En avant la musique ! 34e édition du Festival International de Jazz de Montréal

En avant la musique ! 34e édition du Festival International de Jazz de Montréal
En avant la musique ! 34e édition du Festival International de Jazz de Montréal

Place aux festivités : la 34e édition du Festival International de Jazz de Montréal, qui se tiendra jusqu’au dimanche 7 juillet, commence demain !

En famille au Festival !
Tous les jours, les festivités débutent dès 11 h avec une panoplie d’activités spécialement conçues pour les familles !
– À 11 h et à 13 h 30 sur la Grande-Place du complexe Desjardins, le spectacle La Petite école du jazz, présenté par Rio Tinto Alcan, proposera aux enfants de tous âges une initiation musicale dynamique et interactive, en compagnie de Ste-Cat, célèbre mascotte féline du Festival, Victor-Jacques Ménard et son quintette d’harmonies vocales ainsi que James Gelfand et son quartette, qui fêtent cette année leurs 25 ans de métier !
– Tout de suite après, à 15 h les 29 et 30 juin et 6 juillet, les familles pourront continuer la fête et se dégourdir en musique en participant à Musique en famille avec les ateliers Samajam, un atelier ludique de percussions présenté par Rio Tinto Alcan, partenaire principal du Projet de persévérance scolaire Samajam depuis 2011.
– Le surplus d’énergie se dépensera au Parc musical Rio Tinto Alcan où les petits peuvent bricoler, créer un instrument de musique à partir d’aluminium, participer à des ateliers d’éveil musical, se faire maquiller gratuitement, se faire tirer le portrait au nouveau studio-photo, s’amuser sur le piano géant ou jouer avec des percussions. Tout près, les parents retrouveront la tente à langer, le stationnement de poussettes, des bistros-terrasses et des kiosques pour rassasier même les plus affamés et une Boutique de souvenirs du Festival, où sont notamment proposés des vêtements et des accessoires pour enfants.
-Entre-temps, les meilleures jeunes formations jazz ne manqueront pas d’impressionner les festivaliers, dans le cadre de la série JazzFest des jeunes, présentée par Rio Tinto Alcan à midi et à 15 h. L’après-midi, des animations musicales hautes en couleur et des spectacles en déambulatoire prendront d’assaut les marches de la PdA, de la place des Festivals ou encore le Lounge Heineken (devant la scène).
– À 16 h, Les Envolées du Festival présenteront des combos universitaires sur la scène CBC/Radio-Canada ou sur la Grande-Place du Complexe Desjardins,:
– alors que 17 h sonnera le début des Rencontres festives sur la place des Festivals, laissant deux groupes jouer aux deux extrémités de la place avant de se rejoindre au centre pour s’affronter musicalement dans la joie et dans la foule.
– Soulignons enfin le Camp de blues présenté par TD, créé en 2007 pour les jeunes musiciens d’ici âgés de 13 à 17 ans, qui permet aux jeunes issus de tous les milieux de bénéficier durant une semaine d’une formation musicale de haut niveau gratuite, avant d’offrir une prestation sur la scène TD du Festival International de Jazz de Montréal.

Circulation sur le site
Dès demain, le site du Festival sera fermé à la circulation automobile de 18 h à 3 h, jusqu’au 8 juillet à 6 h. Pour planifier sa venue aux Festival et tout connaître sur les fermetures de rues, l’accès au site en voiture, à vélo, à pied, ou pour personnes à mobilité réduite : montrealjazzfest.com, onglet Accès au site.

Le Grand événement d’ouverture TD : Feist
présenté en collaboration avec SiriusXM
Demain, 21 h 30, scène TD
Propulsée sur la scène internationale par ses mémorables MushaboomGate Keeper et 1234, Feist est aujourd’hui une étoile de la planète indie, aimée, suivie, imitée mais inégalable. Avec pas moins de 11 prix Juno au compteur — dont l’artiste de l’année en 2012 pour une 2e fois —, l’auteure-compositrice-interprète a confirmé l’étendue de son talent avec son plus récent album, Metals, qui s’est hissé dans le top 10 du palmarès Billboard. Un album « sauvage, baba et magnifique » selon les Inrocks, sorti après une absence qui nous a semblé interminable. On a hâte de voir ça sur scène !

