Pascal Allard – Je voulais marier Renée Martel

Pascal Allard
Pascal Allard

En spectacle

12 mars Pointe au Trembles – LanJeu

25 mars Montréal – P’tit Bar

14 avril Jonquière – Bistro Café du Centre

15 avril Dolbeau-Mistassini – Micro-Brasserie Le Coureur des bois

27 mai Drummondville – La Sainte-Paix

28  juillet Sorel-Tracy – Festival Country

Pascal Allard est un cowboy en running qui présentera son premier album J’aurais voulu marier Renée Martel le 24 mars. Il a non seulement écrit, composé et réalisé l’album, mais aussi joué tous les instruments (sauf la guitare steel). Pascal annonce clairement ses couleurs, d’un gars authentique qui s’affirme et chante son amour du country avec fierté.

Pascal chante l’amour bien sûr avec des thèmes comme l’idole de jeunesse, le cœur brisé avec l’espoir que tout va s’arranger, les amants que l’on prend et on met ça sur le dos de « la bouteille », on courtise notre bien aimé, mais aussi on est triste de se quitter et de ne pas revoir la fille de notre conjointe qu’on aimait comme la nôtre. Il fait aussi dans l’humour avec « Le prix du gaz » et parle de bonheur en gélule, tous des thèmes où les gens se reconnaissent.

Un mot de Renée Martel

«?J’adore ça pis je trouve que c’est super bien écrit parce qu’il y a beaucoup de références à ma vie, à ma carrière, à mon père (…)?»
À propos de Pascal Allard

« Né à Drummondville, Pascal grandit sur des fermes de chevaux de course. Son père est entraineur et travaille avec du country en trame sonore. À cinq ans, Pascal reçoit un disque de son premier héros, Bobby Hachey. En fouillant dans la collection de sa grand-mère, il découvre Marcel Martel, Willie Nelson et les Beach Boys.

Au moment où le grunge a la cote chez les ados de son âge, il passe ses midis dans les locaux de l’école à répéter des chansons de la famille Daraîche, des Beach Boys et des Beatles. Il décide finalement d’étudier en musique au cégep, mais ennuyé par une formation trop classique, il abandonne ce programme. Il poursuit ses études à l’université en science politique et en histoire tout en jouant de la musique dans les bars et cafés les fins de semaine. Il continuera son apprentissage de la guitare en parallèle avec le musicien Jacques Mandeville, frère de l’un de ses autres modèles importants, Gaston Mandeville.

Secoué par le décès de sa grand-mère en 2003, il se lance, habité par un sentiment d’urgence, dans la conception d’un album de chansons originales afin de réaliser son rêve d’enfance. Le disque Nouveau Monde, qu’il signe sous le pseudonyme de Peya, est lancé en 2009. Malgré les arrangements pop de sa création, Pascal cache difficilement le cowboy qui sommeille en lui durant sa tournée de promotion, grattant des airs de Roy Orbison et de Johnny Cash lors de ses entrevues. Ce projet atteint les oreilles du producteur télé Robert Montour, à qui Pascal propose de composer des chansons originales pour les émissions MixMania2 et MixMania3. Il crée ensuite plusieurs thèmes musicaux pour le petit écran dont Les Testeurs, Les Dieux de la scène et Brassard en direct d’aujourd’hui.

En 2014, il revient à ses racines : la musique country. Il écrit et compose des chansons dans le but de les proposer à d’autres artistes du genre. Mais en achevant le morceau Je voulais marier Renée Martel, un déclic se produit : cette chanson lui ressemble tant qu’il sent que lui seul peut la chanter. Il compose une quarantaine de chansons pour en conserver une douzaine. Naviguant à travers le Bakersfield Sound de la Californie et le country texan d’Austin, Pascal Allard exploite à fond toutes ses influences à travers douze pièces où la sensibilité et le romantisme côtoient l’arrogance et l’humour. Un univers coloré où les harmonies des Beach Boys accompagnent brillamment le pedal steel et la Telecaster ».

http://pascalallard.com/