Florence K a présenté des pièces tirées de son nouveau album, I’m Leaving You, sur les planches du Métropolis dans le cadre d’un spectacle spécialement conçu pour MONTRÉAL EN LUMIÈRE le 22 février dernier. La demoiselle a su briller de tous ses feux sur scène et littéralement subjuguer la salle comble de ses rythmes chaleureux sur lesquels nul ne pouvait s’empêcher de se déhancher!
« Elle demeure aussi capable de polyvalence, d’attaquer le jazz au piano, de se lâcher lousse pour un coup latino, de se fondre dans les dialogues entre la guitare et les deux cuivres, de s’adonner à la sensibilité d’un passage atmosphérique, de laisser le piano pour chanter devant la scène ou crier toute la force d’une plainte. On y croit. Florence K n’a rien d’une artiste préfabriquée. »
— YVES BERNARD, LE DEVOIR
« Florence K a prouvé samedi soir que les nouvelles couleurs musicales de son album I’m Leaving You sont tout aussi convaincantes sur scène. […] [Elle] tient déjà une formule efficace qui pourrait faire voyager ses nouvelles chansons tout en lui conservant la fidélité d’un public qui n’a jamais boudé son plaisir quand elle s’inspirait davantage de la musique cubaine. »
— ALAIN DE REPENTIGNY, LA PRESSE
« Assise derrière son piano à queue, elle dégageait toute une énergie, se promenant de la pop au jazz en passant par le bossa nova »
— LISA-MARIE BLAIS, ÇA COMMENCE BIEN, V TÉLÉ
« En fait, on avait l’impression qu’il y en avait pour tous les goûts. On voit l’ambition de cette tournée qui s’amorce. »
— PHILIPPE REZZONICO, RUE REZZONICO
« Une fois de plus, la chanteuse a démontré la puissance et la finesse de sa voix envoûtante, en plus de s’accompagner au piano, un instrument qui semble littéralement une extension d’elle-même. »
— FLORENCE BRETON, QUÉBECSPOT
« Toujours aussi classe et excellente vocalement, elle a guidé tout le public dans un voyage magique et éblouissant, d’une durée de deux heures. […] Avec une polyvalence inestimable, elle a charmé tout le monde avec sa voix, son humour et ses nuances musicales parfois sensuelles. »
— AURÉLIE BOLDUC, TEMPOMAG
