Antoine Durand, Marcel Leboeuf, André Robitaille,
Geneviève Rochette, Myriam LeBlanc et Jean-Pierre Chartrand
© photo: courtoisie
Présentée par Les Projets de la meute (André Robitaille et Mario Provencher), mise en scène par Normand Chouinard et écrite par Francis Veber, récipiendaire du César du meilleur scénario original pour cette pièce, Le dîner de cons regroupe une distribution six étoiles où figurent Marcel Leboeuf, André Robitaille, Myriam LeBlanc, Geneviève Rochette, Jean-Pierre Chartrand et Antoine Durand. Le dîner de cons, ce classique moderne de la comédie, a séduit, sur scène, des milliers de personnes à travers le monde. Plus de cent représentations de cette plus grande comédie de tous les temps ont été données au cours des derniers mois à travers tout le Québec. À l’été 2014, plus de 18,000 personnes ont vu la pièce au Théâtre Hector-Charland à L’Assomption. Le dîner de cons, un rendez-vous inoubliable avec des comédiens de talent, un propos toujours d’actualité et avec la promesse de passer une agréable soirée. Une pièce à voir et à revoir! Rires garantis.
Les gens pourront une fois de plus applaudir cette extraordinaire distribution et voir Le dîner de cons, la pièce par excellence :
Du 22 juillet au 1er août 2015 à 20 h 30 au Centre culturel de l’Université de Sherbrooke
Du 6 au 15 août 2015 à 20 h à l’Étoile Banque nationale au Dix-30 à Brossard
Du 20 au 29 août 2015 à 20 h au Casino du Lac-Leamy à Gatineau
HISTOIRE DE LA PIÈCE
Chaque semaine, Pierre Brochant (André Robitaille) et ses amis organisent un dîner où chacun doit amener un con. Celui qui a trouvé le plus spectaculaire est déclaré vainqueur. Ce soir, Brochant exulte, il a déniché la perle rare, un con de classe mondiale, François Pignon (Marcel Leboeuf), un fonctionnaire au ministère des Finances et passionné de maquettes en allumettes. Ce qu’il ignore, c’est que Pignon est passé maître dans l’art de déclencher des catastrophes.
DISTRIBUTION
Marcel Leboeuf François Pignon
André Robitaille Pierre Brochant
Geneviève Rochette Christine Brochant
Myriam LeBlanc Marlène Sasoeur
Jean-Pierre Chartrand Lucien Cheval
Antoine Durand Juste Leblanc
ÉQUIPE DE PRODUCTION
Texte: Francis Veber
Mise en scène: Normand Chouinard
Assistante à la mise en scène: Maude Béty
Décors / accessoires: Geneviève Lizotte
Costumes: Marc Sénécal
Conseils techniques: Christian Barsalou
Éclairage: Martin Fontaine
Musique: Jean-Claude Marsan
Directeur de production: Sébastien Béland
Producteurs: Mario Provencher & André Robitaille
Adjointe aux producteurs: Katrine Rose-Maltais
SAVIEZ-VOUS QUE …
- La pièce Le dîner de cons a été adaptée au cinéma en 1998 sous le même titre et par le même auteur.
- Le dîner de cons a eu sa première représentation le 18 septembre 1993 au Théâtre des Variétés en France. On y a joué la pièce jusqu’au 31 janvier 1996.
- C’est le comédien Pierre Mondy qui a signé la première mise en scène de la pièce.
- Jacques Villeret, créateur du rôle de Pignon, a joué plus de six cents représentations de cette pièce.
- Philippe Brigaud qui a joué le rôle du docteur Archambault, a aussi participé au film. Il a toutefois changé de rôle. Il est devenu pour les fins du long métrage l’un des cons.
- La seconde version de la pièce créée en 2007 inclut la fameuse scène « Il s’appelle juste Leblanc « . Elle est identique à celle se trouvant dans le film. Dans la première version théâtrale, Pignon mettait beaucoup moins de temps à comprendre la subtilité du prénom Juste.
Le film est sorti en France le 15 avril 1998.
- Claude Brasseur et Jacques Villeret faisaient partie de la distribution de la pièce à ses débuts.
- Michel Roux a succédé à Claude Brasseur en 1995.
En 1999, Francis Veber a remporté le César du meilleur scénario original ou adaptation.
- En 2007, Le dîner de cons a connu une nouvelle création alors que les rôles principaux étaient attribués à Dany Boom et Arthur. Il y en a eu une autre en 2010.
Le dîner de cons est la pièce la plus jouée au Québec, tant par les étudiants que par les professionnels.
