Un album d’une grande douceur, d’une belle luminosité, rafraichissant, farfelue et poétique pour cette fée Lyonnaise. Un beau cadeau à déballer, un coffre aux trésors contenant 16 cartes imagées, dont les magnifiques illustrations sont de Samuel Ribeyron et treize nouvelles chansons écrites par Amélie qui nous font voyager jusqu’à la mer. L’album sera disponible le 26 février prochain. Un album en mouvement entre courses folles et pauses romantiques, où l’on retrouve encore une fois l’étonnant talent de mélodiste d’Amélie et cette poésie qui font tout son charme depuis maintenant dix ans.
Après trois ans de tournée pour son dernier album, Amélie s’est ressourcée et nous ramène un beau voyage avec comme scène de fond la mer, les bateaux, les femmes de marins, tout un folklore imaginaire mais familier fait de poésie douce et drôle où se côtoient des personnages excentriques ou romantiques. « Jusqu’à la mer», 13 titres et un nouveau spectacle en création placée sous le signe de l’aventure, de la route, de l’idée d’avancer, de se tenir la main, de faire face.
L’album a été concocté avec son ami de toujours Olivier Longre, multi-instrumentiste farfelu et déjà arrangeur de l’album «La Porte Plume ». Ils se sont enfermés à deux pendant des mois, et ils ont enregistré à la maison, pour en ressortir un ensemble très folk où l’on découvre, autour du piano ou de la guitare, des instruments plutôt inhabituels tels le dulcimer, la lyre ou le banjo. Tout un nouvel univers naviguant sur des textes qui parlent d’amour bien sûr, mais aussi de partir ou rester, d’accompagner, de se battre et d’avancer.
Bien sûr, ils ont eu quelques interventions de collègues qui ont mis leurs touches à l’album, dont Antoine Amigues (banjo), Bruz (basse, batterie), Yann-Gaël Poncet (violon), Loic Joucla (pipes). On notera aussi la présence d’instruments non homologués tels que le cymbalum, la basse japonaise, le moineau frétillant et un choeur de femmes échevelées tout-à-fait incongru.
Un album conçu et réalisé par Amélie les crayons, Olivier Longre, Bruno Cario et Samuel Ribeyron.
- Voyager léger (le temps qui passe)
- On n’est pas fatigué (Se construire une vie de rêve)
- Mon ami (un partage)
- Marie Morgane (une invitation à l’amour)
- Si tu veux (proposition d’amour jusqu’à la fin des jours)
- Les filles des forges (banjo – musique folklorique qui entraîne à la danse/ un appel à la liberté)
- Jusqu’à la mer (le voyage afin de trouver autre chose)
- Mes très chers (Mon homme à moi, c’est le célibat)
- Les vents de Brume (on aime se perdre dans le bonheur)
- Les Saintes (quelqu’un qui guérirait nos plaies, un ange gardien)
- La balançoire (garder son innocence d’enfant, quelle chance)
- La solution (La manifestation/prier Poséidon/aimer le plancton)
- Tout de nous (la mer nous a mariés, elle a posé dessous son nid)
Les musiciens et leurs instruments
Amélie-les-crayons : chant, piano, guitare, accordéon
Olivier Longre : guitares, mandoline, clarinette, harmonica, glockenspiel, lyre, hang, chœurs
Nicolas Allemand : percussions, piano, violon, basse, dulcimer, chœurs
Antoine Amigues : banjo, guitares, piano, kora, chœurs
Enchainant deux tournées de suite, Amélie-les-crayons se crée une réputation de « bête de scène » sur toutela France, mais aussi en Suisse, Belgique (Grand Prix Chanson Charleroi 2005), au Québec (Prix Félix Leclerc 2005 aux Francofolies de Montréal ) et en Finlande.
Source : L’autre Distribution
diato.org/autredis.htm (L’autre distribution)
