L’espace contemporain galerie d’art, 5175, av. Papineau, présentera du 23 avril au 5 mai 2013, « À TABLE ! », une exposition individuelle de Denise LECLERC. Le vernissage aura lieu, vendredi le 26 avril de 18h à 20h. Vous y êtes cordialement invités. Le public aura accès à la galerie aux heures suivantes : mardi et mercredi de 12 h à 18 h, jeudi et vendredi de 12 h à 20 h, samedi et dimanche de 12 h à 17 h.
L’EXPOSITION « À TABLE ! »
L’artiste Denise LECLERC nous plonge dans son univers particulier pour nous faire découvrir son travail à travers sa sensibilité du moment. L’exposition « À table ! » nous propose une suite d’oeuvres qui se veulent des anecdotes, des histoires autour d’une table, des réunions en famille, des départs, des retrouvailles… L’artiste nous ouvre les portes de son atelier et de son quotidien en nous présentant des moments mémorables de rencontres. Elle nous renvoie tout d’abord avec son regard sur le dessin et poursuit avec des temps d’arrêt sur des petits moments de vie, la mémoire d’un souvenir heureux, l’énergie des préparatifs, ou encore, l’inquiétude que tout soit parfait…
Une exposition qui nous fait pénétrer plus profondément dans des espaces du quotidien, mais nous fait percevoir notre histoire, notre culture, notre passion pour les rencontres ou tout simplement d’être ensemble dans la convivialité
L’ARTISTE – Denise LECLERC
Artiste multidisciplinaire, Denise LECLERC est bachelière en Arts visuels de l’UQAH avec une formation en graphiste. Travaillant maintenant dans le monde de l’éducation, ses concepts d’images et de messages se retrouvent maintenant confrontés vers l’épanouissement des fonds et des formes tout en conservant le pouvoir de transmettre les vibrations de la lecture et de l’esthétique du trait de crayon.
Denise LECLERC possède une démarche artistique qui analyse le dessin, qui s’impose comme une quête de l’image, s’associant à l’installation par la gravure, la peinture, le monde de l’estampe et la sculpture. C’est ainsi que le questionnement devient dessin dans l’espace, qu’il traduit avec poésie le souci du détail, en donnant la forme initialement de la pensée du moment présent.
L’image est alors apprivoisée dans son contexte et agrandie ou transformée. Tout devient mouvement sans être complètement noir ou entièrement blanc. C’est un passage illustré, dessiné dans le geste, inspiré par les différents papiers ou fonds, qui reçoivent cette impression première, comme une page blanche avant l’écriture. « La mémoire, le regard et la pensée définissent des moments précis où le processus de création devient comme un passage qui raconte ».
photo: courtoisie
