David Boily – EPØ mini-album

David Boily - EPØ mini-album
David Boily – EPØ mini-album

David Boily, auteure-compositeur-interprète  nous présente EPØ, un mini-album qui nous plonge dans un univers folk urbain qui explore le thème du deuil avec des textes intimes et caustiques, des musiques à fleur de peau. Une voix plaintive des textes torturés et une ambiance musicale un peu glauque out y est, et tout est fait avec finesse.

Suite à une collaboration avec Navet Confit en 2010, David Boily est sélectionné pour les semi-finales du Festival international de la chanson de Granby où il fait d’heureuses rencontres. À son retour à Montréal, il se niche dans son studio du Mile-end pour l’écriture d’un premier mini-album de 6 chansons qu’il lance en 2012.

Auteur-compositeur avec plus d’une centaine de chansons originales déjà encapsulées, et toujours une bonne vingtaine en chantier à la fois; il est animé d’un constant besoin d’écrire. Obsessif? Peut-être. Pour le meilleur et pour le pire, il se consacre entièrement à la musique depuis les dernières années et nous lance ses chansons dans l’éther comme des bouteilles à la mer.

David Boily nous livre des textes crus, empreints d’une intimité vive et touchante. Admirateur avoué de John Lennon, ses musiques indie-folk urbaines sont un amalgame de synthétiseurs ambiants un peu écorchés et d’acoustiques mélodieux.

En février 2012 il lance EPØ, un premier mini-album de 6 chansons. EPØ est un voyage musical de 27 minutes très étoffé. Sur scène, entouré de ses musiciens, David Boily ne la joue pas cool. Attendez-vous à une hypersensibilité dénudée, d’étranges mélodies et une franche intensité qui vogue entre le calme et la tourmente.

Son mini-album est tout en douceur et une voix grave. Ses textes sont d’une fragilités

Introduit par la marche solitaire de «Feuilles mortes»

Suit le dégoût funeste de «Rat»

La rage vengeresse d’«Exsanguiné»

Le désespoir résigné de «Presque libre»

La passion auto-destructrice de «La veuve noire»

Pour enfin goûter à la délivrance bienfaisante de «L’océan n’a aucune mémoire».

Un voyage de 27 minutes empreint d’une franche intensité et d’étranges mélodies qui voguent entre le calme et la tourmente.

www.davidboly.net