Secret City Records est fier d’annoncer la parution du premier album solo de l’auteur-compositeur montréalais Daniel Isaiah intitulé High Twilight. Ce jeune homme de 32 ans a évolué sur la scène musicale montréalaise au sein du groupe Harry Rags et des formations Shoot the Moon et Percy Farm avant de prendre son envol en solo.
Cet opus aborde sans réserve des thèmes universels tels que l’amour, la mort, la sexualité et la mythologie. Sur les onze pièces, deux sont en français. Une parle de notre pays qui est sans frontière « J’habite un pays », et l’autre intitulée « Mélissa » où il couche sur papier des mots d’amour teintés de tristesse pour celle qui ne sera pas sienne, mais aimerait tant qu’elle revienne. Les neuf autres pièces en anglais sont: « Anita On The Banks, High Twilight, Emma Grace, The Naked Night, Lady Moon So Far Away, Candlemaker Row, The Hours, Ogygia, No Mean Dream ».
Les sonorités vont de l’Americana à la chanson française en passant par le Dixieland ce qui rend l’atmosphère à la fois contemporaine et indémodable. Ces pièces, tantôt feutrées tantôt rythmées, nous bercent ou nous ravivent, un bel équilibre musical.
Le livret inclus avec l’album est très sobre. Une photo de Daniel Isaiah sur la pochette où le nom de l’artiste et le titre de l’album se meurent sur un fond trop foncé. Les paroles que l’on retrouve à l’intérieur du livret sont présentées comme si on lisait un livre, j’aime le concept, c’est osé. Par contre, un seul bémol, les paroles se meurent elles aussi sur un fond trop foncé.
Plusieurs invités de marque ont participé à cet album, dont Charlotte Loseth (aka Sea Oleena) aux chœurs, Warren Spicer (Plants and Animals) à la guitare, Dave Payant (A Silver Mount Zion) à la batterie ainsi que le violoncelliste Claude Lamothe.
Le nom de Daniel Isaiah vous est peut-être familier, car il est également un cinéaste accompli. En 2008, il réalise un court-métrage intitulé « Three Mothers » lequel a récemment été primé par le A&E Short Filmmaker Award. Son plus récent projet en tant que cinéaste « L’homme qui se croyait l’eau » a été présenté à l’édition 2010 du Festival international du film de Toronto. On peut donc dire de Daniel Isaiah qu’il est un artiste aux multiples talents.
Son premier album solo sortira en magasin le 7 juin. Un spectacle-lancement aura lieu le jeudi 9 juin à 21 heures au Divan Orange à Montréal au coût de 10 $. Daniel Isaiah, un artiste à découvrir.
Divan Orange
4234, boulevard St-Laurent Montréal (Québec)
Téléphone : 514 840-9090
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