Montréal en Lumière se donne en spectacle !

Des Escales gourmandes à faire saliver !
Montréal en Lumière

Pour sa 16e édition qui se tiendra du jeudi 19 février au dimanche 1er mars prochains, MONTRÉAL EN LUMIÈRE s’apprête à fortement redynamiser notre hiver, notamment avec une programmation artistique des plus éclatée et excitante. En effet, l’événement hivernal urbain présenté par RBC en collaboration avec Bell déballe aujourd’hui toute une panoplie de spectacles qui, du théâtre au concert classique en passant par la danse ou le blues — avec en prime des spectacles d’artistes de la Suisse, le pays à l’honneur de cette édition —, est assurée de charmer les festivaliers de tout genre. Le défi consistera à réussir à faire un choix parmi cette offre riche en premières et en surprises ! Les billets seront mis en vente vendredi, 7 novembre, à midi … sauf pour les abonnés de l’Infolettre Spectra, qui pourront se les procurer en exclusivité dès demain, de 10 h à 22 h !

Stephan Eicher et Bobby Bazini
coprésidents d’honneur de la programmation artistique

Chaque année, MONTRÉAL EN LUMIÈRE confie la coprésidence d’honneur à un artiste d’ailleurs et un autre d’ici. En cette 16e édition, place au Suisse le plus célèbre du monde musical, Stephan Eicher. L’ambassadeur de notre pays à l’honneur nous offre, en spectacle de clôture du festival, une formule complètement inédite qui propose une manière nouvelle de faire sa musique : comme à ses débuts, il débarque « seul » sur scène… si on excepte les automates qui joueront avec lui ! Une étonnante façon de redécouvrir ses grands succès — souvent signés par son comparse, l’écrivain Philippe Djian —, comme Déjeuner en paix et Tu ne me dois rien. 28 février, 20 h, Théâtre Maisonneuve, PdA.

Dans un autre registre, notre coprésident d’honneur québécois a beaucoup, beaucoup, beaucoup d’avenir devant lui. Bobby Bazini a fait vibrer la place des Festivals lors de la dernière édition du Festival International de Jazz de Montréal et a décroché un disque d’or avec son récent Where I Belong, enregistré à Los Angeles avec le légendaire réalisateur Larry Klein. Alliant une voix magnétique, un charme naturel et des chansons efficaces aux accents folk et soul, le Lauriermontois part cette fois à l’assaut de l’hiver et du Métropolis. Attention, dépendance quasi assurée ! Présenté en collaboration avec Rouge FM. 26 février, 20 h, Métropolis.

Un spectacle d’ouverture en musique et cinéma

Bruno Pelletier et Guy St-Onge avec l’Orchestre Métropolitain, Musique et cinéma, une rencontre — Les piliers de la scène musicale québécoise Bruno Pelletier et Guy St-Onge ont joint leur talent dans un projet paru l’an dernier : Musique et cinéma, album double où le charismatique chanteur et le brillant pianiste revisitent des chansons-thèmes de films, de Bagdad Cafe à West Side Story, de Phil Collins à The Cure. Le projet, aussi réussi qu’ambitieux, sera présenté au public en version symphonique avec l’Orchestre Métropolitain, dirigé pour l’occasion par le polyvalent Guy St-Onge. Grandiose. Présenté par RBC en collaboration avec CBC/Radio-Canada. 19 février, 20 h, Salle Wilfrid-Pelletier, PdA.

Des premières montréalaises, encore et encore !

C’est connu : beaucoup d’artistes apprécient la visibilité qu’offre MONTRÉAL EN LUMIÈRE. Outre Bobby Bazini et le tandem Pelletier?St-Onge, voici les artistes qui ont judicieusement choisi notre festival pour lancer leur spectacle ou faire leur rentrée montréalaise :

Stefie Shock — Stefie Shock débarque avec son nouvel album, entre disco et funk, chanson française et rythmes latins : Avant l’aube, dont le nouvel extrait Want You to Want Me, est une vraie bombe de piste de danse ! On y trouve ses thèmes de prédilection, l’amour, la perdition et la quête de sens existentiel, ainsi que les reprises d’Everybody Knows de Leonard Cohen et du classique Madame Rêve d’Alain Bashung. Jouissif. Présenté en collaboration avec CKOI. 19 février, 20 h, Club Soda.

Hôtel Morphée. Première partie : Bernhari (série Pleins feux sur la relève en collaboration avec Bell) — Un des meilleurs groupes de la scène musicale québécoise d’aujourd’hui, Hôtel Morphée crée le buzz avec son pop-rock à cordes hybride, énergique et magnétique. Le quatuor chapeauté par l’excellente Laurence Nerbonne était venu aux Francos l’été dernier nous donner un avant-goût de son 2e album, l’ensorcelant Rêve américain : du rock incandescent fait pour la scène, mordant et accrocheur. 20 février, 20 h, Club Soda.

Daran. Première partie : Gael Faure — Artiste libre au parcours atypique, Daran s’amène avec son plus récent, qui a vu le jour en octobre : Le monde perdu, opus entièrement acoustique à la guitare, la voix et l’harmonica, dont les premiers extraits ouvrent les portes d’un univers émouvant et sensible, profond et personnel. Le Français d’origine et Québécois d’adoption profite de MEL pour nous en révéler la teneur. 20 février, 20 h, Gesù — Centre de créativité.

