Louise Tremblay-D’Essiambre nous présente son nouvel ouvrage en quatre tomes d’une nouvelle saga historique « Les héritiers du fleuve : 1886-1893 ». Le premier tome des Héritiers du fleuve, voilà une saga incomparable comme seule Louise Tremblay-D’Essiambre sait en créer.
D’une rive à l’autre du Saint-Laurent, des familles attachantes aux destins entrecroisés voguent entre amitiés et rivalités, drames déchirants et bonheurs intenses.
Les héritiers du fleuve nous plonge au cœur de ce Québec de la fin du XIXe siècle. Grâce à l’écriture vive, colorée et unique de Louise Tremblay-D’Essiambre, le lecteur s’attache dès les premières pages à ces personnages plus grands que nature, plus vrais que la rudesse de l’hiver, plus émouvants que les larmes et les sourires qui se succèdent au rythme des marées.
Les héritiers du fleuve nous transporte sur les rives du Saint-Laurent, qu’on utilisait à l’époque comme un large boulevard. Ce majestueux cours d’eau, où les goélettes, appelées voitures d’eau, étaient le lien entre villes et villages.
Cette fois-ci, ce sont trois femmes qui sont avec elle, fin prêtes à prendre place dans son imaginaire, pour ensuite prendre vie par la magie de sa plume. Elle les écoute, qu’ont-elles à dire de cette époque où la femme n’a ni droits ni âme. Ou si peu. Sûrement beaucoup de choses, puisque les voilà vedettes de la nouvelle saga. Les trois femmes, nous dévoile l’auteure, connaîtront un parcours marqué par la passion et les tempêtes. Puis, une rencontre changera le cours de l’aventure…
Le grand fleuve relie tous les personnages entre eux, toutes ces familles aux destins entrecroisés guidés par l’honneur et la fierté, tandis que les amitiés et les intrigues se nouent au gré du vent du large. Lorsque Alexandrine, Emma et Victoire, trois amies d’enfance, trois jeunes femmes aux destinées différentes feront la connaissance de James O’Connor, un jeune Irlandais immigré, seul membre de sa famille ayant survécu à la traversée, qui habite Montréal, leur vie et celle de leur petite communauté sera chamboulée…
Sa nouvelle série, Les héritiers du fleuve, nous ramène au XIXe siècle, où la plupart des Québécois, moi y compris, ont eu des ancêtres qui sont venus d’Europe. J’étais justement à Grosse-Île en fin de semaine avec la famille Lachance : 4,3 millions de personnes y sont passés de 1837 à 1954. Plus de 10 millions de personnes en sont les descendants, ou les héritiers. La moitié du Canada vit le long du fleuve entre Québec et Windsor. C’est dire que sans le fleuve, le Canada n’existerait peut-être pas.
Grosse-Île est à voir, avec ses reconstitutions historiques. Le premier tome couvre 1887 à 1893.
Louise Tremblay-D’Essiambre écrit bien, ses personnages sont attachants, et elle fait beaucoup de recherches pour que tout soit crédible.
Les héritiers du fleuve : toute une pièce de résistance pour la nouvelle saison littéraire qui s’annonce !
J’ai dévoré cet ouvrage, le livre idéal pour bien terminer l’été. J’ai déjà hâte à la suite.
À propos de l’auteure :
Abonnée aux listes de bestsellers, dont les séries Les Sœurs Deblois, Les années du silence et la saga en douze tomes Mémoires d’un quartier, Louise Tremblay-D’Essiambre partage savamment son temps entre ses neuf enfants, l’écriture et la peinture, une nouvelle passion qui lui a permis d’illustrer plusieurs de ses romans. L’engouement du grand public pour Louise Tremblay-D’Essiambre est absolument phénoménal ! À ce jour, cette auteure québécoise a vendu plus de 2,25 millions d’exemplaires de ses 34 ouvrages précédents.
La page couverture: Toile de Daniel Brunet, Février dans Charlevoix, collection privée
En librairie depuis le 7 août 2013
Nombre de pages : 352 pages
Prix suggéré : 24,95$
Également disponible en format numérique (ePUB et PDF)
Le tome 2 : 1898-1914 sera en librairie le 23 octobre 2013
Le tome 3 : 1918-1939 et le tome 4 : 1940-1960 à venir au printemps 2014.
www.louisetremblaydessiambre.com
© photo de l’auteure: Maude Chauvin
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