Les éditions AD LITTERAM félicitent THOMAS CARBOU et La Symphonie Rapaillée pour leur nomination à l’ADISQ

Gala ADISQ 2014
Gala ADISQ 2014

Le guitariste Thomas Carbou et le projet La Symphonie Rapaillée se retrouvent tous deux en nomination à l’autre Gala de l’ADISQ dont la remise des prix aura lieu le 22 octobre.

La musique du guitariste Thomas Carbou a su retenir l’oreille des jurys de l’ADISQ en le nommant dans la catégorie « Album de l’année – Jazz création » pour son album Hekátê III.

Surnommé le « virtuose de la huit cordes » par Stanley Péan (Voir, février 2011), Thomas Carbou c’est l’effervescence Jazz mêlée à la musique du monde. Avec 13 disques à son actif et des projets diversifiés, c’est un artiste qui ne s’arrête jamais et qui est constamment en recherche de création.

L’album Hekátê III est le dernier né de la trilogie Hekátê et transcende les genres pour proposer une musique au carrefour du jazz, du folk, du rock et de l’ambiant. Sorti à l’automne 2013, il a reçu de nombreuses critiques plus élogieuses les unes que les autres.

Guitariste d’exception qui a su s’imposer sur la scène jazz montréalaise autant par son éclectisme que par l’audace expérimentale de son jeu sur une guitare à huit cordes, Thomas Carbou s’est à nouveau entouré de ses complices Eric Hove au saxophone et Jim Doxas à la batterie (brillantissime, comme toujours), pour un troisième album dans cette trilogie campée aux confins du jazz, du folk, du rock et de la musique électronique planante. Influencé manifestement par Ralph Towner et Bill Frisell, Carbou explore néanmoins un univers sonore éminemment personnel, avec un aplomb qui n’a d’égal que la remarquable cohésion dont fait preuve son trio. Un album exigeant, certes, et pourtant si séduisant à condition de s’abandonner à cette aventure musicale.
– VOIR RECOMMANDE CE DISQUE – ***1/2 – STANLEY PÉAN – 8 octobre 2013

Thomas Carbou : le guitariste renversant
Il est certainement l’un des plus impressionnants guitaristes de sa génération. Le Français Thomas Carbou vient de faire paraître Hekátê III, opus final d’une trilogie amorcée en 2011. […] Hekátê III est renversant. Voici pourquoi, en trois raisons on ne peut plus subjectives.
Une musicalité sans faille :
Bien sûr, il y a la virtuosité de Thomas Carbou […] mais il y a surtout une exceptionnelle musicalité, faite de dialogues et de phrases ondoyantes, imbriquées les unes dans les autres tant harmoniquement qu’instrumentalement. Une belle leçon de musique en trio.
Un arc-en-ciel d’influences :
Les compos de Thomas naviguent en eaux changeantes, mais sont toujours aussi fluides et rafraîchissantes. L’Afrique, l’Inde, le folk ou l’électro se croisent sous le chapeau d’un jazz bien enraciné dans le principe d’improvisation, et non dans celui, académique, d’une forme prédéterminée. Avec Hekátê III (en référence à la déesse de la Lune et de la magie Hekáte, dans la mythologie grecque), on se laisse prendre par une poésie du son quasi onirique, qui rime avec beauté de la mélodie et perfection de l’interprétation.
Le témoignage d’une indéniable maturité :
Avec cet album, la preuve est faite, si besoin était, que la scène jazz québécoise, et montréalaise en particulier, atteint un niveau de qualité qui n’a absolument rien à envier à n’importe quelle autre sur la planète. C’est fort, très fort.
– Frédéric Cardin – Espace Mu (Radio-Canada) Mercredi 16 octobre 2013

Avec une tournée à travers le Québec, plus cette nouveauté, le guitariste multi-instrumentiste Thomas Carbou offre plus que du jazz de bon aloi. En dix plages costauds qui s’écoutent comme un cycle (prévoyez plusieurs écoutes), le passage à l’acte est d’autant plus satisfaisant que l’immensité des compositions vous entraînera dans d’autres mondes. Entouré du saxophoniste Erik Hove et du batteur Jim Doxas, ce Hekate III s’inscrit dans un travail de fond, parfois surprenant.
– 4 étoiles, Christophe Rodriguez, Le JOURNAL De MONTRÉAL (5 octobre 2013)

La Symphonie Rapaillée, projet produit par Ad Litteram en coproduction avec Spectra Musique, se retrouve en nomination dans la catégorie« Album de l’année – Réinterprétation ». Ce projet d’envergure est orchestré par Blair Thompson et réalisé par Louis-Jean Cormier et Martin Léon. Il réunit douze hommes, douze grandes voix de la musique québécoise : Jim Corcoran, Louis-Jean Cormier, Michel Rivard, Richard Séguin, Daniel Lavoie, Martin Léon, Yann Perreau, Michel Faubert, Pierre Flynn, Vincent Vallières, Gilles Bélanger et Martin Léon.

Douze Hommes Rapaillés est né en 2008 sous l’impulsion de Gilles Bélanger et Louis-Jean Cormier qui souhaitaient valoriser les poèmes de Gaston Miron en les mettant en chansons.

6 années et deux albums plus tard, les douze hommes se sont réunis à nouveau pour présenter un nouvel opus regroupant douze chansons sélectionnées parmi les deux disques précédents réarrangées et brillamment orchestrées par Blair Thompson. La Symphonie Rapaillée, c’est la rencontre de la musique classique et de la musique pop.

La Symphonie Rapaillée a reçu des critiques élogieuses de la part des médias et est un coup de cœur unanime.

« La puissance poétique des mots, qui se fondait jusqu’à présent dans le vécu de voix singulières […], trouve son écho dans l’amplitude symphonique de l’orchestre. […] Prégnant mais subtil, sillonnant en méandres, l’orchestre ne cherche pas à s’imposer : il soutient, sans étouffer l’émotion. […] Ces versions voyagent en profondeur dans l’espace et les sensations. […] On cherche les failles… on n’en trouve pas. »
– **** ½ – Yves Bergeras, Le Droit

« La poésie de Gaston Miron cette fois-là prend une autre dimension avec cet ensemble de musiciens. La richesse des arrangements est touchante, la qualité des textes est reconnue. […] Un autre registre, un autre style, une réussite. C’est vraiment quelque chose de très, très bien. »
– JEAN-FRANÇOIS CÔTÉ, ICI RADIO-CANADA PREMIÈRE.

Toute l’équipe de Ad Litteram souhaite bonne chance à Thomas Carbou et à la Symphonie Rapaillée et attend avec impatience les résultats le 22 octobre prochain.