On dit que le « Jazz » ne répond à aucune définition musicale, ni géographique précise. Parmi les observateurs de la musique germanique du XIXe siècle, on attribue à Ludwig Van Beethoven un nombre considérable d’évolutions du langage musical et même une révolution dans l’approche de son art.
Sa liberté créatrice et rythmique s’est exercée jusqu’aux frontières du swing, frontières allègrement franchies avec sa 32e et dernière sonate opus 111, où l’une des variations de la célèbre « arietta », ultime verbe pianistique du Grand Sourd.
Beethoven avec sa parfaite logique musicale est un révolutionnaire en musique et pouvait bien inventer le jazz avant la première audition de « Rhapsody in Blue ». Il poussa même l’expérience musicale sur deux variations de son « arietta ».
Ce cheminement du classique vers le jazz s’est avéré fécond pour ceux qui ont su l’emprunter, en particulier les compositeurs-chefs d’orchestre, qu’on pense à Leonard Bernstein.
Le jazz a consacré une évidence que la plupart des grands compositeurs avaient su éprouver : c’est qu’en toute bonne musique, quelles que soient les écoles et les traditions, il y a l’art du mouvement.
Un album musical comprenant 13 pièces et un bonus de plusieurs de nos plus grands compositeurs. À l’intérieur du livret, on nous explique en anglais, en français et en allemand le jazz, le swing et ses nombreux compositeurs.
BEETHOVEN Piano Sonata No 32
BRAHMS Cello Sonata No.2
MUSSORGSKY Pictures at en Exibition
DEBUSSY Golliwog’s Cake-Walk – La plus que lente, valse
RAVEL Blues
STRAVINSKY Ebony Concerto
BARTÖK Mikrokosmos – Contrasts
MILHAUD Scaramouche
WEILL The Threepenny Opera
GERSHWIN Rhapsody in Blue – I got Rhythm
BERNSTEIN West Side Story
ARNOLD Concerto for clarinet No. 2
MAYERL Pianolettes
Bonus : PAGANINI Caprice No 24 – Sabine Meyer clarinet & Big Band of Bamberger Symphoniker