Pale Grey, nouvel extrait de son second album Waves

Pale-Grey-Waves
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Pale Grey nous dévoile un nouvel extrait de son second album Waves. Le groupe belge mélange comme personne folk-pop, introspections mélodiques, expérimentations sonores, hip hop et electronica.

Après Late Night, sur lequel on retrouvait le rappeur américain Serengeti, les singles Billy et Seasons, Pale Grey revient avec le titre Hunter, parfaite bande-son pop et romantique de l’été. Comme le notait Rolling Stone, ce morceau est une « véritable bouffée de fraicheur sonore. »

Tout juste de retour du prestigieux festival The Great Escape, Pale Grey sera cet été en tournée sur les routes de Turquie, de Belgique, Canada, France, Allemagne et Italie.

Produit par le Français Yann Arnaud (Air, Phoenix…), l’album Waves débouche l’horizon en ajoutant sur le titre Hunter un phrasé presque parlé à des rythmiques synthétiques et répétitives. On le découvre avec un clip signé David Zapata dans lequel Pale Grey nous entraine avec lui en voiture dans une ballade nocturne inoubliable.

Découvert précédemment lors des festivals européens tels que Great Escape (UK), Mama (Fr), Reeperbahn (DE), Dour (BE) ou Nuits Botanique (BE), voici Pale Grey de retour.

Enfermé dans leur studio pendant plus d’un an, le groupe revient avec une salve de nouveaux titres mélangeant folk-pop légère, introspections mineures, expérimentations sonores, hip hop et electronica.  L’univers singulier qui en émane dévoile une identité forte, combinaison de contrastes et de cohérence, de contradictions et de continuité, d’évolution et de permanence.  Chacune des chansons, dans sa sobriété et son unicité, déborde de présence et de densité, comme si toute l’histoire qui lui a donné naissance était recyclée dans un nouveau rythme, adaptée aux sonorités complexes du présent, sublimée dans la synthèse percutante des différences et des contraires.

Initié sous la forme d’échange de fichier « wave. », le travail de Pale Grey est le fruit d’une véritable collaboration.  Sous forme de jeu d’abord, d’envie d’étonner l’autre, de le surprendre, les membres s’échangent des brides de chansons, des refrains, des couplets, tout se mélange pour faire naître des chansons protéiformes où la limpidité première ne cache pas une recherche sonore et émotionnelle forte.

Au début du processus, début 2015, le groupe sort de deux ans de tournées.  Les voyages, les rencontres ont précisé et aiguisé leurs goûts.  Un appartement devient le nouveau lieu de rassemblement et le laboratoire de ce nouvel album.  Les uns y vivent, les autres y jouent, tous y expérimentent le travail de production et de recherche sonore.  La compression, la dégradation de la matière sonore, les samples deviennent les outils et moyens d’exprimer les émotions.  La mélancolie, en toile de fond, devient le vecteur qui en permet la transmission.  Pour perdurer, chaque morceau doit continuer de toucher, de porter ces sentiments que le groupe veut transmettre.

Vers le milieu de l’année 2016, le producteur français Yann Arnaud (Air, Phoenix…), rejoint le groupe.  Il perçoit rapidement le potentiel explosif de cette mixité, de ce mélange de sons chauds et froids, de la cohabitation de l’ordinateur et des instruments réels, de l’éther et du corps, deux signes distinctifs de Pale Grey qui, depuis la création du groupe, travaille à réconcilier dans leurs compositions, tant par le texte que par la musique, l’air et la terre, l’aérien et le charnel.

Peaufinées à Paris, les chansons de l’album Waves ont bénéficié d’un creuset taillé sur mesure à l’alchimie sombre et lumineuse. La fusion a opéré à plusieurs niveaux : fusion des samples, tels des hommages ; fusion de la voix et de la musique ; fusion des genres (à noter le featuring hip hop de Serengeti (Anticon, Sisyphus, Why?…), fusion de la technique la plus pointue et des imperfections chaleureuses et fertiles en un artisanat high-tech qui offre une générosité et une humanité intense.

Disponible chez Deaf Rock / JauneOrange

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