C’est une première publication du livre d’Hélène Potivin aux Éditions La Semaine, l’auteure nous propose un roman de suspense policier, un riche homme d’affaires est découvert pendu et une femme ayant été sa maîtresse est retrouvée noyée. S’agit-il de deux suicides ou doit-on envisager d’autres hypothèses? Madeleine Bonneau, chargée de l’enquête policière, sera aidée d’une numérologue pour résoudre cette intrigue.
Un richissime homme d’affaires, marié, mais collectionnant les adultères, est retrouvé pendu. Un suicide, sans l’ombre d’un doute. À la même période, une femme anonyme disparait, sans laisser de traces, puis est découverte deux mois plus tard, noyée. Un autre suicide.
Hors de tout doute. Il existe un lien entre eux : ils ont été amants. Bonneau n’arrive pas se ranger à l’hypothèse privilégiée par ses collègues : celle du double suicide passionnel. Pour elle, il y a eaux troubles! L’aurait-il assassiné avant de s’enlever la vie? Se serait-il pendu pour des raisons plus obscures, voire inavouables en relation avec sa propre fille? Fleury a-t-il vraiment emporté toutes les preuves matérielles avec lui? Avec l’aide inattendue d’une numérologue, qui deviendra une amie, Madeleine Bonneau parviendra à résoudre cette complexe intrigue marquée du sceau du pluriel …
À propos de l’auteure :
Avec « La mort du pluriel », l’auteure Hélène Potvin, originaire du Saguenay, signe un septième roman. On retrouve dans cette intrigue policière auréolée de mystères et aux multiples rebondissement l’ensemble de ses passions : les lettres, les nombres et les symboles, thèmes largement abordés dans son essai 22 nombres et leurs secrets.
Pour obtenir des renseignements supplémentaires sur ses écrits, il s’agit de se rendre au www.helenepotvin.com .
Nombre de pages ; 272
Prix suggéré : 29,95$
Genre : Littérature québécoise