Concerts à guichets fermés
Les concerts suivants affichent déjà complet :
? Pink Martini (ce soir et demain, 19 h 30 — Salle Wilfrid-Pelletier, PdA)
? Jazz at Lincoln Center Orchestra avec Wynton Marsalis (demain, 19 h — Maison symphonique de Montréal)
? Caravan Palace (demain, 19 h — Club Soda)
? Wayne Shorter Quartet avec invités (29 juin, 20 h — Théâtre Maisonneuve, PdA)
? Dr. John & The Nite Trippers | Leon Russell (3 juillet, 20 h — Théâtre Maisonneuve, PdA)
? Preservation Hall Jazz Band (5 juillet, 21 h 30 — Théâtre Jean-Duceppe, PdA)
? Oliver Jones (5 et 6 juillet, 19 h — Cinquième Salle, PdA)

Spectacles en salle : encore d’excellentes places disponibles
Si plusieurs concerts affichent complet, des billets sont toujours en vente notamment pour les concerts suivants –Charles Lloyd Quartet avec Jason Moran, Reuben Rogers et Eric Harland — demain, 18 h, Théâtre Jean-Duceppe: PdA — Hôte de la prestigieuse série Invitation, Charles Lloyd porte depuis les années 60 l’étendard d’une musique résolument libre et moderne, qu’il a su faire rayonner avec l’aide de grands musiciens
?de Keith Jarrett à Jack DeJohnette en passant par Herbie Hancock et Michel Petrucciani. De retour après huit ans d’absence, le célèbre souffleur américain — qui fête cette année ses 75 ans — offre le fruit de ses plus récentes explorations sonores à la tête d’un redoutable quatuor regroupant Jason Moran (piano), Reuben Rogers (basse) et Eric Harland (batterie). Du jazz de haut vol, taillé sur mesure pour la série Invitation.

Chucho Valdés, Chucho’s Steps. Première partie : Bachot Muna — demain, Théâtre Maisonneuve, PdA, 20 h (série Les Grands concerts Rio Tinto Alcan) — Grand de chez les grands, Chucho Valdés a été qualifié de « pianiste le plus complet du monde » par Jazz Magazine. De nature modeste, ce fils d’un autre pianiste renommé, Bebo Valdés, qui vient de nous quitter, sait toutefois rendre hommage aux musiciens qui l’ont influencé. En fait foi Border Free, son tout nouvel album qui s’inspire notamment de la tradition musicale des Indiens d’Amérique du Nord et la culture arabo-andalouse. Pour sa 1re visite en 4 ans, il nous interprètera ce disque haut en couleur avec l’aide de son super quintette Afro-Cuban Messengers. Caliente ! Tout d’abord, le dynamique pianiste et chanteur camerounais Bachot Muna nous livre son mélange de jazz, de ballades pop et de soul à l’africaine.

Garou, Rhythm and Blues — demain, 20 h 30, Métropolis — Sa réputation est faite depuis longtemps : Garou est un grand amateur de party ! Il profitera de sa présence au Festival pour célébrer son 41e anniversaire et, pour une fois, tout le monde pourra en profiter ! En effet, notre Garou national a décidé de faire de son concert Rhythm and Blues une super grande fête où sont conviés ses amis… et le public. Parmi les invités dévoilés, nommons les Marie-Mai, Daniel Lavoie, Valérie Carpentier (La Voix), Nadja et même Julie Lamontagne, qui nous réserve un moment intime au piano avec le jubilaire. Alors, qu’on se le dise : si on a envie de faire la fête, c’est au Festival que ça se passe !

Tia Fuller — demain, 21 h, L’Astral — Née dans une famille de musiciens jazz, la belle Tia Fuller s’est rapidement imposée parmi les plus brillantes saxophonistes de la scène américaine. Celle qui a tourné avec Beyoncé et Esperanza Spalding n’en a pas moins tout ce qu’il faut pour signer des albums solos aussi solides qu’Angelic Warriors, son 4e, paru en 2012. Capable de porter son instrument fétiche aussi bien dans les volutes de mélodies envoûtantes que dans les hautes sphères du jazz fusion, elle nous rend sa 1re visite en tête d’affiche au Festival.

Charles Lloyd, Sangam, avec Zakir Hussain et Eric Harland — 29 juin, 18 h, Théâtre Jean-Duceppe, PdA — Pour sa 2e prestation dans la série Invitation, Charles Lloyd fait équipe avec l’éminent joueur de tabla Zakir Hussain (Shakti) ainsi qu’avec son fidèle batteur Eric Harland pour faire revivre un grand concert présenté au Festival en 2005. Né d’un spectacle hommage au batteur Billy Higgins, le projet Sangam a depuis acquis une aura d’œuvre d’exception, conjuguant subtilité et raffinement. Lloyd y trouve un terreau fertile pour approfondir la quête spirituelle qui constitue le moteur de son art. Envoûtant.