Harry Manx solo — Éternel amateur d’explorations musicales, l’inspiré bluesman s’amène avec l’album 20 Strings & the Truth, à paraître en janvier, une œuvre instrumentale qui laisse toute la place à la Mohan Veena, son instrument fétiche. Alliage sonore subtil et engageant qui plonge à pleines cordes dans les sonorités du raga indien, le disque ouvre la porte d’un voyage musical aux confins du nirvana. 26 février, 20 h, Gesù — Centre de créativité.

Mara Tremblay. Première partie : Catherine Leduc (série Pleins feux sur la relève en collaboration avec Bell) — Cinq ans après son très acclamé Tu m’intimides, Mara Tremblay comble les (grandes) attentes en nous présentant À la manière des anges, dont elle signe textes et musique. Entourée de ses fidèles complices, Olivier Langevin et Pierre Girard, la rockeuse au sommet de son art débarque au Club Soda pleine d’énergie et de bonheur contagieux. Présenté en collaboration avec MusiMax. 24 février, 20 h, Club Soda.

Jérôme Couture — Révélé au grand public dans La Voix 2012, Jérôme Couture a frappé fort avec son 1er album, décrochant le 1er rang du palmarès BDS avec son premier extrait, Goodbye Girl. Mais c’est en concert qu’il faut le découvrir ! Présent aux Francos en 2014 et depuis en tournée non-stop, il prouve soir après soir que la scène est son habitat naturel et qu’il l’occupe avec fougue, plaisir et une efficacité redoutable. Présenté en collaboration avec CKOI. 25 février, 20 h, Club Soda.

Marie-Pierre Arthur — Après le succès de son album Aux alentours (2012), on l’attendait de pied ferme : un nouveau disque, entourée de ses collaborateurs étoiles dont François Lafontaine (Karkwa), qui ne promet que du bon. On retrouve avec bonheur la rockeuse québécoise, sa basse enflammée et sa voix aérienne, devenue figure de proue de la nouvelle chanson québécoise et lauréate du Prix Félix-Leclerc 2012. 26 février, 20 h, Club Soda.

Guillaume Beauregard — S’offrant une pause des Vulgaires Machins, le chanteur Guillaume Beauregard arrive avec un projet solo bien loin du punk rock addictif auquel on pourrait s’attendre. Les tendances insurrectionnelles ont laissé la place à des chansons d’amour et les guitares allumées, à un sillon folk parfaitement maîtrisé dont Cadeau du ciel, le premier extrait, est accrocheur au possible. Très prometteur. 25 février, 20 h, Club Soda.

Queen KA, Chrysalides — Ce spectacle, c’est l’instant de la mutation, c’est la fin et le début en même temps, c’est l’hibernation qui n’existe que s’il y a un printemps vers lequel on s’éveille. En compagnie de son band de poésie (Blaise Borboën-Léonard et Stephane Leclerc), d’Alexandre Péloquin à la conception d’éclairage et de Yann Perreau à la mise en scène, Queen KA présente Chrysalides. Série Pleins feux sur la relève en collaboration avec Bell. 26 et 27 février, 20 h, Théâtre de Quat’Sous.

Soirées Tout en musique

Ne me quitte pas : un hommage à Jacques Brel — Pour la dernière fois à Montréal ! Un hommage par nos plus belles voix, accompagnées par le pianiste Benoît Sarrasin et des projections sur écran géant dans une mise en scène de Luc De Larochellière. Après avoir fait salle comble à la Maison symphonique en clôture de MEL en 2012, ce concert-événement s’offre maintenant à la province entière avec une tournée unique. Avec aussi Marc Hervieux, Isabelle Boulay, Bïa, Bruno Pelletier, Danielle Oddera, Diane Tell, Marie-Élaine Thibert, Paul Piché et Pierre Flynn. 25 février, 20 h, Salle Wilfrid-Pelletier.

Christine and the Queens. Première partie : Kadebostany — Belle surprise de 2014 en France — un Olympia de Paris vendu en moins d’une heure ! —, Christine and The Queens arrive enfin à Montréal avec une réputation scénique impressionnante. Un phénomène ! En ouverture, une magnifique découverte, un groupe suisse à la personnalité forte, alliant cuivres balkans, rythmes électro et chanteuse soul : Kadebostany ! Présenté en collaboration avec MusiquePlus. 19 février, 20 h, Métropolis.

Anna Aaron —Trois ans après l’impressionnant succès de son album Dogs in Spirit, la chanteuse, pianiste et compositrice bâloise revient avec Neuro, nouvel opus dense et tortueux. Puisant ses racines dans le roman cyberpunk Neuromancer de William Gibson, l’œuvre se décline entre vertige et profondeur, ouvrant la porte d’un univers sonore aux accents mystiques et mélancoliques. 27 février, 20 h, L’Astral.

Bastian Baker — Bastian Baker, à peine 23 ans, pourrait bien être la prochaine star internationale à émerger de la Suisse. Après avoir été no 1 des palmarès dans son pays d’origine, après avoir rempli l’Olympia à Paris et joué dans plusieurs pays européens, il débarque en terre québécoise avec sa belle gueule et sa pop folk-rock accrocheuse. Certains chuchotent même qu’il serait peut-être le Roch Voisine suisse… 20 février, 20 h, L’Astral.

