Tout le monde en parle- les invités du dimanche 1er mars 2015

Tout le monde en parle, diffusion du 1er mars 2015 - Michel Barrette et France Castel © Karine Dufour
Tout le monde en parle, diffusion du 1er mars 2015 – Michel Barrette et France Castel © Karine Dufour

Avanti Ciné Vidéo autorise la publication de ces images aux seules fins de promotion de l’émission Tout le monde en parle. Toute autre utilisation, sous quelque forme que ce soit, emporte des droits qui devront faire l’objet d’une entente préalable avec le producteur. Nous vous remercions de votre compréhension.

PLAISIR (NON) RENOUVELÉ
« Notre métier, c’est une série de deuils », philosophe France Castel, à propos de la fin de Pour le plaisir, qui s’éteindra après 8 ans et près de 1 100 émissions. Si Michel Barrette admet être un peu déçu, sa coanimatrice juge qu’il est opportun de renouveler le concept après une telle longévité. N’empêche, la complicité qui les anime laissera un grand vide dans leur quotidien et celui des téléspectateurs. Bourreau de travail devenue électron libre, France manifeste l’envie de trouver rapidement un nouveau projet, tandis que Michel aura plus de temps pour assouvir sa passion de collectionneur compulsif!

BONJOUR LA POLICE!
En se voyant confier le poste de directrice du nouveau Bureau des enquêtes indépendantes, Madeleine Giauque devient la police des polices! Son mandat principal sera d’enquêter sur les interventions policières ayant causé des blessures graves ou la mort de citoyens. Forte d’une carrière de procureure de la Couronne qui lui a permis de côtoyer de près les corps policiers, elle jure qu’elle ne tournera pas les coins ronds pour autant et que les enquêtes seront menées avec une indépendance totale. Ripoux et malfrats, gare à vous!

PLACE AU THÉÂTRE!
Si Patrice Robitaille refuse de remettre la prothèse nasale de Cyrano, il n’hésite pas une seconde à réintégrer la pièce Le prénom, qui reprend sa tournée des scènes québécoises. Serge Denoncourt, metteur en scène des deux pièces, aurait sûrement fait la même chose, estimant que Le prénom est l’œuvre la plus drôle parmi les 130 qu’il a montées. Travaillant simultanément sur de nombreux projets, le metteur en scène a du mal à expliquer le discours fataliste sur la santé du théâtre. Constatant que les salles sont pleines et que le public se renouvelle, il se questionne : « Elle est où, la crise? ».

LES MYSTÈRES DU SEXE FÉMININ
Dans La chair interdite, l’historienne et auteure française Diane Ducret offre un portrait historique, social, géopolitique et culturel du sexe féminin. Celui-ci demeure, au fil de l’histoire, un grand incompris. Objet de désir et de convoitise pour l’homme, ce dernier en a aussi toujours eu très peur. C’est ce qui expliquerait, entre autres, pourquoi il aura fallu des millénaires avant que l’organe reproducteur féminin ne fasse l’objet de planches anatomiques. C’est aussi cette peur qui est à l’origine de l’excision, de la répression du plaisir sexuel chez la femme et dans une certaine mesure, des inégalités entre les deux sexes.

EN ATTENDANT L’ÉTÉ
Le roi incontesté des émissions jeunesse, Stéphane Bellavance, élargira le spectre démographique de son public en devenant l’animateur du magazine estival Par ici l’été. Discussions, cuisine et jardinage seront au menu de ce nouveau rendez-vous quotidien qui, un peu comme Entrée principale, sera présenté en direct des plates-bandes de la tour de Radio-Canada, que Guy renomme poétiquement « jardin de seringues ». L’animateur du Gala des Jutra se dit presque prêt pour le grand soir, avec encore quelques films à voir parmi les 37 en nomination.

TASSE-TOI MONONCLE!
Jacques Villeneuve, frère de l’un et oncle de l’autre, est un passionné de vitesse. À tel point que son élocution en est imprégnée. Quand il parle, il n’a qu’une seule vitesse et c’est : très très vite! Dans un bagout déroutant, il nous raconte ses folies de jeunesse avec son grand frère Gilles, ses grandes victoires en Formule Atlantique, en IndyCar et en motoneige, mais les grandes débarques qui ne l’ont pourtant jamais ralenti. Sauf cette année, alors qu’il évoque la retraite. Le coloré casse-cou provoque l’hilarité sur le plateau par son authenticité et son sens de la répartie.