La voix douce, apaisante et réconfortante d’Alexandre Poulin accompagne de jolies mélodies pleines d’espoir. Un album zen qui fait du bien à l’âme. On y retrouve dix nouvelles chansons au folk moderne et aux univers planants avec cette poésie du quotidien qu’il manie si bien, délicate et touchante.
Ces textes, dont il signe paroles et musique, sont autant de petites histoires, de pièces à mi-chemin entre court-métrage musical et chanson francophone.
Avec des paroles bien ficelées, Alexandre nous parle d’intimidation, de la vie qui bascule lorsqu’on perd son emploi, de la vie qui va trop vite, de la surconsommation, de l’importance de revenir à l’essentiel dans la vie, de s’ouvrir au monde. En ce qui est de l’amour, Alexandre aborde trois thèmes : celui de tomber en amour avec la plus populaire, de l’amour virtuel, et de la routine qui tue l’amour, mais qu’on doit tout essayer pour refaire battre les cœurs. D’ailleurs le premier extrait « Nos coeurs qui battent » s’est positionné dans le top 15 BDS dès les trois premières semaine de sa sortie.
- Les serpents
- Nos cœurs qui battent
- Couleurs primaires
- Paratonnerre
- Bleu Big Bill
- Les amours satellites
- Le temps qu’on tremble
- Lundi
- Une histoire de monstres
- File indienne
« Les temps sauvages » est le fruit d’une première collaboration avec le réalisateur et arrangeur Guido Del Fabbro (Pierre Lapointe, Groenland). À la coréalisation, on retrouve Mathieu Perreault, multi-instrumentiste de grand talent. En plus des coréalisateurs du disque, de Simon Blouin à la batterie et de Daniel Hubert à la basse, un quatuor à cordes ainsi qu’une vibrante section de cuivres se sont joints à eux pour certains titres.
En conclusion, voici un mot de l’auteur
« Les temps sauvages, c’est la dualité entre l’envie de liberté et les obligations d’une société qui nous consume pendant qu’on la consomme, c’est le besoin de ralentir, de sortir de la file, de briser le rang, alors que tout explose autour de nous. C’est aussi cette sensation de vide et de trop à la fois, c’est l’envie d’exister ailleurs que sur un écran, pour crier à la face du monde que pour créer du possible il faut se sentir sauvagement vivant. »
La nouvelle tournée d’Alexandre Poulin débutera en février 2017
03/02 : Trois-Rivières / Salle Anaïs-Allard Rousseau
17/02 : Québec / Théâtre Petit Champlain — Complet
23/02 : St-Eustache / La Petite Église — Suppl.
24/02 : St-Eustache / La Petite Église — Complet
03/03 : St-Casimir / Théâtre de la Taverne
04/03 : Magog / Vieux Clocher de Magog
23/03 : Terrebonne / Théâtre du Vieux-Terrebone
24/03 : Chute-Saint-Philippe / Église
25/03 : St-Jérôme / Salle André-Prévost
29/03 : Québec / Théâtre Petit Champlain — Suppl.
30/03 : Québec / Théâtre Petit Champlain — Suppl.
07/04 : Waterloo / Maison de la Culture
14/04 : Ste-Thérèse / Cabaret BMO
18/04 : Laval / Maison des Arts
20/04 : Alma / La boîte à bleuets — Complet
22/04 : Dolbeau / Salle Desjardins Maria-Chapdelaine
05/05 : Victoriaville / Le Carré 150
25/05 : Gatineau / Salle Jean-Despréz