Le nouveau chalet Modik répond en tout point aux tendances du marché de la pêche : nécessité de susciter une relève en pêche, sensibilité aux prix d’un segment de la population des pêcheurs et groupes généralement de plus petits qu’autrefois. Comme son nom l’indique, son espace est optimisé pour laisser une empreinte moindre dans la nature, mais, aussi, pour offrir un type d’hébergement plus abordable. Il est conçu pour héberger quatre personnes et son prix de location est jusqu’à 30 % plus bas qu’un chalet traditionnel, et ce, sans négliger les commodités, qui sont les mêmes que celles que l’on trouve dans les grands chalets. Il compte deux chambres à coucher, une pièce cuisine/salle à manger et une salle de toilettes avec douche. Son plafond de 2,75 m (9 pieds) et sa généreuse fenestration laissent une impression de grandeur.
Jusqu’ici, les taux d’occupation des chalets Modik atteignent les objectifs de Réserves fauniques Québec, ce qui démontre leur pertinence. Le fait qu’ils soient tout neufs, construits en bois du Québec et dotés d’énergie solaire contribue, au même titre que leur prix modique, à leur grande popularité. Mais le plus important, pour les pêcheurs, c’est qu’ils sont tous situés aux abords de plans d’eau particulièrement poissonneux.
L’an dernier, un premier chalet Modik avait été implanté au lac Main de Fer, dans la réserve faunique de Portneuf. Cet été, 5 nouveaux chalets ont vu le jour dans la réserve faunique Mastigouche, au lac Marcotte. Dès cet été, 5 autres chalets seront installés dans la réserve faunique Rouge-Matawin, près des lacs Willard, Dumbo et Laverdière, juste à temps pour que les amateurs de pêche puissent en profiter avant la clôture de la saison. Dans la continuité de cette implantation de petits chalets à prix modique, la réserve faunique des Laurentides ne sera pas en reste, puisque dès l’an prochain, elle sera dotée de 3 nouveaux chalets Modik au lac Allioux.
Le chalet Modik possède ses propres forfaits de chasse au petit gibier et de pêche. Notons qu’il n’est pas offert en villégiature.
photo: courtoisie Sépaq
