Les marionnettistes, Table rase tome 3

« Il n’aimait pas que l’atypique assassin ait ciblé l’enquêteuse du Havre-Saint-Pierre. Pourquoi particulièrement Boisjoli? Pourquoi une femme, d’abord? Quel danger réel la Sureté faisait-elle courir à son sergent en l’envoyant où souhaitait tant l’attirer Langiro? »

Dans une lettre adressée au directeur général de la Sureté du Québec, un individu lance un défi à la police : il déjà tué impunément dans un lointain passé et annonce qu’il va recommencer. Il promet de détruire deux vies puis de disparaître. Le meurtrier exige aussi qu’Aglaé Boisjoli soit l’enquêteuse qui se lancera à sa poursuite. Forte du succès de ses enquêtes précédentes, celle-ci accepta le défi. Elle se rend en Gaspésie, en pleine saison de chasse, pour empêcher l’audacieux criminel de passer à l’acte. Au fil des lettres envoyées par le présumé tueur,m Aglaé suit la piste qu’il a tracée pour elle. Quel rôle étonnant son correspondant lui fait-il jouer dans cette obscure mise en scène? L’aboutissement de cette étrange investigation obligera la jeune femme à faire des choix déchirants. Après Bois de justice et Le syndrome de Richelieu, voici la troisième enquête d’Aglaé Boisjoli, Table rase.

À propos du deuxième tome de la série Les marionnettistes, le syndrome de Richelieu.

« Le syndrome de Richelieu est un polar historique tout à fait passionnant qui a le double mérite à la fois instructif et distrayant,. Érudition et suspense y font bon ménage, avec un personnage central fort sympathique qui est aussi un limier hors pair. »  Norbert Spehner, LA PRESSE

Sur le super écran dans le petit théâtre dans ma tête se déroulent les scènes de ce roman policier. Et quel roman !!  « Je n‘ai plus d’ongles!! » Jean Louis Fleury connaît son métier, il sait tellement bien quels boutons peser que j’en ai des frissons. Dès les premières pages, j’étais prise dans un piège et je ne voulais pas m’échapper. Ce n’est que dans le dernier chapitre que j’ai pu reprendre mon respire. Super bonne lecture!

Cadre en communication  et historien, Jean Louis Fleury a été chroniqueur et auteur dramatique pour la télévision. Diplômé du Centre de Formation des Journalistes de Paris, il est envoyé comme coopérant au Québec à la fin des années 1970 et y choisit d’y rester. Aujourd’hui à la retraite, il chasse et pêche  un peu partout au Québec.

 

Éditeur :  Guy Saint-Jean

Pages : 456

Prix suggéré : 29,95 $

 

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