The Wall Theater Experience — Une œuvre de résurrection tenant de l’aventure mythique : The Wall, l’album monumental de Pink Floyd et pavé dans l’histoire du rock, mais aussi le film, à vivre sous forme d’expérience visuelle et sonore. Orchestrée par l’équipe des Vikings depuis 2011 et vue par plus de 50 000 personnes, la production est présentée dans une version inédite avec Sébastien Lacombe dans les pas de Roger Waters. Présenté en collaboration avec CHOM. 20 février, 20 h, Métropolis.

Kaki King, The Neck Is a Bridge to the Body — La guitariste virtuose brooklynoise nous arrive avec un nouveau projet d’une force prodigieuse. The Neck Is a Bridge to the Body est une expérience visuelle et sonore hors-norme, à l’image d’un parcours artistique marqué par la quête incessante de l’innovation créative. Au cœur du concept : la guitare, son instrument de prédilection, devenue simultanément foyer de sons et écran lumineux fluctuant au gré des images projetées. Un rendez-vous d’élite avec une guitariste d’exception. 27 février, 20 h, Club Soda.

Jay-Jay Johanson — Cet éternel romantique est le maître d’œuvre d’un univers musical unique naviguant entre électro, jazz et trip-hop, venu tout droit des profondeurs d’un homme habité. Avec près de 20 ans passés à explorer les frontières du féérique sonore, l’artiste suédois est enfin de retour au Québec avec le matériel de son 10e opus. Le connaissant, on s’attend à rien de moins qu’une virée au 7e ciel. 21 février, 20 h, Gesù — Centre de créativité.

Fire/Works et Bears of Legend. Programme double — D’un côté, le duo folk montréalais Fire/Works composé de Jonathan Peters et de David Lagacé, signataire de l’album Shenanigans, qui fait des étincelles. De l’autre, Bears of Legend, formation trifluvienne à 7 têtes et au succès flamboyant, dont le 1er album, Welcome, Motherland, dévoile un alliage rock et folk valsant. Série Pleins feux sur la relève en collaboration avec Bell. 21 février, 20 h, Club Soda.

Steve Hill. Première partie : Heymoonshaker — Ce guitar hero compte parmi les plus impressionnantes bêtes de scène de la Belle Province. La preuve : ce concert solo où il allume le public avec une guitare à la main, une batterie entre les jambes, un harmonica à la bouche et une baguette attachée à sa guitare pour taper la cymbale ! Juste avant, de Nouvelle-Zélande, l’alliage improbable d’un guitariste-chanteur et d’un beatbox qui fait dialoguer blues et hip-hop : Heymoonshaker. 19 février, 20 h, L’Astral.

Whitehorse — Duo dans la vie comme sur scène, les Ontariens Luke Doucet et Melissa McClelland génèrent un folk rock entraînant et envoûtant à grand renfort d’harmonies vocales et de guitares torrides. Avec un nouvel album, Leave No Bridge Unburned, Whitehorse poursuit sa conquête du public québécois avec fougue et passion. 21 février, 20 h, L’Astral.

Matt Schofield — Le guitariste britannique Matt Schofield surfe sur une vague de popularité qui ne cesse de prendre de l’ampleur. Le meilleur guitariste de blues du monde depuis des décennies selon le LA Times, un des 10 meilleurs guitaristes britanniques de tous les temps selon le Guitar & Bass Magazine, s’amène avec son dernier disque, Far As I Can See, où il fait fructifier l’héritage des Jimi Hendrix, Jimmie Vaughan et Albert King. 26 février, 20 h, L’Astral.

Betty Bonifassi, Chants d’esclaves, chants d’espoir — Associée aux Triplettes de Belleville, à Champion et ses G-Strings et à Beast, Betty Bonifassi revient en solo nous présenter Chants d’esclaves, chants d’espoir, un hommage aux chansons noires des années 20 — chansons de prisonniers, de travaux forcés, de chemins de fer et de calls — créées pour supporter des conditions de travail inhumaines. Chair de poule garantie ! 28 février, 20 h, L’Astral.

Alejandra Ribera — Elle est de ces artistes qu’il faut absolument voir sur scène. Son dernier album, La boca, révèle un cocktail d’influences musicales folk-latin, jazz, musique de cabaret et pop, porté par une voix sublime d’une rare intensité, entre Lhasa, Tom Waits et Édith Piaf. On ajoute sa présence scénique passionnelle et passionnée et son magnétisme foudroyant, et on s’approche du bonheur… 27 février, 20 h, Gesù — Centre de créativité.

The Tragically Hip — Ce groupe phare de la scène canadienne assoit son enviable notoriété sur quelque 8 millions d’albums vendus et 14 Junos récoltés pour une douzaine d’albums. Parmi ceux-ci, Fully Completely avait atteint le sommet des palmarès canadiens et décroché une certification diamant. Pour fêter la réédition du disque, le groupe le fait revivre sur scène. Présenté en collaboration avec evenko et CHOM. 20 février, 20 h, Centre Bell.

Bryan Adams —Le légendaire rockeur canadien, certifié plusieurs fois platine, débarque au Centre Bell pour rendre hommage à Reckless, l’album qui l’a propulsé vers le succès planétaire il y a 30 ans ! L’occasion de revisiter un répertoire on ne peut mieux garni de classiques rock, où se côtoient les intemporels Summer of 69, Kids Wanna Rock, Run to You, Somebody et It’s Only Love. Présenté en collaboration avec evenko. 23 et 27 (complet) février, 20 h, Centre Bell.

