Epitaph, le quatrième album de Moriarty disponible dès le 4 mai

Moriarty - Epitaph
Moriarty – Epitaph

L’album reprend le fil là où l’avait laissé « The Missing Room » en 2011. Une musique qui s’écoute bien et qui donne le goût de danser. Un beau mélange musical avec harmonica, caisses qui résonnent, piano et guitares pour ajouter à la richesse rythmiques. Des instruments invités aussi qui vous surprendront jusqu’au sifflement, musique indienne, pluie ou l’écho.

Après une longue tournée et de projets parallèles, les voilà enfin, pour notre plus grand bonheur avec des thèmes surprenants: l’au-delà, le passage d’un monde à l’autre, la danse invisible entre les vivants et les fantômes, tout ça chanté de la belle voix angélique de Rosemary Standley que l’on écouterait à longueur de journée.

Comme les chansons sont funèbres, et que Moriarty transforme la musique en Totentanz, en danse des morts tragi-comique, ils ont décidé d’appeler l’album Epitaph, pour moquer la mort, et pour croire qu’on peut danser avec. Un album bien vivant, rassurez-vous et qui se promènera éventuellement encore à travers le monde pour partager sa bonne musique et ses idées.

Epitaph a été enregistré et mixé par Renaud Letang aux studios Ferber à Paris.

Je vous laisse Moriarty raconter leurs inspirations…

« Il y avait des enregistrements au dictaphone de morceaux improvisés une fois et perdus ensuite, capturés dans les coulisses des théâtres, les chambres et les sous-sols : “G.I. Jesus“; “Reverse“. Dans le grenier d’une ferme, nichée au fond d’une vallée alsacienne, nous avions écrit et enregistré des histoires de femmes tragiques : “Milena”; “Maybe (A Little Lie)”. En roulant à vélo à travers Kyoto, nous avions improvisé à tue-tête l’histoire d’un homme déchu, “Ginger Joe“, puis enregistré une version de cette chanson en compagnie des sorciers cajuns Mama Rosin.

Il y eut aussi l’adaptation musicale du “Maître et Marguerite” de Boulgakov, une pièce radiophonique, qui donna naissance à six nouveaux morceaux : “Across From My Windows”; “When I Ride”; “Long Live The (D)evil”; “Fire Fire“. Enfin, au retour de trois ans de tournée, nous avons posé nos valises à Paris, et laissé émerger de nouvelles chansons : “History Of Violence“; “Diamonds Never Die“.

Puis, comme à notre habitude, nous avons laissé les chansons mûrir sur scène, au contact du public, pendant une tournée de 22 petites salles en France et en Suisse avant de les présenter à la Philharmonie 2 à Paris les 24 et 25 janvier dernier. »

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