« FRAGMENTS DE TEMPS » L’espace contemporain présente Sylvie GRONDIN, artiste de la Galerie

Oeuvre de Sylvie Grondin © photo: courtoisie
Oeuvre de Sylvie Grondin © photo: courtoisie

L’espace contemporain galerie d’art de Montréal, 5175, av. Papineau (coin Laurier) présentera du 13 au 25 octobre 2015, « Fragments de temps », une exposition individuelle de l’artiste de la galerie Sylvie GRONDIN. Le vernissage aura lieu, le dimanche 18 octobre de 14 h à 16 h. Vous y êtes cordialement invités. Le public aura accès à la galerie aux heures suivantes : mardi et mercredi de 12 h à 18 h, jeudi et vendredi de 12 h à 20 h, samedi et dimanche de 12 h à 17 h.

L’EXPOSITION – « Fragments de temps  »

L’artiste Sylvie GRONDIN nous plonge dans son univers particulier pour nous faire découvrir son travail à travers un amalgame de textures, de strates où la densité de la matière et de la couleur s’imprègnent de la trace laissée par le passage du temps. L’artiste nous propose ainsi un corpus d’oeuvres issu de sa dernière production et qui nous fait pénétrer plus profondément dans des espaces denses, très texturés où les fonds évoluent sous forme de fragments, aux allures organiques ou minérales.

Ces fragments s’unissent pour refaire un tout, une matrice créant des lieux façonnés qui s’attribuent des résonnances de reliefs avec un rythmique et une poésie indéniable. Les couleurs dessinent ensuite la réflexion des traces, des stigmates ou des mouvements laissés en superposition par l’effet du temps.

Une exposition qui illustre le rapport au monde de l’artiste dans des univers de médiums, de matière et de textures qui se fusionnent pour en prendre sens. 

L’ARTISTE – Sylvie GRONDIN

Sylvie GRONDIN habite et travaille dans la ville de Québec. Sa démarche artistique consiste principalement à traduire dans sa fascination pour la matière : ce matériau ou cette substance qu’elle nomme mémoire vivante, témoin palpable d’un lieu, d’un temps, d’évènements… Les techniques mixtes et sa pratique de l’estampe lui permettent de graver sur des surfaces, de recueillir les traces, les empreintes et les cicatrices de cette matière.

 Son travail est davantage un acte intuitif que le fruit d’une longue planification. Toutefois, elle a des balises qui la guident tout au long de son parcours jusqu’à la réalisation finale de l’œuvre. Sylvie GRONDIN poursuit une quête, une finalité de l’œuvre, qui n’a de cesse qu’à l’instant où l’harmonie visuelle s’en dégage, « un geste de moins lui manquerait et un de plus l’encombrerait ».