Jason Moran, Fats Waller Dance Party — 29 juin, 21 h 30, Théâtre Jean-Duceppe — Il y a 10 ans, lors de sa première visite au Festival, on portait déjà aux nues ce pianiste-compositeur qu’on qualifiait de futur grand. Promesse tenue : considéré comme un des jazzmen les plus allumés de sa génération, l’artiste qui puise son inspiration aussi bien chez les classiques (Bartok et Ravel) que chez les maîtres du jazz revient nous présenter un hommage au légendaire Fats Waller en compagnie de collaborateurs d’exception (dont Meshell Ndegeocello). Une soirée au titre dansant qui ne ressemblera à aucune autre…

Charles Lloyd, duos et trios avec Jason Moran et Bill Frisell — 30 juin, 18 h, Théâtre Jean-Duceppe, PdA — Pour cette 3e prestation en 3 soirs, Charles Lloyd partage la scène avec le pianiste Jason Moran, son collaborateur sur le tout récent album Hagar’s Song, et avec le grand guitariste Bill Frisell, un ami fidèle du Festival qu’on ne présente plus. Ces conversations en duo et en trio verront Lloyd et ses complices solliciter leur remarquable sens de l’improvisation. L’artiste que Carlos Santana a qualifié de « trésor international » démontre une fois encore qu’il est, à 75 ans, au faîte de son art.

Muse Hill avec Chet Doxas, Brad Barr, Andrew Barr, Joe Grass et Morgan Moore — 30 juin, 18 h, L’Astral — Une rencontre au sommet parmi les musiciens montréalais les plus en vue, aussi bien sur les scènes indie-rock que jazz ou folk, prévue par Chet Doxas. Réunissant deux membres des Barr Brothers (Brad et Andrew Barr, respectivement guitare et batterie), Joe Grass (pedal steel) et Morgan Moore (basse), ce projet prévoit des compositions originales aux airs du sud des États-Unis, du jazz baigné de blues, de bluegrass, de musique des Appalaches et d’hymnes sacrés : tout un programme !

Rhye. Première partie : CFCF (live) — 30 juin, 20 h 30, Métropolis — Né d’une collaboration entre deux têtes chercheuses de la scène électro, la Danoise Robin Hannibal et le Canadien Mike Milosh, le duo Rhye a connu des débuts nimbés d’un mystère qui a alimenté sa popularité : grâce au « touche à oreille » des réseaux sociaux, la formation s’est vite retrouvée au centre d’un tourbillon virtuel. Depuis, on se pâme ? avec raison ? pour l’électro-pop romantique de son 1er disque, Woman, dont les accents mélancolico-minimalistes évoquent à la fois Everything But the Girl et The XX. En lever de rideau, l’électronica planante du Montréalais Michael Silver, alias CFCF.

The Virgins — 30 juin, 23 h, Club Soda — Descendant de la mouvance néo-new wave incarnée par les Strokes au début des années 2000, le groupe new-yorkais The Virgins n’avait que deux shows confidentiels derrière la cravate avant d’être invité à partager la scène avec Patti Smith et Sonic Youth ! Cinq ans après avoir lancé un 1er album gigotant et funky, la formation exploite divers filons rock des années 70 et 80 sur son 2e, Strike Gently ? on dirait les Talking Heads jammant avec Tom Petty… Hip et carré ? On aime !

Des artistes à découvrir lors des spectacles extérieurs gratuits :
les programmateurs du Festival vous suggèrent…
Demain, 28 juin
Emie R Roussel Trio — 28 juin, 19 h, scène CBC/Radio-Canada — Découverte l’an dernier lors d’un éblouissant concert extérieur au Festival, la brillante pianiste et compositrice québécoise fait un retour très attendu en formule trio, entourée de Nicolas Bédard à la contrebasse et de Dominique Cloutier à la batterie. En plein essor, le trio multiplie les prestations sur les scènes québécoises et gagne en notoriété d’album en album… Le voici avec son dernier, Transit. En lice pour le Grand Prix de Jazz TD.
Dawn Tyler Watson et Paul Deslauriers — 28 juin, 20 h, Scène Rio Tinto Alcan — Habitués du Festival et de la série Jazz à l’année, la « reine du blues » de Montréal, Dawn Tyler Watson, et le virtuose de la guitare Paul Deslauriers reviennent après s’être illustrés en première partie d’Adam Cohen l’été dernier. Une belle occasion de prendre la mesure de la superbe chimie musicale du duo folk-blues-roots, bien en évidence sur Southland, album tout juste dévoilé.

