On en parle, allez voir le spectacle
Eclipse, The Pink Floyd Story,
cette semaine dans votre ville !
Journal Le Quotidien
Pink Floyd dans toute sa splendeur
(LA BAIE) Les yeux fermés, on s’y croirait. Dans une salle de Londres au début des années 1970. Aux studios Abbey Road. Dans la guitare de David Gilmour. Les voix, les instruments, les effets visuels : tous les éléments sont réunis pour faire du groupe Eclipse l’exacte reproduction de ce qu’était Pink Floyd au temps de sa splendeur
C’était identique parce que chaque note, chaque intonation empruntée par les membres de Pink Floyd ont été fidèlement reproduites. C’était mieux, aussi, parce que le son « live » est plus vibrant, plus riche, que les enregistrements.
Au plan sonore, cette production est à la hauteur du jeu des interprètes, ce qui est beaucoup dire. On y a même intégré une curiosité du temps du vinyle : la quadriphonie. Ce souci d’exactitude a aussi poussé l’équipe à multiplier les effets visuels, ce qui représentait l’une des caractéristiques du groupe original.
Qu’il ne s’agisse pas des vrais membres de Pink Floyd, au fond, importait peu. Tout ce qu’on demande à ceux qui se prêtent à ce genre d’exercice, c’est de faire honneur aux chansons, tout en leur conférant la touche d’humanité que procure la scène. Hier, c’est exactement ce qu’ont fait les membres d’Eclipse, au nom d’une certaine conception de la nostalgie.
Journal la Revue, Gatineau
«Ces quatre perroquets devraient recevoir une cage dorée comme cadeau, car ainsi, on pourrait les emprisonner à jamais pour qu’ils continuent éternellement de jouer.»
– Patrick Voyer, Info07.com, à propos du spectacle
(lire l’article)
Mercredi, 9 novembre à Montréal
Jeudi, 10 novembre à Québec
Vendredi, 11 novembre à Sherbrooke
