Dookie – Le nouveau clip de Eman & Vlooper réalisé par François Péloquin

Dookie
Dookie

Les disques 7ème ciel et Couzin Films se sont associés pour la production du vidéoclip « Dookie » deEman & Vlooper, réalisé par François Péloquin et inspiré de son premier long métrage « Le bruit des arbres », en salle le 3 juillet.

Sélectionné en Compétition Officielle à la 50e édition du prestigieux Festival international du film de Karlovy Vary, qui se tiendra du 3 au 11 juillet 2015 et en salles au Québec dès le 3 juillet, « Le bruit des arbres » met en vedette Antoine L’Écuyer et Roy Dupuis. Comme le personnage principal du film écoute toujours du hip hop québécois, la trame sonore est constituée de chansons de Dead Obies, Loud Lary Ajust, Koriass et Eman & Vlooper, dont la chanson « Dookie » a été choisie pour le générique de fin puisqu’elle reflète plusieurs thématiques de l’histoire. Il était donc naturel d’embarquer le groupe Eman & Vlooper dans une vieille Oldsmobile et retourner en forêt saisir des images pour le clip, inspiré de l’esthétique du film « Le bruit des arbres » tourné en août-septembre 2014 dans la région de Matane et ses environs.

Synopsis du film
À 17 ans, Jérémie (Antoine L’Écuyer) rêve d’un ailleurs meilleur, loin de la scierie familiale et de son village natal du Bas-Saint-Laurent. Aux travaux sylvicoles, Jérémie préfère sa voiture, le hip hop et les virées avec ses amis. La situation désespère son père, Régis (Roy Dupuis), qui blâme un petit revendeur de drogues pour ce désintéressement. Au départ du frère aîné, les vies de Jérémie et de Régis basculent. Raconté en une trentaine de moments, Le bruit des arbres est un film-chronique qui retrace l’été d’un adolescent pris entre le fleuve et la forêt.

Équipe du vidéoclip
Le directeur de la photographie du vidéoclip est Alexandre Bussières, le monteur Xavier Lévesque et le coloriste Mathieu Gibeault, dans une réalisation de François Péloquin et une production de Ziad Touma de Couzin Films en association avec Les Disques 7ième ciel.

Équipe du film
La direction de la photographie du film est assurée par François Messier-Rheault, la direction artistique par Simon Guilbault et le montage par Martin Bourgault, Aube Foglia et Simon Sauvé. Willia Ferland-Tanguay, Rémi Goulet et Charles-Émile Lafleur en complètent la distribution.