Kongos — De leur Afrique du Sud natale à leur Arizona d’adoption, en passant par le Royaume-Uni, les quatre frères Kongos propagent un son unique. Leur premier album, Lunatic, se démarque par son envoûtant alliage de rock alternatif, d’instruments folkloriques et de guitares efficaces, prenant place dans un paysage musical épique aux réminiscences de U2. Énergique et brillant. Présenté en collaboration avec evenko. 21 février, 20 h, Métropolis.

Dan Mangan + Blacksmith avec Hayden, Astral Swans — Issu de la scène folk-rock vancouveroise, le double lauréat de Junos Dan Mangan a pris un virage audacieux avec ce récent projet né sous l’appellation Dan Mangan + Blacksmith. En janvier, on découvrira l’album Club Meds, témoin de son univers sonore aux textures tantôt électro vaporeux, tantôt rock alternatif, relevées de synthétiseurs et de réminiscences de Peter Gabriel et de Radiohead. Présenté en collaboration avec evenko. 21 février, Théâtre Corona, 20 h.

Fièvre gospel — Dans la plus ancienne chapelle de pierre de Montréal, on se laissera entraîner dans l’univers dynamique du gospel. Un programme en 4 spectacles magiques qui fera vibrer, chanter et danser au rythme des sonorités des chorales gospels : Groupe vocal Diversion le 20 février, Montreal Gospel Choir le 21 février, Sandra Étienne et invités le 27 février et, spécialement pour la Nuit blanche, trois représentations de Voxapella le 28 février (20 h, 22 h et minuit). Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours.

Orchestre de jazz I de McGill — Dirigé par le trompettiste et compositeur de jazz Andy King, l’Orchestre de jazz I de McGill reprendra avec sa touche personnelle le répertoire exigeant et captivant que représentent les chefs-d’œuvre canadiens de jazz traditionnels et contemporains, ainsi que des pièces composées par les étudiants du programme de jazz de l’École de musique Schulich. 23 février, 19 h 30, Salle Tanna Schulich, Université McGill.

Schulich en concert : Bill Charlap et Renee Rosnes — Deux fois en nomination pour un Grammy, les époux pianistes de jazz se réunissent pour interpréter des pièces indémodables. Invités de prestige de la chaire Catherine Thornhill Steele, ils ont reçu de nombreux éloges pour l’esthétique de leur jazz contemporain et ont leur place parmi les meilleurs pianistes du monde. Un duo unique ! 26 février, 19 h 30, Salle Pollack, Université McGill.

Alex Nevsky — Après son populaire premier album De lune l’aube, il récidive avec son délicieux Himalaya mon amour, réalisé par Alex McMahon (Catherine Major, Ariane Moffatt…). Sur scène, Nevsky est un poète, un rockeur au coeur très tendre et un homme de scène particulièrement spontané, juste et touchant. Pas étonnant qu’il vienne tout juste de décrocher 3 Félix — Interprète masculin, Album pop et Chanson de l’année ! 19 février, 20 h, La Tulipe.

Sarah Toussaint-Léveillé — Elle a fait de la musique son jardin sauvage, où la mauvaise herbe est sa meilleure récolte. Son cœur cynique carbure au rire et son rire est un pont tremblant vers l’autre. Elle parle en images, en vulnérabilité, en mosaïque, en gueulant des fois. À découvrir… Série Pleins feux sur la relève en collaboration avec Bell. 26 février, 20 h, Lion d’Or.

Andréanne A. Malette, Bohèmes — Textes percutants, mélodies accrocheuses, présence rafraichissante sur scène : l’auteure-compositrice-interprète propose un premier spectacle solo attendu et divertissant, dans son univers folk-pop aux chansons entraînantes. On se rappelle d’Andréanne et de sa fougue endiablée sur la tournée Star Académie 2012 ; on pourra vivre cette énergie transposée dans un spectacle intime et unique ! 27 février, 20 h, Lion d’Or.

Speakeasy en Lumières ! — Nées quasi clandestinement dans un loft montréalais il y a trois ans, les soirées mensuelles Speakeasy Electro Swing des concepteurs Eliazar, Don Mescal et Khalil marient la musique de la première Grande Dépression à la technologie de la seconde… et ça swing en diable ! Musiciens, cours de swing, performances, cirque et burlesque viennent ajouter une touche de folie ! 20 février, 20 h, Lion d’Or.

Tim Brady, Freebirds — La guitare électrique revue par un des 30 guitaristes mettant le plus en valeur leur instrument, selon Guitar Player — un solo de haute voltige, un homme-orchestre exploitant la technologie numérique, une image et un son HD époustouflants. Deux œuvres en première (Louis Dufour et Brady), et deux morceaux de son répertoire, Freebirds (Jean Piché) et Simple Loops in Complex Times (Brady). Présenté en collaboration avec Montréal/Nouvelles Musiques. 1er mars, 19 h, Agora Hydro-Québec.

Antoine Corriveau — Les Ombres Longues porte la rage poétique des turbulences d’un printemps rouge et la tendresse triste, mais lumineuse, des amours d’un autre temps. La voix immense, éraillée et profonde d’Antoine Corriveau, les guitares, batterie, clavier et violoncelle composent un spectacle unique, habillé d’éclairages mystérieux. Série Pleins feux sur la relève en collaboration avec Bell. 22 février, 20 h, Le Verre Bouteille.

