David Jalbert nous revient avec « Y’a pas de bon silence », un troisième album en carrière pour l’auteur-compositeur-interprète. Un nouveau projet qu’il souhaitait intérieur, homogène et achevé. Mission accomplie.
Celui qui s’est d’abord dévoilé au grand public en 2008 avec « Des histoires » avant de présenter « Le journal » en 2010, vendus respectivement à 25 000 copies, propose cette fois-ci 14 pièces, autant de nouvelles chroniques dans lesquelles l’auditeur se reconnait à coup sûr. Qu’il rende hommage à la classe ouvrière avec « Jour de paye », réalise malgré quelques complexes et désirs, qu’il est « Né du bon côté » ou encore, qu’il rassure son fils sur l’importance de son rôle dans la famille avec « Hey Jack ! », David Jalbert confirme encore une fois son fabuleux talent de raconteur à travers ces nouvelles chansons qu’il nous tarde déjà de voir transposées sur scène.
Pour notre plus grand plaisir, on retrouve aussi, avec « Y’a bon de bon silence », le côté festif qui le caractérise, doublé de cette sensibilité que l’on lui reconnaît depuis le début de sa fructueuse carrière comme en témoigne « Ma mère disait », une pièce sur la différence où l’artiste est allé plonger dans de lointains souvenirs.
Encore une fois, David Jalbert s’est entouré d’une équipe de musiciens chevronnés :
Pascal Andrus/basse et contrebasse, Jeff Grenier/percussions, claviers, guitare électrique et acoustique, programmation, Claude Pineault/ guitare électrique et acoustique, claviers, accordéon Sylvain Quesnel/lapsteel et percussions, Alain Quirion/batterie et percussions, Jeff Smallwood/guitare acoustique, citerne, banjo et percussions Quatuor à cordes/ violons : Martine Gaumond, Marie-Neige Lavigne violoncelle : Catherine LeSaunier, Alto : Ligia Paquin Choeurs : Geneviève Jalbert
Réalisation : Jeff Grenier et David Jalbert, Arrangements : Claude Pineault, Jeff Grenier et David Jalbert Arrangements cordes : Alain Quirion