Samedi, 29 juin
– Jordan Officer — 29 juin, 17 h et 19 h, Lounge Heineken — Au-delà de son apparente retenue et de l’humilité qu’il cultive, ce maître discret de la 6-cordes rayonne avec une formidable intensité. Comme si l’héritage du blues, du jazz et du country était soudainement canalisé dans une même voix, résolument personnelle. Celui qui partira bientôt tenter sa chance à New York nous offre le bonheur de ce rendez-vous intime au Lounge Heineken, où il nous présentera les chansons de son nouvel EP, plus blues que son 1er disque.
Rémi Panossian Trio — 29 juin, 19 h, scène CBC/Radio-Canada — Venu au piano jazz après avoir entendu Michel Petrucciani en concert, le Français Rémi Panossian, la jeune trentaine, est l’un des plus beaux talents de sa génération. Le musicien qui a fait ses classes en duo pilote aujourd’hui un trio dynamique avec Maxime Delporte (contrebassiste) et Frédéric Petitprez (batterie). Pour son baptême festivalier, la formation entend nous faire découvrir un nouvel album, BBANG.
The Barr Brothers — 29 juin, 21 h, scène TD — Après leur renversante prestation au Métropolis l’an dernier, voici le groupe coup de cœur de l’année en grand concert extérieur gratuit ! Nominé aux Junos pour Album alternatif adulte de l’année, le quartette formé à Montréal, composé de Brad et Andrew Barr, la harpiste Sarah Page et le multi-instrumentiste Andrés Vial, nous promet un beau moment de magie musicale, quelque part entre folk, rock et blues.
Soweto Kinch — 29 juin, 22 h, scène Bell — Première visite au Festival de ce polyvalent et talentueux saxophoniste venu de Londres. Jazzman aguerri — il a plusieurs prix sous la casquette, dont des BBC Jazz Awards —, il est aussi une star du hip-hop et du grime, réputé pour ses concerts explosifs à souhait où se fracassent les genres. Le voici avec, en prime, son nouvel album, The Legend of Mike Smith.

Dimanche, 30 juin
– Le Matos — 28 au 30 juin, minuit, Savoy — La formation montréalaise Le Matos donne dans l’électro-house nocturne. Tout juste paru, son excellent album Join Us appuie sur toutes les bonnes touches : Justice, Daft Punk, Jean-Michel Jarre et Giorgio Moroder fusionnent le temps d’une dizaine de pièces au profil rétro-futuriste qu’on jurerait conçues pour vibrer sous les néons. Puissant, hypnotique, exaltant.
Kobo Town — 30 juin, 20 h, scène Bell — Formée par l’auteur-compositeur canado-trinidadien Drew Gonsalves, la formation torontoise Kobo Town aborde la tradition calypso typique des Caraïbes avec une sensibilité résolument moderne et une ouverture d’esprit propice aux métissages : l’excellent album Jumbie in the Jukebox est ainsi émaillé de références dancehall reggae, ska et hip-hop. Un des disques de l’année, selon le quotidien anglais The Guardian.
Jérôme Beaulieu — 30 juin, 19 h, scène CBC/Radio-Canada — Révélation Jazz Radio-Canada 2013, le pianiste Jérôme Beaulieu débarque avec son répertoire de jazz actuel pétri de rock et de pop, garni d’un nouvel album en gestation. Il met son talent au service d’une noble cause : faire découvrir la face cachée du jazz, rythmé et accessible. Pas étonnant que cette étoile montante récolte les honneurs, de Jazz en rafale au Grand Prix du Festi-jazz international de Rimouski ! En lice pour le Grand Prix de Jazz TD.
The Pedrito Martinez Group featuring Ariacne Trujillo — 30 juin, 20 h, scène Rio Tinto Alcan — Les 2 pieds dans la rumba afro-cubaine, le New-Yorkais d’adoption Pedrito Martinez n’a pas son pareil pour enflammer les scènes à grands coups de congas. Avec ses compadres Alvaro Benavides (basse), Jhair Sala (percussions) et Ariacne Trujillo (claviers), il entretient une chimie musicale qui fait des étincelles, croisant un héritage de chants religieux cubains et de rythmes batá caliente au possible. La fiesta avec un grand F.

