ADA LEA – L’artiste montréalaise présente l’album « what we way in private » à paraitre le 19 juillet

Ada Lea

EN SPECTACLE
04/07 – Montréal – Pointe-à-Callière
01/08 – Toronto – The Drake Hotel
02/08 – Brooklyn – Union Pool
03/08 – Philadelphie – Boot & Saddle
04/08 – Cambridge – Cloud Club
10/08 – Montréal – Brasserie Beaubien

L’artiste montréalaise Ada Lea (aka Alexandra Levy), présente «mercury», nouvel extrait tiré de son premier album what we say in private qui sera lancé le 19 juillet via Next Door Records / Saddle Creek.

Pour Ada Lea qui est aussi peintre, la musique et les arts visuels sont différents outils pour communiquer des idées similaires. Avec la clarté de l’amour, la force et l’espoir contrastent la noirceur du deuil, de la souffrance et de l’abandon, what we way in private est un album varié et saisissant, une magnifique collection de chansons pop.

C’est par ses créations – musicales ou autres – qu’Ada Lea explore les concepts de la féminité et de l’amour, tels qu’elle les comprend et les ressent et tels qu’ils se transforment au fil du temps. Elle n’hésite pas non plus à s’intéresser aux émotions les plus désagréables et les plus douloureuses. Explorant l’éclat de l’amour, de la force et de l’espoir en contraste de la noirceur du deuil, de la souffrance, de l’isolement et de l’abandon, what we say in private est un album à la fois vivant et varié. Passant constamment de l’ombre à la lumière, il rassemble en un tout, les diverses influences recueillies par l’artiste au cours de sa carrière.

what we say in private est né du désir de documenter la fin d’une importante relation amoureuse. Ada Lea traversait à l’époque une période mouvementée, tourmentée et frénétique. Sautant de la joie, de la tristesse, de la colère et de la frustration à la jalousie, au bonheur, au désespoir et à l’optimisme, elle enchaînait les nuits blanches passées à peindre ou à composer. C’est ensuite dans l’espoir de se retrouver qu’elle s’est décidée à tenir un journal pendant 180 jours consécutifs. Cette période d’analyse et d’introspection s’est déroulée comme la plupart de ses activités créatives – en privé –, et s’est finalement soldée par une renaissance, une redécouverte, ainsi que par un nouveau sentiment de liberté et d’acceptation de soi.

Réfléchi et charismatique, what we say in private semble réellement prendre vie grâce aux enregistrements qui s’inspirent du monde qui nous entoure. Ada Lea, aux côtés du producteur Tim Gowdy, a voulu repousser les frontières du studio pour permettre à ses pièces de s’épanouir de façon naturelle et nuancée. « Tout cela s’inscrivait dans un concept plus vaste », dit-elle. « Nous avons branché des microphones sous les fenêtres à la mi-janvier pour capter les sons froids de la nuit. Nous avons enregistré les camions de déneigement qui reculent dans le stationnement et les avions qui survolent le terrain. Nous avons utilisé des mémos vocaux qui nous venaient d’ici et là. Je m’étais construit un monde à l’aide de mes démos, mais Tim m’a aidée à y ajouter une touche de magie supplémentaire. »

Véritable îlot de chaleur humaine, cet album se caractérise ainsi par un son bien particulier, que l’on retrouve à travers tous ses morceaux. Le premier extrait, « the party », nous dévoile un habile bourdonnement statique, une douce atmosphère qui perdure et encadre les puissants instruments peu à peu introduits aux côtés de la captivante voix d’Ada Lea.