Alors que son album Histoires de filles et de garçons a enthousiasmé la critique et que son premier extrait, Alors j’irai, a brillé au palmarès des radios (avec notamment une mention succès de la semaine au Top 100 BDS), Sophie Vaillancourt présente aujourd’hui Danser sous la pluie.
Offrant tout autant de fraîcheur, de bonne humeur et d’espièglerie que le précédent extrait, Danser sous la pluie nous plonge au coeur des harmonies et des sonorités de la chanson française des années 60/70. Sophie habite ainsi avec talent et conviction l’univers d’une Françoise Hardy tout en lui apportant sa propre touche. Première pièce de son album, Danser sous la pluie évoque avec finesse, fantaisie et malice l’esprit parfois frondeur de Sophie. « Venant d’une fille qui déteste danser, je trouvais que l’image m’allait très bien parce que la chanson exprime le besoin de repousser ses limites, explique-t-elle. Chaque fois que j’écoute cette chanson, je me revois partir à 21 ans en Afrique du Sud comme mannequin, au grand désespoir de mes parents. C’était la première fois que je défiais l’autorité parentale; l’autorité, point. Il était temps! »
Sophie a composé la musique de la chanson mais en a co-signé les paroles avec Marianne L’Heureux. On se souvient que ce tandem féminin est à l’origine de la chanson de Céline Dion qui a bouleversé le Québec : Les petits pieds de Léa.
Danser sous la pluie, tout le tempérament de Sophie résumé en une chanson aussi charmante que revigorante. Comme un antidépresseur pour passer les mois d’hiver !