BIOGRAPHIES
JEAN-PIERRE CHARTRAND
Ce comédien qui cumule tout près de 45 ans de carrière, n’a jamais chômé étant actif dans toutes les sphères culturelles. À chacune de ses apparitions, le succès est garanti. Il a signé quelques mises en scènes. Il a aussi été de la distribution de plus d’une centaine de productions théâtrales dont Le dindon, Les mains d’Edwige au moment de sa naissance, La mouette, Oncle Vania, Le songe d’une nuit d’été, Les joyeuses commères De Windsor, Le vent et la tempête, L’habilleur, Le malade imaginaire, Le barbier de Séville, On ne badine pas avec l’amour, L’auberge des morts subites ainsi que Charbonneau et le chef. Le théâtre en été l’intéresse à un point tel qu’il a célébré l’an dernier ses 30 ans dans ce secteur d’activités. On a pu le voir dans de nombreuses pièces dont les plus récentes sont Sous-sol à louer, La potion d’amour, Un coup de maître, Le bienheureux, Alerte à la blonde, Le dîner de cons, Les Sunshine Boys, Une question d’honneur et Bonjour Broadway. À la télévision, on a eu recours à son talent pour des téléthéâtres, plusieurs émissions pour enfants notamment pour Picotine, Maigrichon et Gras Double, Chez Hélène, Les Égrégores, Le Gutenberg, Alexandre et le roi, Minibus, L’ingénieux Don Quichotte, Klimbo et Réal-TV. Il a aussi participé à plusieurs dramatiques dont Du tac au tac, La télévision du bonheur, La clé des champs, Manon, Robert et compagnie, Montréal ville ouverte, Vaut mieux en rire, Ma tante Alice, Le dépanneur olympique, Santa Maria, Moi et l’autre, Sous le signe du lion, Si la tendance se maintient et L’Auberge du chien noir.
ANTOINE DURAND
Depuis plus de trente ans, Antoine Durand est un comédien polyvalent. Oeuvrant au théâtre, au cinéma comme à la télévision, il mène également une florissante carrière dans le domaine du doublage. Il incarne notamment la voix québécoise de nombreux acteurs tels que Edward Norton, Christian Bale et Owen Wilson. C’est au petit écran qu’Antoine Durand entame sa carrière d’acteur, dans Alexandre et le roi. Il enchaîne ensuite plusieurs rôles dans des téléséries cultes telles que Jamais deux sans toi, Chop Suey, Là tu parles, Les héritiers Duval, Mon meilleur ennemi, L’auberge du chien noir, Caméra café, La Galère, Providence et Toute la vérité. On le verra à l’automne prochain dans la série Nouvelle adresse. Au cinéma, on a pu le voir entre autres dans les films Comment faire l’Amour avec un nègre sans se fatiguer, Rêve aveugle et Premier juillet, le film. Il a aussi joué au théâtre dans une quarantaine de pièces telles que Le faucon, La cerisaie, Là, La fête des pères, Le bienheureux, Fragments de mensonges inutiles, Scandale, L’esprit de famille et Un village de fous.
MYRIAM LEBLANC
Actrice singulière apportant à chacun de ses rôles autant de force que de fragilité, Myriam LeBlanc possède une étonnante feuille de route. Soudain l’été dernier, Mon corps deviendra froid, Six personnages en quête d’auteur, Macbeth : elle cumule plusieurs premiers rôles au théâtre où elle est remarquée pour sa présence sur scène, son sens de la comédie et la profondeur de son interprétation. Depuis 2012, son nom est sur toutes les lèvres. Et pour cause. Elle remporte le Prix Gémeaux du Meilleur rôle féminin dans une série pour sa bouleversante Manon d’Apparences. De l’impayable Sonia Dubeau dans Les étoiles filantes à l’intrigante Louise de Mauvais karma, elle sait donner une teinte de folie et un caractère unique à chacun de ses rôles. Présentement, elle incarne avec beaucoup de délicatesse le rôle d’Émilie Charlebois dans la quotidienne 30 vies et fait partie de la distribution de Subito Texto à Télé-Québec.
MARCEL LEBOEUF
Diplômé de l’École nationale de théâtre en 1974, Marcel Leboeuf a su se tailler une place intéressante et importante dans le milieu des arts. À la télévion, on a pu le voir dans plusieurs séries dont Les Moineaux et les Pinsons, Chop-Suey, L’argent fait le bonheur, 10-07, Bombardier, Au nom du père et du fils, Gypsies, Un peu beaucoup, à la folie (série de Janette Bertrand), Le retour, Watatatow, Virginie et Toute la vérité. Au cinéma, il a joué dans les films Rafales, L’assassin jouait du trombone, Tendre guerre, La petite histoire d’un homme sans histoire et French Immersion. Il a joué dans plus d’une quarantaine de pièces de théâtre dont les plus récentes sont Scandale, Les Parlementeries, Les fourberies de Scapin, Ladies Night et Un homme, deux patrons, en plus de faire une vingtaine de tournées au Québec, notamment avec Toc toc, Les fourberies de Scapin et Ladies Night. Il a écrit durant une période de quatre ans dans le quotidien La Tribune de Sherbrooke et depuis 2001, il consacre une partie de sa carrière à donner des conférences.
