Spectacles :
30 août : Octoberfest des Acadiens / Bertrand (NB)
13 septembre : Place des Chapiteaux / Ange-Gardiens
1 septembre : La fête à St-Tite /St-Tite
Après 20 ans d’absence sur disque, LES FRÈRES À CH’VAL, la formation emblématique des années 90, reprend du service. AST’HEURE, un premier album original depuis 1999, est un retour aux sources en force. LES FRÈRES À CH’VAL, c’est un sens inné des mélodies accrocheuses et des refrains qui se fredonnent spontanément.
Ce nouvel album confirme que LES FRÈRES À CH’VAL n’ont rien perdu de cette signature musicale qui leur est propre et qui a marqué la scène musicale québécoise.
En 2019, LES FRÈRES À CH’VAL, c’est Polo à la voix et aux guitares, Gilles Brisebois à la basse, Denis Lavigne à la mandoline, claviers, banjo, voix et François Lalonde à la batterie.
Réalisé par Gilles Brisebois, AST’HEURE est composé de dix nouveaux titres, dont deux adaptations signées par Polo. Tout d’abord, Paye-moé, à l’origine Pay Me My Money Down, un chant traditionnel d’esclaves sauvé de l’oubli par Lydia Parrish au début du XXe siècle, puis Essaye-lé donc, originalementSalty Dog Blues, un classique bluegrass du début des années 1900.
Par ailleurs, la pièce instrumentale Elle Passa, clôt cette nouvelle production de façon originale. Composée par Denis Lavigne, ce « concerto pour égoïne et violon » met en valeur la sonorité unique de la « scie musicale ».
Soulignons qu’Yvon Lebrun (La chanson du gitan) et Dédé Traké (Mon petit quartier) se sont ajoutés au groupe en tant que collaborateurs à l’écriture et la composition du répertoire de ce nouveau disque.
C’est en 1999 que LES FRÈRES À CH’VAL ont offert Prends ça cool, leur dernier album de chansons originales. Encore aujourd’hui, il s’agit d’un album phare de la chanson rock québécoise. Celui-ci avait été précédé des albums C’pas grave et Paix, amour, et foin.
L’automne dernier, LES FRÈRES À CH’VAL lançaient Les plusses meilleures chansons, une compilation de leurs plus grands succès, dont les classiques Mon voisin, L’été, Ma belle Barbie, ainsi que leur inoubliable reprise de Cauchemar,popularisée à l’origine par Robert Charlebois.