Jimmy Hunt au Cercle le 28 novembre 2013

Jimmy Hunt
Jimmy Hunt

Jimmy Hunt nous revient avec « Rêver souvent» de son nouvel album Maladie d’Amour, critiqué très positivement depuis sa sortie. Ce deuxième extrait est déjà bien populaire du public en spectacle et de plusieurs radios. Un peu de joie et d’imagination dans nos oreilles en ce temps gris ne peut que faire du bien! Jimmy nous fait rêver, toujours en amoureux déchiré, avec ses magnifiques textes : «Peut-être que tu n’as plus, de soleil entre tes mains, mais moi j’aime, y rêver souvent».

Cette deuxième chanson est tirée de l’album Maladie D’amour, paru le 1e octobre dernier. Il s’agit d’un deuxième en carrière pour Jimmy Hunt qui nous avait présenté son premier opus homonyme en 2010.

Jimmy Hunt a eu de multiples incarnations depuis son arrivée à Montréal : homme-orchestre, gentleman rockeur au sein de Chocolat et chanteur de charme en duo avec Cœur de pirate, notamment. C’est avec un album qui lui est homonyme que Jimmy Hunt se fait mieux connaître du grand public, en solo. L’album paraît chez Grosse Boîte en octobre 2010. Puis, l’auteur-compositeur-interprète croule sous les éloges ; nommé au Gala de l’ADISQ dans les catégories Album de l’année – Folk contemporain et Révélation de l’année, et est lauréat au GAMIQ, dans les catégories Auteur-compositeur de l’année et Album chanson de l’année. Puis, pour bien conclure le cycle de cet album, Jimmy est des Révélations Radio-Canada 2011-2012, qui soulignent l’excellence d’artistes francophones de la relève.

Le temps passe, et après les vagues et la vie normale, Jimmy Hunt nous revient avec un album qui court, qui court : Maladie d’amour. On y retrouve le côté folk qui a fait la grâce du premier album, mais évidemment, Jimmy n’allait pas en rester là. En effet, l’album oppose aussi des envolées électro touffues à des textes minimalistes. On ne voudrait pas trop en mettre, mais on va y aller : il y a résolument du Gainsbourg dans ce Maladie d’amour, par l’innovation, la dégaine, et… que dire de la pochette.

On doit aussi ces explorations sonores à deux proches collaborateurs de Jimmy Hunt qui l’ont accompagné en spectacle, soit le claviériste et programmeur de choses électroniques Christophe Lamarche-Ledoux (Organ Mood) et le multi-instrumentiste Emmanuel Éthier (Passwords). Le premier a assuré la prise de son et les arrangements de certaines pièces, le deuxième la réalisation et tous deux ont joué sur l’album.

Maladie d’amour, c’est du dense qui se danse.  

Plusieurs spectacles à venir

Jimmy sera notamment en spectacle au Petit Campus le 23 novembre dans le cadre du festival M pour Montréal et il se rendra du côté de sa ville natale, Québec, le 28 novembre.

© Clara Palardy