Jaja La Pizz – enfin une pizzéria dans le secteur Lebourgneuf

Denis Bernard, directeur de JAJ LA P!ZZ et Allison Toutain, chef de JAJA LA P!ZZ
Denis Bernard, directeur de JAJ LA P!ZZ et Allison Toutain, chef de JAJA LA P!ZZ

Le concept de JAJA LA P!ZZ fait du bruit… et des petits. Suite au succès retentissant de la première succursale, ouverte en 2012 au Complexe Jules Dallaire, voilà que Groupe Restos Plaisirs ajoute une deuxième adresse à proximité du Cochon Dingue et des Galeries de la Capitale, secteur Lebourgneuf. Un incontournable pour qui aime les atmosphères décontractées et une cuisine qui ose.

Qui connaît JAJA LA P!ZZ sait reconnaître la touche unique de la pizzeria sympa. D’abord la pâte : ni trop mince, ni trop épaisse, goûteuse et croustillante à souhait. Sans parler de la sauce : une sauce relevée à base de tomates San Marzano importées d’Italie, à laquelle on ajoute un mélange de trois fromages savamment dosé. La touche finale ? Des herbes fraîches et un choix parmi trois huiles épicées. Le tout accompagné d’une vaste sélection de vins au verre sélectionnés avec soin et proposés en trois formats de 4, 6 et 8 onces.

Un menu ++

Le nouveau JAJA LA P!ZZ  dans le secteur Lebourgneuf offre plus d’espace encore. Pas surprenant que le chef se soit éclaté en multipliant les plaisirs gourmands, comme ces entrées aux accents d’Italie, un choix plus vaste encore de pizzas aux noms loufoques ainsi que ces savoureuses pastas inspirées de l’unique touche du chef. Côté entrées, les nouveautés présentent un choix difficile entre les cornets de chips chaudes ou ceux de rondelles d’oignons, les tomates Mozzarina, les calmars frits – trempette de coriandre et citron – et les boulettes aux trois fromages de JAJA – fromage maison, cheddar et chèvre. Le chef ajoute aussi de nouvelles pizzas à sa carte déjà bien garnie : L’Endiablée et la En Chausson (deux dérivés des populaires Margo & Rita), la Full Fromage, la Pizza Pochette et la Bolognaise. Notons que certaines pizzas sont offertes aussi sans gluten. Autre nouveauté : la carte s’additionne d’un choix de sept pâtes – quelques-unes disponibles sans gluten – inspirées de ses fameuses pizzas. Ainsi, les pennes Berbère, parpadelles (Tout Cochon, La vie est belle, Matapédia), lasagne à JaJa et Mac Full Fromages se déclinent à l’italienne façon JAJA.

Pour emporter

Comme son petit jumeau du complexe Jules Dallaire, JAJA LA P!ZZ propose la formule pour emporter et accorde un rabais de 10% sur toutes les pizzas à emporter. On s’y arrête ou on appelle au 418.627.4334

Ambiance lounge et branchée

Côté décor, un design urbain au look industriel – signé LEMAYMICHAUD – en jette. La cuisine ouverte permet de garder un œil sur le travail des chefs tout en contribuant à l’ambiance conviviale et à l’abondance de lumière naturelle. Sur fond neutre, on ose les accents de couleurs en rouge, jaune moutarde et bleu. Chaises bistro et fauteuils de cuir à effet lounge assurent un plus grand confort et toujours la même convivialité.

À vos marques !

Situé au 5400, boulevard des Galeries, le dernier né de JAJA LA P!ZZ  peut accueillir, midi et soir, plus de 140 personnes à l’intérieur et plus d’une centaine en terrasse, les jours ensoleillés. Si l’atmosphère est relax, l’équipe l’est aussi. Denis Bernard – directeur et sommelier  et le chef Allison Toutain tiennent le phare des deux adresses avec autant de dextérité que celle avec laquelle le chef fabrique ces pizzas un brin funky dont la recette reste le secret le mieux gardé en ville.

JAJA LA P!ZZ fait partie du Groupe Restos Plaisirs. Unanimement reconnu comme précurseur et chef de file de la restauration québécoise, le Groupe Restos Plaisirs regroupe, en plus des deux JaJa La P!zz, le Café du Monde, les quatre restaurants Le Cochon Dingue, Le Petit Cochon Dingue, Le Paris Grill et Le Lapin Sauté. À ce jour, il emploie près de 650 travailleurs. Depuis 1987, le Groupe Restos Plaisirs persiste dans sa mission première qui se résume à séduire le client et c’est l’atteinte quotidienne de cet objectif qui est au cœur de sa réussite exceptionnelle.

Crédit photo: Marc-Éric Baillargeon