Soupers-spectacles Le Balcon :

Glam Cabaret — La chanteuse originaire du Texas Meredith Marshall, accompagnée de son orchestre de 6 musiciens, s’attaque aux grand succès du cabaret. Une soirée vibrante de jazz hot ! 20 février, 20 h 30.

Les légendes de la soul : Hommage à Marvin Gaye, Michael Jackson, Barry White, Earth, Wind & Fire et plusieurs autres avec Carlos Morgan et ses musiciens. 21 février, 20 h 30.

Édith Piaf : ma vie en rose et noir — Claire Garand incarne « la Môme », avec sa voix aussi puissante que celle de la célèbre interprète, et raconte sa vie en rose et noir à travers ses plus belles chansons. Un hommage incontournable riche en émotions. 25 février, 20 h.

Le meilleur des années 60 du Balcon — Hommage à The Beatles, The Temptations, The Rolling Stones et Stevie Wonder avec The Heads. 27 février, 20 h 30.

Soirées classiques

Gladiator Live — Un des films épiques les plus populaires de l’histoire du cinéma, Gladiator (gagnant de cinq oscars), mettant en vedette Russell Crowe, en version concert live ! La partition de Hans Zimmer et Lisa Gerrard prendra vie avec un orchestre symphonique et un grand chœur dirigés par Justin Freer alors que le film sera projeté en HD sur écran géant. En grande première montréalaise. Version originale avec sous-titres français. 21 (20 h) et 22 (15 h) février, Salle Wilfrid-Pelletier, PdA.

Daniel Taylor et le Theatre of Early Music, La consolation du cœur — Un concert consacré à une période tourmentée de l’histoire, la Guerre de 30 ans, mettant en vedette 5 compositeurs allemands de l’époque baroque, Dietrich Buxtehüde (1637-1707), Johann Christoph Bach (1642-1703), Johann Heinrich Schmelzer (1623-1680), Johann Kuhnau (1660-1722) et Nicolaus Bruhns (1665-1697). 23 février, 17 h 30, Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours.

I Musici de Montréal, Klezmer sans frontières — Un métissage réussi des musiques populaires d’hier et d’aujourd’hui. C’est le tour de force qu’aura réussi Magillah avec le klezmer, cette tradition musicale juive. En s’alliant à la tradition classique d’I Musici, Magillah élargit encore plus nos horizons. Dirigé par Jean-Marie Zeitouni. Groupe invité : Magillah. Présenté en collaboration avec Radio Classique 99,5. 19 (11 h), 20 (11 h et 17 h 45) et 21 février (14 h), Chapelle historique du Bon-Pasteur.

Schulich en concert : Dénes Várjon, piano — La fraîcheur et la puissance de son jeu ont mené ce pianiste hongrois dans les festivals de musique les plus prestigieux du monde et au cœur d’importants orchestres partout en Europe. Son récital sera consacré à Beethoven, Schumann, Ravel et Bartók. 19 février, 19 h 30, Salle Pollack, Université McGill.

Schulich en concert : Jacqueline Leclair, hautbois ; Marianne Gythfeldt, clarinette ; Brad Balliett, basson — Ce trio d’anches moderne aux sonorités et au répertoire uniques pésente une soirée éclectique et captivante de musique contemporaine pour instruments à vent, soirée qui comprendra deux premières mondiales et une œuvre avec musique électronique ! 25 février, 19 h 30, Salle Tanna Schulich, Université McGill.

Victor Fournelle-Blain, violon/alto, et Julie Hereish, violoncelle, 23 février, 19 h 30, et Byungchan Lee, violon, et Xiaoyu Liu, piano, 25 février, 19 h 30 — À découvrir, le remarquable talent des prochaines stars canadiennes de la musique classique selon Next! de CBC, dans le cadre de la 36e édition de la série CBC/McGill, animée par Jeanette Kelly. De la musique de chambre de haut niveau ! Enregistré et rediffusé à l’émission In Concert de CBC Radio 2. Salle Redpath, Université McGill.

Ensemble Caprice, Cantates funèbres, profondeur et consolation — Poursuite de la présentation de l’intégrale des cantates de J. S. Bach par la Fondation Arte Musica. Au programme, deux cantates composées à l’occasion de la mort de grandes personnalités : Gottes Zeit ist die allerbest Zeit, BWV 106, « Actus tragicus », et Laß, Fürstin, laß noch einen Strahl, BWV 198, « Trauerode ». Avec le chef Matthias Maute. 22 février, 14 h, Salle Bourgie (Musée des beaux-arts de Montréal).

Orchestre de chambre McGill, Poésie en musique — L’Orchestre souligne le 100e anniversaire de naissance de son fondateur, Alexander Brott, avec deux de ses œuvres : Mini Minus et Sept for Seven. Aussi au programme : L’histoire du soldat de Stravinsky. Les textes des Brott seront lus par le comédien Jean Marchand, qui interprétera aussi les rôles du mimodrame de Stravinsky. 24 février, 19 h 30, Salle Bourgie (Musée des beaux-arts de Montréal).

