ASA – Bed of Stone – le nouvel album disponible le 26 août

Bed of Stone - ASA
Bed of Stone – ASA

Les chansons de Bed of Stone, inspirées de sa vie nous parlent des sentiments de Bukola Elemide, dite Asa. Avec sa grâce mélodique, Asa épouse nos mélancolies, nos rêveries, nos méditations, nos réflexions.  Bientôt 32 ans, et on sent la maturité et son esprit libre en pleine effervescence.

Nigériane née à Paris, devenue artiste à Lagos, nourrie de soul old school, signée par un label français, et qui embrasse à la fois folk,  soul, reggae doux et chanson rêveuse, Asa est une des plus belles découvertes de la décennie. Tous les festivals la réclament.

Après la tournée suivant l’album Beautiful Imperfection, cette fille énergique qui donne son 200% sur scène se rend compte à quel point ça épuise le succès. Avant, il y avait eu un premier album en 2007, vendu à plus de 300,000 exemplaires et couronné par le prix Constantin, des centaines de concerts et l’album Live in Paris – le parcours rêvé d’une révélation  qui vit un tourbillon de vie.

Après sa dernière tournée, elle se met à voyager tout en écrivant. Lagos, Berlin, les États-Unis, Londres, Paris… Tout du long, elle écrit de nouvelles chansons, coécrit deux chansons avec Piers Faccini, dont Bed of Stone, qui donnera son titre à l’album. Partout, de nouveaux musiciens, de nouvelles émotions. L’enregistrement a aussi été itinérant. Elle part à la recherche de Benjamin Constant, qui avait déjà arrangé ses deux premiers albums studio.

Ses textes nous parlent d’amour, d’élan spirituel, du besoin de faire la fête ou de partager une tasse de thé avec des amis.

Dead Again, le premier single, écrit en deux heures avec Blair, sur le coup d’une trahison d’un proche qui fait bouillir Asa.  Douze titres qui expliquent son cheminement dont :

« Love Found Me, chanson qui dit la fin de la quête de l’être aimé, écrit de manière prémonitoire peu avant que l’amour ne lui tombe dessus, pendant l’enregistrement de l’album.

Gratitude, hymne d’action de grâce qui dépasse toute appartenance religieuse et invite à se tourner vers le créateur.

Satan Be Gone, sur un rythme de parade new orleans, qui dit tous les combats contre le Malin, l’alcool, la haine

Eyo, écrit à Paris et qui reprend une mélodie de parade des masques à Lagos, là-bas où la rue sait sourire ».

Un album d’une belle maturité, toujours avec une voix mélodique unique et des arrangements musicaux fabuleux.

asa-official.com

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