Des rendez-vous nocturnes au Bistro Le Balmoral
Tous les soirs dès 22 h, la série Musique au Balmoral proposera des concerts gratuits de 45 minutes sans entracte aux festivaliers.
– Du 28 au 30 juin, le contrebassiste Alexandre Bellegarde offrira son savoureux jazz-world en duo avec, chaque soir, un invité différent.
– Figurant parmi les meilleurs guitaristes de sa génération, Stéphane Tellier s’installera les 1er et 2 juillet pour un duo de haut vol avec un autre as de la 6-cordes, réputé pour sa maîtrise du fingerstyle : Dan Livingstone.
– Les 3 et 4 juillet, Shlomo and Julie leur succèderont avec leur sympathique mélange de folk, de blues acoustique et de ragtime.
– La série s’achèvera en compagnie de Viva Nova les 5 et 6 juillet, avec notamment le chanteur, guitariste, percussionniste et claviériste Micäel Lüssi, dont le répertoire se compose de jazz brésilien, de rythmes entraînants et de groove élégant.

Des soirées enflammées — et gratuites ! — à L’Astral et au Savoy
Dès minuit, les noctambules pourront lâcher leur fou sur la piste de danse de L’Astral ou du Savoy du Métropolis ! L’Astral s’enflammera jusqu’aux petites heures lors de la série Open House, qui accueillera du 28 au 30 juin les soirées Speakeasy Electro Swing, nées quasi clandestinement dans un loft montréalais il y a trois ans, venues envahir la place pour faire danser les bougalous au grand jour.
– Du 1er au 3 juillet, le Français S. MOS & Friends s’installeront aux claviers, platines et autres machines pour marier les meilleurs flows rap aux plus grands rythmes jazz.
– Le duo franco-anglo le plus hot de la scène reggae-dub de Montréal, Sud-West Ghostbeard & Poirier, prendra le relais du 4 juillet au 7 juillet avec un mot d’ordre : faire danser jusqu’à s’en déboîter les hanches.
– Du côté de la série Nightcap Heineken au Savoy, la formation montréalaise Le Matos donnera le ton du 28 au 30 juin avec sa proposition d’électro-house nocturne.
– Suivra, du 1er au 3 juillet, la formation montréalaise forte en groove Afrodizz, spécialisée dans l’afrobeat et le funk carburant à l’énergie pure.
Papagroove fermera la marche du 4 au 7 juillet avec des rythmes fous tout juste sortis de son dernier album, Civilized Ghetto, pour groover et danser !

Changements à la programmation
– Le concert de Baterimba du 28 juin, 17 h et 19 h au Lounge Heineken, a été annulé et remplacé par celui de Dan Livingstone and the Griffintown Jug Addicts.
– Le concert 80th Birthday Celebration du Wayne Shorter Quartet avec invités, annoncé à 20 h le 29 juin au Théâtre Maisonneuve dans le dépliant, commencera dès 19 h.
– Le concert de The Herbaliser prévu samedi 29 juin, au Club Soda, à 23h, s’intitulera The Herbaliser avec invités Ghettosocks and Timbuktu.
– Le concert de Sharon Jones (Sharon Jones & the Dap-Kings, invités spéciaux : James Hunter et ses musiciens) prévu le mercredi 3 juillet à 20 h 30 au Métropolis a été annulé.
– Les concerts des sœurs Katia et Marielle Labèque programmés les 4 et 5 juillet, à 19 h, à la Maison symphonique de Montréal, ont été annulés en raison de difficultés logistiques insurmontables.
– Le groupe australien The Cat Empire (première partie : Colin Moore), donnera un concert supplémentaire le 2 juillet, 20 h 30, au Métropolis, qui s’ajoutera à celui déjà prévu le 5 juillet, à la même heure, au même endroit.
– La série Les Envolées du Festival présenteront les combos universitaires sur la scène CBC/Radio-Canada sauf le 28 juin et du 2 au 5 juillet, exceptionnellement sur la Grande-Place du complexe Desjardins.
– Pour son concert prévu le 2 juillet à 21 h 30 au Théâtre Jean-Duceppe, Kurt Rosenwinkel viendra en Quartet avec Aaron Parks, Kendrick Scott et Ugonna Okegwo, au lieu d’Eric Revis et Justin Faulkner, comme annoncé dans le programme.
– Un changement de salle est à noter pour les concerts de Courtney Pine et de Youn Sun Nah : Courtney Pine jouera à L’Astral le 30 juin dans le cadre de la série Le Club, exceptionnellement à 21 h 30. Youn Sun Nah jouera au Théâtre Jean-Duceppe dans le cadre de la série Jazz Beat Hyatt Regency Montréal, aussi à 21 h 30.
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