Les Violons du Roy — Un programme étonnant autour de La revue de cuisine de Martinu. Avec Vincent Boilard (hautbois) et Mathieu Lussier (basson). Stravinski, Concerto en ré ; Martinu, La revue de cuisine ; Haydn, Sinfonia concertante en si bémol majeur pour hautbois, basson, violon et violoncelle ; Mozart, Symphonie no 34 en do majeur, K. 338. 27 février, 19 h 30, et 28 février, 15 h, Salle Bourgie (Musée des beaux-arts de Montréal.

Ensemble Montréal Tango, Au coeur de la musique argentine — Le brillant pianiste argentin Victor Simon nous transporte dans son pays d’origine avec des musiques aux accents inouïs. Un voyage au cœur de la danse, du tango et du folklore argentins ! 19 février, 18 h, Salle Bourgie (Musée des beaux-arts de Montréal).

Trio Fibonacci, La Fusée de Mannheim — Mannheim fut, au XVIIIe siècle, un centre musical rayonnant et son orchestre était considéré comme le meilleur de l’Europe. Les musiciens innovateurs de Mannheim ont commencé à rechercher ce qui fera la qualité particulière du classicisme viennois : un équilibre entre la forme et l’expression, qu’on retrouve particulièrement dans les œuvres de Haydn et Mozart. À revivre avec l’interprétation du Trio Fibonacci ! 25 février, 19 h 30, Chapelle historique du Bon-Pasteur.

Orchestre symphonique de McGill, Turangalîla-Symphonie — Cette pièce emblématique de Messiaen et œuvre monumentale du XXe siècle allie la démesure d’une palette orchestrale vaste et puissante à des mélanges orchestraux très neufs. Alexis Hauser, chef ; Kyoko Hashimoto, piano ; Estelle Lemire, ondes Martenot. Oeuvre d’Olivier Messiaen. Présenté en collaboration avec Montréal/Nouvelles Musiques. 27 février, 19 h, Maison symphonique de Montréal.

Ensemble de musique contemporaine de McGill, Le Nubi — Cinq compositeurs intègrent les outils « technos » dans un déluge de sonorités. Au cœur du spectacle, une impressionnante machine à gouttes de pluie contrôlée par ordinateur et des œuvres teintées de nature et de technologie par des compositeurs confirmés et de la relève. Directeur artistique : Guillaume Bourgogne. Oeuvres de Mauro Lanza, Rui Penha, Misato Mochizuki, Brice Gatinet et Fabien Lévy. Présenté en collaboration avec Montréal/Nouvelles Musiques. 26 et 28 février, 21 h, Salle Multimédia, Université McGill.

Société de musique contemporaine du Québec, Atlantide — Pour l’ouverture du festival Montréal/Nouvelles Musiques, la Société de musique contemporaine du Québec ressuscite le mythe de l’Atlantide en nous offrant un concert titanesque : 15 chanteurs et 23 musiciens pour interpréter cette œuvre réputée injouable. Direction : Walter Boudreau, oeuvres de Michel-Georges Brégent, John Cage, et Edgar Varèse. Présenté en collaboration avec Montréal/Nouvelles Musiques. 26 février, 19 h, Salle Pierre-Mercure (Centre Pierre-Péladeau de l’UQAM).

L’Ensemble Mruta Mertsi et Grand Chœur Bref, Les Papes hurlants — Inspiré par l’imagerie des tableaux Papes hurlants de Francis Bacon, ce spectacle rassemblera instruments inventés, à cordes, à vent et 150 voix, transformeront le complexe Desjardins en cathédrale contemporaine ! Direction : André Pappathomas. Oeuvres d’André Pappathomas et Rachel Burman. Présenté en collaboration avec Montréal/Nouvelles Musiques. 28 février, 23 h, complexe Desjardins.

Soirées théâtre

Dans la république du bonheur de Martin Crimp — Le repas de Noël d’une famille aux allures unies est interrompu par l’arrivée inattendue de l’Oncle Bob. Cette œuvre bouleversante met en lumière ce que nous voyons et sentons et, plus particulièrement, ce que nous ne voudrions ni voir, ni sentir. Mise en scène : Christian Lapointe. Avec notamment Ève Landry et David Giguère. 19 au 28 février (relâche 22 et 23 février), Cinquième Salle, Place des Arts.

Qui a peur de Virginia Woolf ? d’Edward Albee — Deux heures du matin, un couple bien nanti revient à la maison après une soirée bien arrosée. Tels deux fauves en cage, ils se livreront à un carnage psychologique, à une guerre de pouvoir à finir, jusqu’à l’aube. La pièce culte propose un portrait vitriolique de la bourgeoisie américaine et de ses hypocrisies sociales et conjugales. 18 février au 28 mars, 19 h 30, Théâtre Jean-Duceppe, Place des Arts.

Théâtre tout court, XIV — La fierté geek — Dans une ambiance de cabaret, des acteurs de la relève et des acteurs d’expérience présentent de courtes pièces de théâtre d’environ 10 minutes, tantôt surprenantes, tantôt drôles, souvent créées pour l’événement, mais aussi issues du répertoire. Direction artistique : Serge Mandeville et Véronick Raymond. 24 au 27 février, 19 h, et 28 février, 20 h, La Petite Licorne.

