Nikki ne mourra pas, Premier Acte du 12 au 30 novembre prochain

Le Collectif des Sœurs Amar présente… Nikki ne mourra pas.

C’est l’histoire d’une adolescente vivant seule avec sa mère qui sombre progressivement dans l’alcoolisme. C’est l’histoire d’un poisson mort. C’est l’histoire d’un œil de vitre. C’est l’histoire des « cristie » d’écureuils. C’est l’histoire de rosiers qui perdent la tête. Entre le cauchemar et le rêve, une adolescente lutte pour survivre.

Trois sœurs, trois artistes, issues des domaines du théâtre, du cirque et de la musique, s’unissent pour raconter une histoire, celle de Nikki. Leur objectif premier est de sortir l’acte de création des disciplines préétablies par les grandes écoles et, ainsi, de créer librement, sans contraintes, en déconstruisant leurs différents bagages pour n’en former qu’un seul en tant que collectif.

Nikki ne mourra pas est une œuvre dans laquelle la violence et le sang prennent un visage et un corps féminins. Le langage de l’auteure ne se distingue toutefois pas seulement par sa rage, mais aussi par une douce résilience qui permet d’ouvrir la porte à beaucoup d’humour. Les personnages attachants sauront tour à tour vous surprendre, vous émouvoir, vous déstabiliser et vous faire rire. Dans une société où la pudeur et la volonté de sauver les apparences l’emportent bien souvent sur la franchise, Nikki ne mourra pas se démarque par son intégrité.

Il y a Nikki, il y a la Mère, il y a Christophe, il y a Tommy;

il y a les cristis d’écureuils, il y a les fucking hot-chickens;

il y a la boucherie familiale, il y a le fleuve Saint-Laurent;

il y a l’amour, il y a la bienveillance;

il y a l’orgueil, il y a le dégoût;

il y a la survie, il y a l’instinct;

il y a beaucoup de toasts aux cretons.

Production : Le collectif des Sœurs Amar

Texte : Laura Amar

Mise en scène : Florence Amar, Laura Amar

Distribution : Lé Aubin, Étienne d’Anjou, Érika Gagnon, Vincent Legault

Assistance à la mise en scène : Stéphanie Hayes

Conception:  Claude Amar, Olivier Amyot-Ladouceur, Mathieu C. Bernard, Stéphanie Hayes, David Mendoza

Vendredis causerie : Le vendredi 15 novembre, une discussion avec les artistes et Jean-Philippe Chaîné, intervenant (crise et post-crise) au centre PECH, sera proposée aux spectateur(rice)s après la pièce.

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