Nouveauté : Felix Soude – L’âge que j’ai

Felix Soude - L'âge que j'ai
Felix Soude – L’âge que j’ai

Révélé au Festival de chanson de Petite-Vallée en 2007, où il y remporte les prix du public et du jury, Félix Soude entame dès lors une carrière en chanson, qui l’amènera à sillonner les routes du Québec, du Nouveau-Brunswick et de la France. Son style singulier, mariant les influences folk, punk, country, blues et chanson française rappelle celui des Dédé Fortin et Plume Latraverse. Sa démarche artistique s’inscrit dans la foulée des chansonniers québécois et des protest-singers américains, proposant des textes engagés pimentés d’humour.

En 2011, le natif de Gaspé lance un premier album éponyme à saveur engagée qui aborde les thèmes de la ruralité, de l’apathie politique et de l’exclusion sociale.

Cinq ans plus tard, voilà qu’il récidive avec L’âge que j’ai. Entouré d’une équipe «all-star» composée de Sylvain Deschamps (Violett Pi, Klo Pelgag) et de Jérôme Hébert à la réalisation et de plusieurs collaborateurs aux guitares, aux voix et aux cuivres dont Dan Baillargeon de Yokofeu, Catherine Noël des Hay Babies et Charles Duquette de la Fanfare Jarry, Félix Soude nous offre un album plus intime et introspectif où il partage ses réflexions sur le couple (qu’il compare à une prison!), l’aliénation du travail routinier ou la fin des grands rêves collectifs.

Mais, l’humour, l’autodérision et l’ironie sont toujours au rendez-vous, avec des titres comme L’âge que j’ai, Pas si pire que ça (aussi reprise par Pépé sur son nouvel album Tout le monde veut chanter avec Pépé), Quand une fille veut pas ou Les bonnes nouvelles sont rares. Mais la colère gronde aussi avec T’es pas tanné?, Plus facile à dire ou On a fait’ not’ temps.

« Si vous aimez la chanson québécoise caustique… vous apprécierez énormément le talent et l’humour de Félix Soude. Chantant à la manière « folk trash » d’un Plume Latraverse, celui-ci décrit la réalité gaspésienne avec toutes ses splendeurs et ses petites misères. » Patwhite.com

« Il n’est pas carriériste. Il s’acharne sur l’essentiel. Il est de la vieille école ; un bon texte, du sens, de la rime et des refrains qu’on peut avoir envie de fredonner (…) L’air de rien, il prend la relève des Dédé Fortin et Luc De Larochellière, s’indignant pour les bonnes raison et laissant à d’autres l’insignifiance. »

4/5 Jean Beauchesne, Journal de Montréal 

« Ce freluquet à barbichette et au sourire ravageur est un vrai bum pas fréquentable! Méfiez-vous, vous allez vite vous faire avoir! » Serge Beyer, Longeur d’ondes

Pour plus d’informations: felixsoude.net