BERNARD
LE GRAND
Présenté en première partie du long-métrage
1987 de Ricardo Trogi
Écrit et réalisé par
Philippe Lupien
& Marie-Hélène Viens
Produit par
Fanny-Laure Malo
Mettant en vedette
Elliot Miville-Deschênes
et Louise Laparé
En salle partout au Québec
le 8 août prochain!
Les Films Séville, une filiale d’Entertainment One, ainsi que La Boîte à Fanny sont fiers de présenter le court-métrage BERNARD LE GRAND en première partie du long-métrage 1987 de Ricardo Trogi, en salles dès le 8 août partout au Québec. Le film est produit par Fanny-Laure Malo en collaboration avec René Malo et réalisé par Philippe Lupien et Marie-Hélène Viens. BERNARD LE GRAND sera également projeté lors de la grande première de 1987 dans la ville de Québec, le 30 juillet prochain, ainsi qu’à Montréal, le 4 août, en présence des réalisateurs.
BERNARD LE GRAND a participé à de nombreux festivals prestigieux. Au pays, notons Regard sur le court-métrage, et le Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue. Son parcours américain inclut le Nashville Film Festival, Seattle International Film Festival et New York Short film Festival. À l’international, il est passé par la Chine, le Japon, la Bulgarie et l’Italie. BERNARD LE GRAND fût aussi de la sélection Talent tout court de Téléfilm Canada au festival de Clermont-Ferrand, ainsi que de la sélection Québec Gold qui permet au court-métrage de voyager à bord des avions Air Canada, ainsi que d’être diffusé en plein air à la place de la Paix cet été.
BERNARD LE GRAND | Court-métrage réalisé par Marie-Hélène Viens et Philippe Lupien, est une production de la Boîte à Fanny et met en vedette Elliot Miville-Deschênes (La Galère, la théorie du K.O.), Louise Laparé (Coteau Rouge, Un dimanche à Kigali, Les Plouffes), Carmen Sylvestre (les Détestables), ainsi qu’une narration de Gilles Renaud.
Le film continue sur sa belle lancée en accompagnant 1987 sur les grands écrans québécois à partir du 8 août prochain.
Synopsis | Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de Bernard, mais il n’en est pas heureux. Depuis sa naissance, ses parents veulent le voir grandir et vieillir vite, oubliant qu’il est un enfant. Dans un monde atemporel où les adultes sont froids, stoïques et égoïstes, Bernard ne voit aucune raison de devenir grand si c’est pour leur ressembler. Une idée lui vient en tête : se construire un habit anti-grandissement. Le jour de son anniversaire, Bernard va confronter le monde adulte. Aujourd’hui il va avoir 10 ans… et il n’en est pas question.