Et au pire, on se mariera, au Festival d’Angoulême

Et au pire, on se mariera
Et au pire, on se mariera

Et au pire, on se mariera, de Léa Pool

EN COMPÉTITION OFFICIELLE

AU FESTIVAL D’ANGOULÊME

Mettant en vedette

Sophie Nélisse

Karine Vanasse

Jean-Simon Leduc

Produit par

Lyse Lafontaine, François Tremblay (Lyla Films – Canada)

Elisa Garbar (Louise Productions – Suisse)

Lyla Films et Louise Productions sont heureux d’annoncer que le prochain long métrage de Léa Pool, Et au pire, on se mariera, a été sélectionné en compétition officielle au Festival du film francophone d’Angoulême qui se tiendra cette année du 22 au 27 août. Seul film québécois en compétition, dont le jury est présidé par John Malkovich, Et au pire, on se mariera met en vedette Sophie Nélisse, Karine Vanasse et Jean-Simon Leduc. Le film sortira sur les écrans du Québec le 15 septembre prochain.

Ce treizième long métrage de Léa Pool, écrit par cette dernière et la romancière Sophie Bienvenu, auteure du roman éponyme qui est publié aux éditions La Mèche, traite des amours interdites et de la violence des premiers émois.

Comme l’enfer, l’amour est pavé de bonnes intentions. Et au pire, on se mariera, c’est l’histoire d’Aïcha (14 ans), de ceux qui l’aiment, de cet amour qui dévore et qui détruit. Seule avec sa mère Isabelle (Karine Vanasse), Aïcha (Sophie Nélisse), ne pardonne pas à celle-ci d’avoir mis à la porte son beau-père algérien qu’elle adorait. Lorsqu’elle rencontre Baz (Jean-Simon Leduc), un gars qui a le double de son âge, c’est le coup de foudre, le vrai, le fort, celui qui fait mal. Baz veut aider cette adolescente qui semble perdue, mais elle désire bien plus de lui et elle est prête à tout pour l’obtenir.

Suivre Aïcha, c’est entrer dans un labyrinthe pour s’y perdre autant qu’elle…

Dans sa démarche cinématographique, Léa Pool privilégie des histoires touchantes, sensuelles et passionnées lui permettant d’explorer un vaste registre d’émotions. Elle s’est vue décerner de nombreuses distinctions au cours de sa carrière. Son dernier long métrage, La Passion d’Augustine, qui a cumulé des recettes de près de 2 millions $ au box-office québécois, avait d’ailleurs reçu le Valois du public (Prix du public) à ce même Festival d’Angoulême en 2015.

« Nous sommes vraiment honorés et très fiers de faire partie de la compétition officielle du Festival du film francophone d’Angoulême. Ce festival, qui fête ses 10 ans d’existence, a toujours su faire une place importante au cinéma québécois. Nous espérons que le film touchera le cœur du jury et du public là-bas alors qu’il sera présenté quelques jours à peine avant sa sortie en salle ici. » déclare François Tremblay, producteur du film.

Et au pire, on se mariera, est produit par Lyla Films, en coproduction avec Louise Productions (Suisse), avec la participation financière de la SODEC, de Téléfilm Canada, des programmes de crédits d’impôts du Québec et du Canada, ainsi que du Fonds Harold Greenberg.

Distribué par K-Films Amérique, Et au pire, on se mariera, prendra l’affiche au Québec le 15 septembre 2017.

Le film est représenté à l’international par Séville International, division indépendante des ventes internationales des Films Séville à Montréal.

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