Un autre beau et talentueux jeune auteur-compositeur fait sensation de ce temps-ci. Il s’agit d’Aliocha Schneider, acteur franco-canadien, né à Paris, mais qui a grandi au Québec.
Son EP réunit une belle sonorité de folk-pop aux accents sixties et americana. Vous pouvez déjà entendre son premier extrait «Sorry Eyes » qui vous donnera automatiquement le goût de poursuivre votre découverte musicale avec lui. L’album a été réalisé par Samy Osta (Feu! Chatterton, La Femme), il comporte six pièces enregistrées en Suède à Göteborg ainsi que dans les studios d’Osta à Paris.
« Sorry Eyes, Sarah, Flash in the Pan, Into The Wild, The Year, Let Me Laugh »
À propos d’Aliocha
En 2012, Jean Leloup est devenu son premier mentor, ils ont enregistré quelques maquettes ensemble, ce qui a mené Aliocha à s’associer avec la maison très renommée «Audiogram »reconnue pour la qualité de ses chanteurs et chanteuses. Ces derniers quatre ans, Aliocha a perfectionné son art entre Montréal, Paris et Los Angeles.
Avant de chanter, Aliocha a joué des pièces de théâtre, entre autres au Théâtre du Rideau Vert. À la télévision (Tactik, Les Parent) alors qu’au grand écran, les cinéastes Léa Pool (Ma mère est chez le coiffeur et La dernière fugue) et Robert Morin (Les 4 soldats) l’ont dirigé.
Il est de la distribution de deux longs-métrages présentés au dernier Festival international du film de Toronto (TIFF) : Closet Monster, (prix du meilleur film canadien) et Ville-Marie, (avec l’actrice Monica Bellucci). Aliocha compte d’ailleurs parmi les nouveaux protégés du programme Rising Stars du TIFF, qui se vante de dénicher les prochaines stars canadiennes du septième art?!
SPECTACLES
Le 17 septembre à 19 heures à Québec dans le cadre du Festival Saint-Roch Expérience (Première partie de Final State) au district St-Joseph.
http://imperialbell.com/District-Saint-Joseph/District-Saint-Joseph/Programmation
Le 13 octobre Aliocha aura le grand privilège de présenter un spectacle au MAMA à Paris (Théâtre de Latalante) à 20 h
Le 18 novembre à Trois-Rivières (En première partie de Bernhari)
