minuit, les noctambules pourront lâcher leur fou sur la piste de danse de L’Astral ou du Savoy du Métropolis ! L’Astral s’enflammera jusqu’aux petites heures lors de la série Open House, qui accueillera ce soir et demain le Français S. MOS & Friends,installé aux claviers, platines et autres machines pour marier les meilleurs flows rap aux plus grands rythmes jazz. Le duo franco-anglo le plus hot de la scène reggae-dub de Montréal, Sud-West Ghostbeard & Poirier, prendra le relais du 4 juillet au 7 juillet avec un mot d’ordre : faire danser jusqu’à s’en déboîter les hanches. De côté de la série Nightcap Heineken au Savoy, on verra ce soir et demain la formation montréalaise forte en groove Afrodizz, spécialisée dans l’afrobeat et le funk carburant à l’énergie pure. Papagroove fermera la marche du 4 au 7 juillet avec des rythmes fous tout juste sortis de son dernier album, Civilized Ghetto, pour groover et danser !

Changements à la programmation

Le concert de Sharon Jones (Sharon Jones & the Dap-Kings, invités spéciaux : James Hunter et ses musiciens) prévu le mercredi 3 juillet à 20 h 30 au Métropolis a étéannulé.

Les concerts des sœurs Katia et Marielle Labèque programmés les 4 et 5 juillet, à 19 h, à la Maison symphonique de Montréal, ont été annulés en raison de difficultés logistiques insurmontables.

Le groupe australien The Cat Empire (première partie : Colin Moore), donnera un concert supplémentaire ce soir, 20 h 30, au Métropolis, qui s’ajoutera à celui déjà prévu le 5 juillet, à la même heure, au même endroit.

La série Les Envolées du Festival présenteront les combos universitaires sur la Grande-Place du complexe Desjardins jusqu’au 5 juillet, puis sur la scène CBC/Radio-Canada les 6 et 7 juillet.

Pour son concert prévu ce soir à 21 h 30 au Théâtre Jean-Duceppe, Kurt Rosenwinkel viendra en Quartet avec Aaron Parks, Kendrick Scott et Ugonna Okegwo, au lieu d’Eric Revis et Justin Faulkner, comme annoncé dans le programme.

Nouveau concours photo : Zoom sur le Festival de Jazz

Le Festival inaugure cette année un nouveau concours destiné aux mordus de photo, en collaboration avec Lozeau : Zoom sur le Festival de Jazz. En partageant avec nous leur vision du festival, les participants courent la chance de gagner 7000 $ en prixCanon ! Comment ? En remplissant le formulaire disponible sous l’onglet « Concours Photo » de la page Facebook du Festival avant le 4 juillet et en nous envoyant leur plus belle photo du Festival. Tout le monde pourra ensuite voter pour sa photo préférée ! Le nom des deux gagnants — un pour le prix du jury et un pour le prix du public — sera dévoilé le 8 juillet 2013.

2e édition du concours J’aime le Festival de Jazz : des prix à faire saliver

En témoignant de leur affection pour le Festival — tout simplement en « aimant » la page Facebook officielle de l’événement (facebook.com/montrealjazzfest) —, les internautes pourront participer chaque jour au grand concours J’aime le Festival de Jazz. Au total, près de 40 000 $ en prix seront décernés. 1er prix : grand prix de15 000 $ en argent offert par TD 2e prix : un cellier d’une valeur de 4500 $ offert par la SAQ 3e prix : une carte-cadeau dans les hôtels Fairmont d’une valeur de3000 $ offerte par Rio Tinto Alcan 4e prix : une machine à café automatique d’une valeur de 3000 $ offerte par Jura ; 5e prix : une collection de 50 CD de blues d’une valeur de 1000 $ offerte par Loto-Québec ; 6e prix : une radio XM avec un abonnement d’un an d’une valeur de 500 $ offerts par SiriusXM. Il suffit de cliquer sur l’onglet Concours, puis de remplir le formulaire en ligne avant le 7 juillet, minuit. Le tirage aura lieu le 8 juillet 2013 à midiDes dizaines de prix instantanés d’une valeur totalisant 10 000 $ seront aussi offerts par TD et La Presse+ sur le site extérieur du Festival.

Un Festival branché

Les festivaliers disposent de tout ce qu’il faut pour vivre les festivités 24 heures sur 24 sur le site web du Festival (montrealjazzfest.com), Facebook(facebook.com/montrealjazzfest) et Twitter (@festivaljazzmtl). On peut y lire un rappel de la programmation au jour le jour et les nouvelles de dernière heure.

Des réponses à toutes vos questions : Info-Jazz La Presse+