Danielle Duval – Lose It – disponible dès le 26 janvier

Danielle Duval

Née à Montréal et maintenant établie à Toronto, Danielle Duval, est une rockeuse dans l’âme. La preuve?? Son nouvel album LOSE IT qui sera disponible le 26 janvier.

LOSE IT, tire son nom du morceau-phare de cet album indéniablement accrocheur et dansant avec ses sonorités électro-pop synthétique. Danielle s’est aussi investie dans la production de LOSE IT, pour laquelle elle a collaboré avec l’auteur-compositeur-interprète Sam Roberts. On peut d’ailleurs l’entendre chanter et jouer la plupart des instruments sur la pièce «?Nowhere Is Far?» qu’ils ont coécrit.

Danielle Duval a aussi collaboré avec les talentueux Mark et Matt Thibideau. Le résultat est une plongée dans l’univers classique et rétro des synthétiseurs analogiques, des boucles et des boîtes à rythmes. On retrouve la griffe des «?synth twins?» de Toronto, inspirée par Depeche Mode, Giorgio Moroder et Kraftwerk, sur les morceaux «?Undercover?», «?Beat It Down?» et «?Whenever You Want It?», chargés de leurs prouesses au synthétiseur modulaire.

Écoutez l’extrait Whenever You Want it via Spotify

Sous la voix profonde et magnétique de Danielle, ces nouveaux morceaux jouent avec les harmoniques et les mélodies du rock indie. Le son est dense, texturé et porté par une sonorité électro-pop synthétique complètement addictive où les paroles sont habiles et touchent en plein cœur.

Pour LOSE IT, les réalisateurs Gus Van Go, Werner F et Danielle Duval partageaient la même vision, celle de capturer le style et l’audace qui caractérisent des artistes tels que LCD Soundsystem, T. Rex et Joan Jett en les combinant au son électro de la new wave sacralisée par des groupes comme The Cars, The Human League et Blondie. Ils ont clairement réussit à conserver la touche indie-rock personnelle de Danielle tout en explorant la densité, le rythme et l’énergie du new wave qui faisait danser de la fin des années 70 à la fin des années 80.

Danielle Duval, une artiste à découvrir sans aucune réserve?!