La Cantatrice chauve suivi de La Leçon — Deux pièces fondatrices du théâtre de l’absurde ! La Cantatrice chauve : dialogue irrésistible entre deux couples qui n’ont rien à se dire, une pendule contrariante, une bonne qui se prend pour Sherlock Holmes et un capitaine des pompiers. La Leçon : un professeur confus et concupiscent et une élève insolente… Mise en scène : Frédéric Dubois. Avec Simon Dépot, Monelle Guertin, Éliot Laprise, Catherine Larochelle, Pierre Limoges et Ansie St-Martin. 6 au 28 février, heures variées, Salle Denise-Pelletier, Théâtre Denise-Pelletier.

Victor Hugo, mon amour — 23 650 lettres en 50 ans d’amour ! À partir de cette monumentale correspondance entre Victor Hugo et Juliette Drouet, l’auteure Anthéa Sogno a composé cette pièce qui illustre les grands moments de leur vie amoureuse, littéraire et politique. Présenté pour la première fois au Québec, ce texte a été joué plus de 650 fois en France. Mise en scène : Léo Munger. Avec Olivier L’Écuyer et Catherine Bütikofer. 11 au 28 février, heures variées, Salle Fred-Barry, Théâtre Denise-Pelletier.

The Goodnight Bird — Un mystérieux vagabond atterrit sur le balcon d’un couple marié depuis longtemps, provoquant des révélations inattendues sur la vie, le mariage et la solitude et une envie folle de prendre des risques et de s’aventurer dans la nuit. Une comédie dramatique de Colleen Murphy, lauréate d’un prix du Gouverneur général. Mise en scène : Roy Surette. Avec Nicola Cavendish, Graham Cuthbertson et Chris Hunt. 24 février au 1er mars, heures variées, Théâtre Centaur.

We Are Not Alone — Chaque jour contient son lot de nouveaux rapports sur de mystérieux engins observés dans le ciel, de vidéos granuleuses de formes humanoïdes se mouvant dans le noir, d’images inédites de formations circulaires complexes qui apparaissent du jour au lendemain… Un spectacle solo, obsédant et provocateur, de l’ingénieux acteur et dramaturge Damien Atkins. 22 février au 1er mars, Studio du Centre Segal des arts de la scène.

Forever Plaid — En route vers leur premier grand concert, quatre chanteurs ont un accident de voiture et dévient vers le paradis. La Providence leur accorde toutefois une dernière chance d’accomplir leur rêve et de se couvrir de gloire… Une des revues musicales les plus populaires de notre époque, avec les grands succès des années 50. 19 au 22 février, Théâtre Segal, Centre Segal des arts de la scène.

Le misanthrope de Molière — Alceste exige une sincérité absolue de ses amis et dénonce l’hypocrisie et la méchanceté des hommes. Une vertu qui, chez lui, devient défaut. Contre sa raison, il a jeté son dévolu sur Célimène, une coquette qui incarne tout ce qu’il déteste. Il espère que son amour la convaincra de tout quitter pour le suivre. Mise en scène Michel Monty. Avec Bénédicte Décary, François Papineau, Luc Bourgeois, Catherine De Léan, Stéphane Jacques, Frédéric Pierre, Mathieu Richard, David Savard et Isabelle Vincent. 3 au 28 février, heures variées, Théâtre du Rideau-Vert.

The Nisei & The Narnauks — La pièce suit le voyage d’une enfant nisei, depuis le camp d’internement de Slocan Valley. Parcourant la Colombie-Britannique, Kimiko voit s’animer sur son chemin des personnages fantastiques issus des mythologies de la nation haïda. Écrit et mis en scène par Paul Van Dyck. Racontée sur scène par la petite-fille de l’héroïne, l’œuvre révèle des pans méconnus de l’histoire du Canada. Avec Vanessa Tsamu. (En anglais). 5 au 22 février, 20 h, MAI (Montréal, arts interculturels).

La Vecchia Vacca — Création, obsession et introspection personnelle autour de l’Italie natale, de la famille et du soleil, le tout garni de Nutella. Trois femmes s’acharnent sur un jeune homme qui meugle, tentant vainement d’échapper à l’inévitable : reproduire, encore et toujours, le schéma de son premier et unique amour, celui d’une mère, sur fond de musiques d’émissions télévisées italiennes des années 60. 17 au 21 février (mardi au samedi), 20 h, Théâtre La Chapelle.

DTC (on est bien) — Quatre individus se sont accroché chacun une enceinte sur le corps, par laquelle sortent des voix de GPS (générées par un logiciel text-to-speech), monocordes et déshumanisées, qui jouent de façon naïve la Genèse de l’humanité. Un décalage inquiétant et sans doute comique s’installe entre la neutralité froide des voix virtuelles et ces quatre corps tout à fait organiques. 24 au 28 février (mardi au samedi), 20 h, Théâtre La Chapelle.

Cabaret Gravel — Un événement rock performatif, décomplexé, entre concert et chorégraphie, avec les complices de la nouvelle vague d’artistes québécois, musiciens, chanteurs, danseurs et comédiens. Artiste multidisciplinaire totalement irrévérencieux, Frédérick Gravel assume une véritable transversalité culturelle et disciplinaire. 28 février, 20 h, Usine C.

