Le bruit des mots: un premier album solo pour Laurence Castera

Laurence Castera
Laurence Castera

LE BRUIT DES MOTS | LANCEMENTS MÉDIATIQUES

15 FÉVRIER | 19H | DISTRICT SAINT-JOSEPH

(240, rue Saint-Joseph Est – QUÉBEC)

PRESTATION – GRATUIT!

22 FÉVRIER | 19H | PETIT CAMPUS 

(57, rue Prince Arthur Est – MONTRÉAL)

SPECTACLE – BILLET 20$ (un album sera offert à l’achat d’un billet!)

ALBUM DISPONIBLE PARTOUT DÈS LE 17 FÉVRIER

ALBUM DISPONIBLE EN PRÉ-COMMANDE SUR iTunes

Vous souvenez-vous de la première fois où vous avez vu et entendu Laurence Castera? C’était peut-être lors de son passage remarqué à l’émission La Voix en 2014. Ou bien grâce à sa participation au Festival international de la chanson de Granby en 2015, où il a remporté le prix du public. À moins que ça ne soit sur scène lorsqu’il était membre de la formation Automat ou en spectacle dans le cadre de sa tournée estivale de 2014 à travers le Québec. Mais, peu importe où vous avez fait sa rencontre, c’est avec son premier album solo, intitulé Le bruit des mots, que vous apprendrez vraiment à le connaître.

«Le bruit des mots est un regroupement de chansons qui ont été pour moi, chacune à leur façon, des phares et des bouées de sauvetage», explique Castera, qui s’est toujours laissé guidé par son besoin d’écrire et de mettre en musique et en mots les maux. C’est donc un album qui mélange tristesse et espoir, mélodies pop et musiques sombres et ambiantes.

Puis, il y a la quête de vérité et d’authenticité de Laurence Castera, qui transpire autant dans ses textes que dans la sonorité de l’album. Au premier extrait En attendant, sorti l’automne dernier, et à la pièce-titre de l’album s’ajoutent des chansons aux titres tout aussi évocateurs, tels que Vertige, J’te mentirais, Rien, Leurre, Fous et Le phare.

Les pièces ont été composées en 2015 et 2016 et l’album a été enregistré au studio Radicart au printemps 2016. C’est son ami et complice Francis Perron (Bears Of Legend) qui en signe la réalisation. La plupart des chansons ont été enregistrées pendant que tous les musiciens jouaient ensemble dans la même pièce afin de capter l’énergie propre à chacune d’elles. «On les jouait jusqu’à ce qu’on trouve la vitesse et la vibe qui nous plaisaient. C’était super important que tout soit le plus vrai possible, le plus proche de ce que je fais en spectacle. On a laissé des fausses notes, des trucs qui ne marchent pas, et des trucs qui marchent aussi. On n’a pas cherché la perfection, mais l’émotion», dit l’auteur-compositeur-interprète.

Le bruit des mots, c’est donc une invitation que nous lance Castera à l’accompagner dans sa détresse, ses peines, ses angoisses, mais aussi, et surtout, dans ses rêves, sa quête de bonheur et d’authenticité.