The Cat Empire – Stolen Diamonds

The Cat Empire

EN SPECTACLE
03/03
Québec – Capitole
04-05/03 Montréal – MTELUS
07/03 Toronto – Danforth Music Hall
08/03 Waterloo, On – Maxwell’s Music House
12/03 Winnipeg – Buron Cummings Theatre
14/03 Edmonton – Winspear Centre
15/03 Calgary – MacEwan Hall
17-18/03 Vancouver – Commodore Ballroom
19/03 Victoria – Royal Theatre

Vidéo de Oscar Wide:

https://www.youtube.com/watch?v=NwRzyVdvXhY

La sortie de l’album Stolen Diamonds via Two Shoes Records, le 15 février prochain marquera un nouveau chapitre de l’illustre carrière du groupe The Cat Empire

Stolen Diamonds, c’est la célébration du groove soul, c’est le son d’un groupe bien huilé. La chanson-titre de l’album concoctée par Harry Angus, résonne de cuivres et de rythmes trépidants.

À propos de « The Cat Empire » et leur album

C’est tout près de Melbourne, qu’est né Stolen Diamonds. Enregistré aux côtés du producteur et collaborateur de longue date Jan Skubiszewski. L’album a été dévoilé aux fans à raison d’une chanson par mois tout au long de 2018, et réunit tous les éléments qui ont su former le son tout à fait unique du groupe. Fidèle à la tradition, The Cat Empire continue de susciter la passion et l’enthousiasme de ses loyaux admirateurs.

Les pièces de l’album

L’album débute avec Kila, une entrée en matière fracassante armée de l’un des plus imposants refrains jamais écrits par le groupe.

Oscar Wilde s’envole en un swing propre au son de Melbourne, mais saupoudré de notes rappelant Soweto. Elle berce l’envoûtante voix de Felix Riebl, qui nous évoque de chaleureux souvenirs du passé, les siens comme les nôtres.

Premier des morceaux à avoir été révélé aux fans en 2018, représentant à la fois le passé, le présent et l’avenir du groupe, Ready Now est un véritable hymne à leur talent. «Une pièce qui sonne comme une sombre fanfare en fuite. Les paroles chantent la frustration et le conflit, mais la mélodie lui confère un bel éclat de joie.

Barricades commence avec un intense riff de piano joué par Ollie McGill, le maître clavieriste de The Cat Empire, qui s’ouvre sur une voix éthérée livrée par Harry Angus. La pièce se transforme ensuite en un reggae funk avec la section rythmique prenant le relais avant de se casser et de revenir dans l’éther. Une des plus heavy de l’album.

Anybody, la première chanson à avoir été enregistrée. Si elle semble, à première écoute, pleine d’entrain et de bonne humeur, on y découvre cependant des paroles aux thèmes beaucoup plus profonds.

Chantée pour la plus grande partie en français par l’artiste invitée Eloïse Mignon, la douce et lente La Sirène s’éloigne un peu de ce à quoi The Cat Empire nous ont habitués. Le Québec s’est fait la terre d’accueil du groupe pendant plus d’une décennie et ce morceau est un véritable clin d’œil destiné à leurs admirateurs francophones.

Echoes, l’une des pistes les plus tendres de l’album, propose à son tour un rock lourd et entraînant qui accompagne à merveille la chaude voix de Harry Angus.

L’expressive Who’s That débute de façon spartiate, entraînée par des tourbillons sonores et des percussions qui s’intensifient lentement avec chaque modulation, nous faisant toujours croire qu’elle explosera en une œuvre magistrale avant de s’adoucir en un instant, ne laissant derrière elle que les traces d’un hook accrocheur.

Un rythme en cascade fait place à un groove euphorique sur l’imposante Adelphia, une piste aux saveurs tout à fait uniques. Les ruptures rythmiques au parfum latin résonnent d’accroches vocales et cuivrées, et prouvent que la recette parfaite du roots pop de Cat Empire peut être réinventée en un élixir chantant la vie.

Saturday Night est un tour de force de cuivres flamboyant qui rebondit sur les sonorités bounce estivales de Will Hull Brown.

Le rythme effréné de Bow Down et son motif récurrent à la contrebasse – composé par Ryan Munroe – s’élancent sans retenue et accompagnent encore une autre excellente performance d’un Harry James Angus qui s’incline devant l’amour.

Mettant en vedette le musicien espagnol Depedro, membre du groupe Calexico, Sola est un autre morceau dédié à tous les admirateurs de Cat Empire à travers le monde. Chantée majoritairement en espagnol, la langoureuse cumbia de Sola révèle le côté le plus doux du groupe. Écrite et performée en collaboration avec Depedro, elle clôt cet album de façon magistrale.