Le soir de la Saint-Valentin sera l’occasion pour le public de L’Anglicane de se faire raconter une histoire fabuleuse réalisée par le Théâtre de l’Opsis. Comme un pendant de « La vita es bella » de Roberto Bellinni, La coopérative du cochon raconte les anecdotes fantastiques qui ont permis aux membres de la coopérative de survivre à la guerre.
Le synopsis est fort simple : Rome, 1944. Nino et son père parcourent la ville avec un seul projet : réunir la somme qui leur permettra d’acheter un cochon vivant dérobé aux Allemands. Aujourd’hui, au décès de Nino, ses cinq enfants se rappellent leur papa, immigré italien, et les récits qu’il leur a faits de la fin de la guerre qu’il a vécue alors qu’il avait huit ans.
Tout au long de cette improbable histoire remémorant le temps où lui et son propre père étaient en quête de membres pour adhérer à la coopérative du cochon, on découvre les rencontres qu’ils ont faites, les récits fous qui ont ponctué leur quête et la couleur qui a fait fi de la guerre et de la mort dans leur quotidien difficile.
Tous les comédiens (Luc Bourgeois, Louise Cardinal, Martin Héroux, Olivier Morin, France Parent) endossent dans cette pièce des personnages plus farfelus les uns que les autres à travers des épisodes captivants remplis d’humanité et d’absurdité.
Il faut dire que la traduction et la mise en scène qu’a fait Luce Pelletier de l’œuvre originale d’Ascanio Celestini sont parfaites avec ce qu’elles comportent d’exagération, d’emphase et de merveilleux.
Ce récit fabuleux, humain et puissant décrit la guerre et rend un hommage tendre à la famille.
Un moment de grand divertissement pour le public qui sera au rendez-vous!
Billets en vente dès maintenant!
À la billetterie de L’Anglicane au 418 838-6000 et dans le réseau Billetech au www.billetech.com
photo: courtoisie
