L’album Karkwa Live : le remarquable cadeau de Karkwa avant de quitter la scène

L’album Karkwa Live
L’album Karkwa Live

La formation nous a fait cadeau d’un album « live » disponible en magasin depuis le 29 mai 2012. La décision du groupe Karkwa de prendre une période sabbatique pour se consacrer à des projets personnels, ne pouvait se faire sans un témoignage de reconnaissance envers leurs fans. Ainsi est né Karkwa Live. L’album a été enregistré et arrangé suite aux deux derniers spectacles que le groupe présentait à l’automne à l’Impérial de Québec et au Métropolis de Montréal.

*Audiogram et Simone Records tiennent à remercier Musiqueplus pour l’utilisation des images captées lors du dernier concert du groupe le 17 décembre dernier au Métropolis.

« Le raffinement de ses albums studios on le retrouve ici bonifié d’une énergie cathartique. »
« Il nous permet de saisir tout le talent de la formation. »
— Olivier Robillard-Laveaux, Voir

« Des moments de vrai bonheur, pour patienter pendant la pause. »
— Jean Beauchesne, Journal de Montréal

« Karkwa Live, une obligation. »
— Jean-François Cyr, Huffington Post 

« On y sent l’énergie du public, l’émotion est palpable. »
— Geneviève Bouchard, Le Soleil

« Karkwa Live contient une demi-douzaine de titres décapants […] qui nous replongent directement dans l’antre du Métropolis ou de l’Impérial. »
« Pour reprendre l’expression consacrée : ça sonne comme une tonne de briques. »
— Philippe Rezzonico, Rue Rezzonico

« Plus vrai que ça, tu meurs! »
— Nathalie Deraspe, Flèche Mag

« L’écoute nous replonge dans l’univers de Karkwa avec nostalgie. »
— Jessica Émond-Ferrat, Journal Métro

« C’est ce qu’on ressent : cette énergie, cette passion, ce plaisir d’être sur scène. »
— Anne-Josée Cameron, Première Chaine Radio-Canada 

« C’est du Karkwa, une audace musicale, belle poésie. »
« Esthétique, admirable. »
— Jasmin Hains, Première Chaine Radio-Canada

« Beau cadeau pour les fans et belle façon de découvrir la force du groupe. »
« C’est brut, c’est fort et c’est parfait comme ça. »
— Ariane Cipriani, Espace.Mu