François Girard tourne Hochelaga, Terre des Âmes et célèbre à sa façon le 375e de Montréal Une production de Roger Frappier

 François Girard
François Girard

MAX FILMS est heureuse d’annoncer que François Girard réalisera un film qui sortira dans le cadre des manifestations commémoratives du 375e anniversaire de la fondation de Montréal. Conçue comme une fresque de tableaux successifs retraçant l’histoire d’Hochelaga au cours des siècles, le film tantôt épique et tantôt intimiste, veut explorer l’âme québécoise jusqu’à ses racines amérindiennes.

« J’ai imaginé HOCHELAGA comme un retour sur nos origines. Une sorte de fresque identitaire qui retrace les différentes vagues d’immigration et fait une juste place aux véritables fondateurs de notre pays : les Amérindiens. » a déclaré François Girard qui précise : « On se prépare à fêter les 375 ans de la fondation de Montréal. HOCHELAGA en célèbre 750. Une façon de dire que l’occupation du territoire a commencé bien avant l’arrivée de Jacques Cartier. »

« HOCHELAGA est un grand voyage immobile. Si l’une des prérogatives du cinéma est de nous transporter dans le temps et l’espace, l’espace est ici confiné à un seul lieu. HOCHELAGA c’est le trou d’une serrure par lequel je regarde sept siècles. »

Roger Frappier ajoute : « C’était très important pour moi qu’un artiste de stature internationale comme François Girard revienne à ses premières amours, le cinéma, et par surcroît dans son pays et sa langue après avoir essaimé de grandes réalisations et mises en scène aux quatre coins du monde tant au Japon, aux États-Unis qu’en Europe. François a écrit un scénario exceptionnel avec une structure filmique en continuité avec ses grands films que sont 32 FILMS BREFS SUR GLENN GLOUD et LE VIOLON ROUGE. »

« HOCHELAGA, TERRE DES ÂMES est une oeuvre qui rend un hommage très singulier non seulement aux 375 ans de la métropole montréalaise, mais aussi les 750 ans d’occupation de l’île. Je suis emballé que la société du 375e anniversaire de Montréal partage notre passion pour le projet au point d’investir dans la production. »