Ça peut pas être pire… de Nathalie Roy. Ce roman est comme une brise douce sur le bord de la plage en été. C’est frais, léger et ça fait du bien !

Ça peut pas être pire...
Ça peut pas être pire…

Après le succès de ses deux séries de roman chick lit précédentes, La vie épicée de Charlotte Lavigne et la Vie sucrée de Juliette Gagon, voilà que Nathalie Roy fait plaisir à son lectorat, avec un tout nouveau roman, avec une nouvelle héroïne, juste à temps pour l’arrivée de l’été. Ça peut pas être pire, saura combler les attentes de ses nombreuses lectrices. 

Résumé

Que faire quand on perd son emploi et que, le même jour, en pleine canicule, notre frigo et notre ventilateur nous lâchent ? On quitte notre 3 1/2, on se loue un chalet près du lac Memphrémagog et on vit un été pas comme les autres !

Valéry Aubé, une très jolie femme de trente-quatre ans avec quelques livres en trop, n’a absolument rien qui la retient à Montréal. Pas de job, pas de chum et même pas de chat. Elle se retrouve alors sur le bord du lac Memphrémagog pour tenter de recréer les vacances de sa jeunesse. Ces quelques semaines amèneront l’héroïne à réfléchir sur ses amours et sur l’importance qu’elle donne à son apparence.

D’avoir une nouvelle héroïne qui sort des sentiers battus et des stéréotypes des jeunes femmes des romans de chick lit, ça fait du bien. Ce roman est un pur divertissement qui donne le goût de louer un chalet en Estrie et prendre un petit verre de vin au bord d’un feu.

Ce roman est comme une brise douce sur le bord de la plage en été. C’est frais, léger et ça fait du bien !

C’est drôle à souhait avec des situations rocambolesques comme seule Nathalie Roy peut nous concocter. L’auteure nous présente des personnages attachants avec des valeurs à la bonne place. Il y a aussi dans ce roman de chick lit, un ingrédient supplémentaire qui me plait beaucoup, soit cette réflexion que Nathalie nous amène sur le regard des autres, les standards en matière de beauté, les stéréotypes que l’on doit tenter de se défaire. Et la confiance en soi, qui n’est pas toujours facile à conserver.

On y fait aussi référence à des événements récents, comme les attentats à Paris et on y reconnait des lieux connus, (en tout cas que moi je connais bien), soit les vignobles de Magog, et le fameux lac Memphrémagog. C’est toujours agréable de retrouver des lieux que l’on connait et cela ajoute de la crédibilité à l’histoire racontée lorsqu’on y ajoute des événements réels récents.

Et, une chose que j’affectionne beaucoup, c’est quand un auteur se permet de faire interagir un personnage d’un autre de ses romans, dans l’histoire présente. Et Nathalie nous fait donc revisiter un de ses personnages fétiches pendant quelques pages, et j’ai trouvé ce clin d’œil des plus pertinents et intéressant.

Donc, pour vous divertir, vous détendre, rigoler et vous donner le goût de l’été, ce livre est tout indiqué !

Nathalie Roy
Nathalie Roy

Nathalie Roy est journaliste, réalisatrice, scénariste, auteure et blogueuse. Originaire de Sherbrooke, elle a étudié les arts et technologies des médias au Collège de Jonquière.
Œuvrant dans le milieu des communications depuis plus de vingt ans, elle a un curriculum vitæ bien rempli : journaliste à La Tribune et au Journal de Québec, recherchiste puis reporter à J.E. à TVA, recherchiste et adjointe à l’affectateur et chef de pupitre aux Nouvelles TVA, reporter aux Nouvelles TVA et à Salut Bonjour, journaliste à Dans la mire à TVA, journaliste à l’émission Passez au vert à TV5, journaliste et scénariste pour des séries documentaires à Canal D, chef recherchiste à Kampaï et journaliste à l’émission Kilomètre zéro à Télé-Québec.
Fan de chick-lit et foodie invétérée, c’est par ces influences qu’est née sa première série, La Vie épicée de Charlotte Lavigne – vendue en France, en Pologne et en République tchèque –, qui a fait d’elle la « nouvelle sensation du monde littéraire québécois », selon le Huffington Post en 2013. Elle a ensuite écrit La Vie sucrée de Juliette Gagnon, une trilogie pimpante, dans la lignée de la précédente. Ça peut pas être pire… est son plus récent roman.

Le lancement du roman Ça peut pas être pire… aura lieu mardi le 17 mai, de 17h à 19h30 au Réservoir (à l’étage), 9 , avenue Duluth Est, Montréal.

 Date de parution : mai 2016
Sujet : Littérature québécoise
Nombre de pages : 336 pages
Prix 24,95 $

 

Éditions Libre Expression

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