Soirées danse

Sidi Larbi Cherkaoui (Sadler’s Wells), m¡longa — Une époustouflante célébration du tango avec 10 maîtres du tango argentin, un couple de danseurs contemporains, un orchestre de 5 musiciens et des images de Buenos Aires comme si on y était ! Avec m¡longa, le chorégraphe Sidi Larbi Cherkaoui exalte l’essence du tango et en révèle des facettes inédites. Une fièvre contagieuse. 17 au 21 février, 20 h, Théâtre Maisonneuve, Place des Arts.

Danse K par K, Danse de garçons — Sept hommes, sept comédiens osent se taire pour mieux se faire entendre, pour donner la parole aux corps. Ici, pas de texte derrière lequel se cacher. L’unique rempart face aux regards est le groupe et la force du geste. Ensemble, ils jouent, s’élancent, glissent, s’entrechoquent et s’étreignent dans un abandon collectif. Un jeu d’ensemble où se rejoignent la danse et le théâtre. 18 au 20 février, 20 h, Agora de la danse.

Louise Bédard danse, Cartes postales de Chimère — Il est de ces créations qui marquent une carrière, imprègnent les mémoires, frappent les plumes des critiques. Cartes postales de Chimère en fait partie. Près de 10 ans plus tard, Louise Bédard reprend et transmet ce solo taillé sur mesure pour elle-même en 1996 à deux danseuses charismatiques : Isabelle Poirier et Lucie Vigneault. 25 au 27 février, 20 h, 28 février, 16 h, Agora de la danse.

Libertango en partenariat avec Air de Tango —— Un violoniste survolté capable de jouer les plus belles musiques classiques comme les derniers hits pop. Un couple de danseurs de tango dont la grâce et la sensualité enflamment la piste de danse. Un répertoire musical hétéroclite tiré de plus de cent ans de cinéma. Le trio infernal Marc-André Gautier/ Mylène Pelletier/Olivier Arsenault nous fera voyager sur les ailes du tango argentin. 19 février, 20 h, Le Balcon.

Soirée Flamenca avec le Trio Camelo — La danseuse Marie-Andrée Cloutier, la chanteuse-guitariste Carina Lorenzo et le percussionniste Francis Mercier proposent un répertoire qui fusionne diverses formes de flamenco, du plus traditionnel au plus contemporain. 26 février, 20 h, Le Balcon.

Soirée humour

François Bellefeuille — Avec son humour — un mélange d’absurdité, de colère, de confusion et de pragmatisme — cet humoriste hors du commun promet d’étourdir notre sens logique. Avec plus de 90 000 billets vendus de son premier spectacle, François charme le public à tous les coups grâce à sa perception unique du monde, armé d’un des personnages les plus marquants des dernières années : un fou charmant dont la bêtise est d’une intelligence surprenante. 25 et 26 février, 20 h, Théâtre Maisonneuve, Place-des Arts.

Soirées variétés

Jeux de cartes : CŒUR par Ex Machina et Robert Lepage — Cinq générations d’hommes et de femmes voient leurs destins se croiser dans cette tragédie sans frontière, où se révèlent les liens entre le Printemps des peuples et le Printemps arabe. De la France à l’Algérie coloniale, en passant par l’Europe des années 60 et le Québec contemporain, les spectateurs assistent à la transition d’un univers où règnent la magie, les croyances et les illusions. Une histoire comme seul Robert Lepage sait en raconter, dans une mise en scène à 360°. 18 au 28 février 2015, TOHU.

Le Nouvel An chinois, Célébration 2015 — Directement de Chine, le tout nouveau spectacle du Nouvel An chinois présente une fascinante mosaïque d’époustouflants numéros d’équilibrisme, de danse et de musique traditionnelle. Musiciens, chanteurs, danseurs et acrobates parmi les meilleurs au monde seront réunis dans une prestation d’un niveau technique à couper le souffle. 27 et 28 février, 20 h, Salle Wilfrid-Pelletier, PdA.

La Maison du Festival Rio Tinto Alcan présente
La vie est déjà ailleurs
œuvres de Pierre Gauvreau et de Janine Carreau

Peintre prolifique, auteur, réalisateur et cosignataire du Refus global, Pierre Gauvreau nous a quittés en 2011, mais son œuvre immense nous reste. L’exposition présentera des œuvres jamais vues à Montréal et quelques incontournables, ainsi que les œuvres les plus récentes de Janine Carreau, qui sont les « œuvres promises » à Pierre Gauvreau à sa dernière minute de vie. Une sérigraphie de leur « cadavre exquis », Trente ans plus tard mon amour, sera lancée pour l’occasion. Entrée libre. Du 19 février au 24 mai, Galerie de la Maison du Festival Rio Tinto Alcan.

Tout savoir sur MONTRÉAL EN LUMIÈRE

On peut se procurer le dépliant de la programmation artistique de MONTRÉAL EN LUMIÈRE dans les salles de spectacle et théâtres participants, les disquaires, les Centres Infotouristes, ainsi que dans de nombreux lieux culturels montréalais. Tous les détails sont également accessibles en ligne au montrealenlumiere.com ou en appelant la ligne Info-Lumière La Presse+ (514 288-9955 ou sans frais le 1 85LUMIÈRES).

La programmation gastronomique sera dévoilée le 25 novembre et celles du site extérieur gratuit et de la Nuit blanche présentée par Hydro-Québec en février. La 16e édition de MONTRÉAL EN LUMIÈRE aura lieu du jeudi 19 février au dimanche 1er mars 2015. Pour renseignements, on peut visiter le montrealenlumiere.com.