Mario Peluso prépare sa rentrée montréalaise

Mario Peluso et ses Hobos Hurleurs
Mario Peluso et ses Hobos Hurleurs

Au dernier MIDEM de Cannes, Mario Peluso avait livré une prestation remarquée au Morrison Club devant le gratin de l’industrie musicale internationale (managers, éditeurs, etc.). Puis, il est revenu au Québec, juste à temps pour cueillir une nomination de l’ADISQ dans la catégorie « Album de l’année – Country »

Fort de cette nomination, Peluso et ses fidèles musiciens, les Hobos hurleurs, feront leur rentrée montréalaise lundi 9 novembre, au Lion d’Or, dans le cadre du prochain Coup de cœur francophone. L’auteur-compositeur-interprète, déjà lauréat du Prix Québec/Wallonie-Bruxelles du meilleur disque, sera alors entouré de Richard Boisvert (à la guitare), de Richard Deschênes (à la contrebasse) et de Martin Landry (aux percussions). Se joindront à ce quatuor plusieurs invités choisis tant pour leur talent que pour leur authenticité coutumière.

Complices, doués et râleurs, ils régénéreront ce qu’ils nomment « la manière Peluso », soit un style rugueux, plaintif et graveleux, fait «d’histoires singulières et d’airs vintage» comme l’a noté La Presse+ à la sortie du plus récent opus de l’auteur-compositeur-interprète.

Signé par BMG il y a quelques années, interprété par les plus grands (Richard Desjardins, Isabelle Boulay, Renée Martel), Mario a vu plusieurs de ses chansons (La Lune, J’ai mal à l’amour) s’écouler à des centaines de milliers de copies à travers la francophonie. Au fil des ans et de ses sept disques, il est néanmoins toujours resté comme il est. Libre comme le vent, roulant sa bosse de l’Abitibi à Cannes, que ce soit pour chanter La lune ou sa Long Walk Home, déplorer le sort de la C.I.P. ou avouer en avoir Plein l’cul. Avec, comme fil d’horizon, ses airs country-rock et ses mélodies d’Americana à la Neil Young.

Sacré Mario Peluso! Jamais dompté, toujours sauvage, nulle part où on l’attend. Excepté pour sa rentrée montréalaise avec les Hobos hurleurs, le 9 novembre, au Lion d’Or.