Stacy nous gâte vraiment avec cet album enregistré devant public. Sa voix est toujours aussi douce et belle. Pour la première fois, après huit albums studio, c’est à La Cigale, à Paris, les 30 et 31 mai que s’est produit cette magie. Elle nous livre une relecture des chansons les plus emblématiques de son répertoire. « The Best Is Yeti to Come », « If I were a Bell », (très mignon comme chanson), « It Might as Well be Spring » pour ne
nommer que quelques uns des standards du Great American Song book.
Elle revisite aussi quelques classiques de la chanson française : « Ces petits riens », « Samba Saravah », et « Jardin d’hiver ». Un album pour relaxer tout en douceur et nous faire rêver. Cette chanteuse dans l’âme nous raconte des histoires avec un phrasé impeccable et une voix envoûtante. Cet album intimiste, nous captive totalement.
Un cadeau de quatre chansons inédites est offert sur cet opus. Deux reprises d’Antonio Carlos Jobim, « Waters of March », et « Dreamer » ainsi que deux nouvelles compositions de son mari, le producteur et saxophoniste Jim Tomlinson, « Postcard lovers » sur un texte écrit par le romancier Kazuo Ishiguro (auteur des « Vestiges d’un jour ») et « O Comboio » du poète portugais Antonio Ladeira sur laquelle Stacey chante en portugais.
Sauf la page couverture du livret, toutes les magnifiques photos de l’album sont en noir et blanc. Vous pourrez constater par vous-mêmes dès le 25 octobre de la beauté des photos et de la qualité de l’album puisqu’il sera en magasin.
Arrangements et réalisation : Jim Tomlinson
Enregistré à la Cigale, Paris, les 30 et 31 mai par Joao Paulo Nogueira
Stacey Kent : voix et guitare acoustique
Jim Tomlison : sax ténor et soprano & percussions
Graham Harvey : piano & Fender Rhodes
Jeremy Brown : contrebasse
Matt Skelton : batterie & percussions