ANDRÉ ROBITAILLE
Aucun défi ne résiste à cet homme à tout faire, diplômé de l’École nationale de théâtre en 1989, qui s’illustre avec un brio égal dans le jeu, la mise en scène, l’animation et l’humour. Collaborateur remarqué dans les émissions 100 limites et Bons baisers de France, André Robitaille est aussi un redoutable animateur, séduisant autant les jeunes avec Vazimolo que le public adulte avec Les mordus, Les forges du désert, C’est juste de la TV (2007-2013), Testé sur des humains et, depuis l’automne 2013, le talk-show quotidien en direct Entrée principale. Maître d’œuvre vif et allumé, il a conduit plusieurs jeux télévisés. Il a animé Le Gala des Prix Gémeaux en 2007. Comme acteur, il se distingue autant dans les séries jeunesse telles Les intrépides, Tactik que dans les dramatiques comme Bombardier, Le retour, Rue L’Espérance, Hommes en quarantaine et 30 vies. Régulièrement de passage sur les planches, il tire aussi son épingle du jeu au théâtre, participant à plus d’une vingtaine de productions majeures comme comédien et comme metteur en scène. Il a aussi tenu des premiers rôles dans les films L’âge des ténèbres de Denys Arcand et Bon Cop, Bad Cop d’Érik Canuel. Il apparaît aussi au générique des longs métragesRoméo et Juliette, Monsieur Lazhar et L’enfant prodige. Sa parfaite aisance à l’animation l’a aussi amené à animer les émissions Les midis fous et Y’é trop d’bonne heure à CKOI dans les années 1990, puis Tout l’monde debout! à Rock Détente de 2005 à 2007. Son excellence, à titre d’animateur, lui a valu au fil des ans cinq MetroStar et six Prix Gémeaux.
GENEVIÈVE ROCHETTE
Femme aux multiples talents, Geneviève Rochette mène de front des carrières de comédienne, scénariste, auteure et humoriste, dans lesquelles elle excelle également. Bien connue du grand public pour ses apparitions au petit écran, notamment dans Au nom du père, Omertà, Réseaux, Virginie, Mirador, 30 vies, La galère, elle a aussi été lectrice de nouvelles humoristiques à l’émission Il va y avoir du sport. Elle a animé l’émission Les 7 péchés capitaux où elle a également été narratrice et a été chroniqueuse à Jour de la terre. Elle a été de la distribution des webséries Manigances : notice rouge et Les béliers. On a aussi pu la voir dans plusieurs films dont les plus récents, Québec-Montréal et La vengeance d’Elvis Wong. Au théâtre, en plus de prendre part à diverses productions, entre autres La veuve rusée, Les enfants d’Irène, L’ardent désir des fleurs de cacao et Anna sous les tropiques. Elle participe en tant qu’auteure et comédienne aux productions du Théâtre de l’Allumette, théâtre pour enfants qu’elle a cofondé. En tant que scénariste, elle a à son actif plusieurs courts métrages dont Mardi matin… quelque part, Entre-deux et La millième.
Enfin, le groupe humoristique Les Zapartistes dont elle a fait partie de 2001 à 2005 et pour lequel elle a participé à l’écriture de sketches et de chansons, a remporté en 2004 le Prix Gémeaux pour le Meilleur texte d’émission de variétés.
NORMAND CHOUINARD
Normand Chouinard commence son parcours académique par un diplôme en droit à l’Université Laval. Mais à peine devenu avocat, il entre aussitôt au Conservatoire d’art dramatique de Québec. Rapidement, les metteurs en scène de la capitale remarquent son talent. À la fin des années 70, son sympathique Gaétan, chauffeur de taxi dans Du tac au tac, le fait connaître du grand public. Toujours dans l’humour, il prend part ensuite à quelques Bye-Bye, mais surtout, au très populaire Samedi de rire d’Yvon Deschamps. Homme de théâtre, il cofonde en 1989 le Théâtre des Grands Chênes de Kingsey Falls. Il dirige aussi le Conservatoire d’art dramatique de Montréal de 1995 à 2001. Quarante-cinq années de carrière dont une trentaine passées au Théâtre du Nouveau Monde. Actif autant à la scène qu’à la télévision et au cinéma, il a exploré toutes les facettes du métier. Il a interprété plusieurs grands rôles au théâtre : Don Quichotte, Georges Dandin et le Vladimir d’En attendant Godot. Artiste accompli, trois fois lauréat du prix Gascon-Roux, il a participé à de nombreuses émissions de télévision, a joué dans des opérettes, a fait de la mise en scène (L’hôtel du libre-échange, Ubu roi, Le dindon, Un homme, deux patrons, Marius et Fanny, ainsi qu’Edgar et ses fantômes), a collaboré à l’écriture de scénarios. On l’a vu dernièrement à l’émission Le choc des générations à Radio-Canada.
