Un lancement de feu pour Martin Boisseau et les cœurs putains à la Ninkasi du Faubourg

Vincent Morel, Martin Boisseau, Yan Laboissonnière
Vincent Morel, Martin Boisseau, Yan Laboissonnière

Le mardi 3 mai avait lieu à la Ninkasi du Faubourg un lancement-spectacle enflammé du premier EP du trio Martin Boisseau et les cœurs putains pour un 5 à 7 qui ouvre le party avec du rock aux influences de Rush, des Rolling Stones et aux influences pop de Luc De Larochelière.

Comme tous les rendez-vous du mardi à la Ninkasi, on retrouvait le technicien de son Étienne et son travail impeccable ainsi que la gentille Dominique Lalande pour les relations de presse pour les artistes qui ont été sélectionnés et qui valent le déplacement pour leur musique et chansons que l’on veut aussi réécouter à la radio. (CKRL et éventuellement à 100.9 station rock, ne vous gênez pas pour demander votre pièce préférée.)

Ce soir, le trio nous a joué du rock énergique sur des textes intelligents en français inspiré d’oeuvres que l’auteur-compositeur-interprète et bassiste Martin Boisseau affectionne particulièrement : Claude Gauvreau (Mon Olivine), Milos Forman (Vol au-dessus d’un nid de coucou), The Police (Message In A Bottle), Serge Leclaire (Démasquer le réel), The Rolling Stones (Paint It Black), Luc De Larochelière (Cash City), Rush (Natural Science).

Martin Boisseau, l’interprète et bassiste était accompagné de Yan Laboissonnière à la batterie avec ses doigts magiques qui tournaient les baguettes comme le font les gros band et de Vincent Morel à la guitare qui jouait en toute intériorité.

Les sept pièces du EP ont toutes été jouées en terminant avec la plus pop de l’album avec la pièce « Espace » où Martin nous a proposé de chanter. « Ce que j’aime ne peux plus attendre, Ce que j’aime aime ce que t’aime, Ce que j’aime ne peux plus attendre » un petit couplet bien rythmé, mais bien mêlant au début.

Martin à la basse, Yan Laboissonnière à la batterie et Vincent Morel à la guitare.
Martin à la basse, Yan Laboissonnière à la batterie et Vincent Morel à la guitare.

Les gens ont bien apprécié le spectacle et ont applaudi chaleureusement afin d’avoir un rappel. La première pièce du rappel, Martin l’a fait seul en s’accompagnant à la basse et la deuxième chanson « Va donc savoir » contenait un extrait de Jacques Brel. Deux très belles pièces qui seront peut-être sur le prochain album.

Martin a fait ses remerciements à ses deux musiciens qui malgré le fait qu’ils ont de jeunes enfants, se rendaient disponibles pour pratiquer et il a remercié André Lavergne qui s’est occupé du mixage et aussi qui l’a guidé au niveau de la voix.   Il a remercié les gens dans la salle pour leur belle écoute. Il a bien raison, malgré que ce soit du rock, les gens écoutaient religieusement les paroles pour ne rien manquer.

À propos de Martin Boisseau :

Martin Boisseau est d’abord artiste en arts visuels. Il a montré ses travaux dans une cinquantaine d’expositions. Ses œuvres font partie d’une quarantaine de collections privées et des collections publiques suivantes : Musée national des beaux-arts du Québec, Banque Nationale, Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Musée d’art de Joliette, Centre d’art de Baie-Saint-Paul, Université du Québec à Montréal. Martin Boisseau est représenté par la Galerie Graff à Montréal. En 2013, il a publié aux Éditions du Noroît Frapper l’image (atelier de notes). www.graff.ca/galerie/artistes/article/martin-boisseau

À propos de Yan Laboissonnière

Yan joue de la batterie depuis l’âge de 11 ans. Il a fait partie d’un groupe a saveur métal de 2011 à 2015 « One Nation Flag ». Présentement avec un groupe, il transforme certains succès, son groupe s’appelle « Hitbusters ».

À propos de Vincent Morel

Originaire de France, il est à Québec depuis une quinzaine d’années. Il joue de la guitare depuis son adolescence et il a fait plusieurs projets de blues et de rock. C’est lui-même qui a fabriqué sa guitare. Si jamais vous en voulez une, il n’a pas de page facebook, mais vous pouvez le contacter à (morel.vincent@yahoo.ca)

Yan et Vincent m’ont dit que Martin avait fait les démos pour la musique et qu’il leur a laissé toute la place pour la création pour essayer autre chose et ils l’ont bien apprécié.

COMMENT FAIRE POUR SE PRODUIRE À LA NINKASI

Les lancements à La Ninkasi
Les lancements à La Ninkasi

Les mardis soirs en formule 5 à 7 vous avez l’opportunité de lancer gratuitement votre album grâce aux lancements Unibroue de la Ninkasi. Pour réserver votre date contactez Ninkasi au lancement@ninkasi.ca

Mathieu de la Ninkasi vous offre pour votre lancement un forfait relations de Presse, une scène chaleureuse, un technicien de son expérimenté, un back line complet et une salle accueillante. Il ne vous restera plus qu’à inviter vos fans. De gentils serveurs, et serveuses seront là pour vous servir la bière à bon prix.

Ninkasi offre aussi gratuitement un forfait de relations de presse pour le lancement des albums. Celui-ci est assumé par Dominique Lalande (dola communications) qui fait la promotion auprès de chroniqueurs pour le lancement et en fait aussi la promotion radio. C’est un aspect très intéressant pour les artistes qui ne savent pas toujours comment faire leur promotion après la production.

Le mardi, au Ninkasi, c’est scène ouverte à 22 heures pour un NR jam.

http://laninkasi.ca/

La Ninkasi du Faubourg 811, Rue Saint-Jean Québec, QC G1R 1R2

Téléphone : 418 529-8538

LANCEMENT À MONTRÉAL

30 mai au Verre Bouteille / (514) 521-9409

2112 Avenue du Mont-Royal E, Montréal, QC H2H   www.verrebouteille.com

Voici ma critique d’album où vous pourrez lire plus en détail l’historique de chacune des chansons : https://info-culture.biz/?p=158154

www.martinboisseauetlescoeursputains1.bandcamp.com/

Crédit photo: Marie-Josée Boucher