Après, la mort, savez-vous ce qui vous attend?

Après, la mort, savez-vous ce qui vous attend?
Après, la mort, savez-vous ce qui vous attend?

Le livre :

Au moment de notre mort, qu’allons-nous vivre? Qu’est-ce qui nous attend de l’autre côté du voile ? La mort nous fascine depuis toujours. Bien plus qu’une simple curiosité naturelle, il s’agit là d’un appel de notre être à chercher des réponses, car non seulement celles-ci nous aident à nous abandonner en toute confiance au processus de la mort, mais elles nous permettent aussi de mieux vivre notre quotidien et de mieux accompagner les êtres chers qui doivent affronter la mort. Forte de sa vaste expérience et de ses recherches personnelles notamment dans le domaine scientifique, l’auteure nous partage une vision de la mort fondée sur un sens profond; une vision remplie d’amour et de compassion pour tous ceux qui aspirent à découvrir toute la grandeur de ce passage, aux apparences parfois si effroyables.

Au fil des pages, nous découvrons les étapes du passage de la mort. Nous apprenons comment se prépare et se déroule ce processus, ce qui survient au moment même de la mort, et après, lorsque nous sommes parvenus dans l’au-delà. Le chemin à parcourir, les êtres qui nous accompagnent et ce que nous y accomplissons, tout cela et bien plus encore nous est dévoilé. La justesse du propos, la profondeur de la réflexion et la pertinence des exemples choisis, non seulement participent à démystifier les nombreuses croyances entourant la mort, mais font de ce livre un ouvrage incontournable pour quiconque est touché ou intéressé par la mort.

Ce qui nous attend après la mort dépendra de ce que nous avons accumulé dans nos bagages, de notre état de conscience et de ce que nous avons cultivé dans notre vie. Voilà pourquoi il est si important de comprendre ce passage avant que la mort ne survienne.

L’auteur :

Détentrice d’un baccalauréat en droit, d’un diplôme en droit notarial et d’un certificat en enseignement, Sylvie Ouellet a pratiqué la profession de notaire durant cinq. Elle a été enseignante et formatrice au Cégep et à L’ÉNAP. Intéressée par la psychologie, la parapsychologie et la spiritualité, elle a suivi de nombreuses formations et elle mène une quête personnelle depuis plusieurs années. Son cheminement intérieur l’a amenée à vivre des expériences d’accompagnement d’âmes désincarnées. Elle donne régulièrement des conférences et des ateliers. Elle est l’auteure de 3 livres, Ils nous parlent, entendons-nous? J’aimerais tant te parler qui sont devenus des best-sellers et Bienvenue sur Terre, et la coauteure du livre Pétales de vie.

Extrait Après la mort, qu’est-ce qui m’attend?(p. 41-43)

Signes subtils et apparents

Pour plusieurs, l’idée de se préparer à la mort semble tout à fait improbable et même quasi impossible. Cela se comprend aisément si nous tentons de saisir la question du strict point de vue matériel. Comment pourrions-nous en effet nous préparer à cette éventualité, alors que nous n’en connaissons pas les tenants et les aboutissants ? Comment pourrions-nous en reconnaître les signes avant-coureurs, alors que nous n’avons aucune idée du type de mort ni du délai dans lequel elle surviendra ? Il ne fait aucun doute qu’il s’avère extrêmement difficile de concevoir la planification qu’avec nos yeux humains. Pour découvrir l’ampleur du mouvement de préparation et les nombreux signes qu’il laisse au passage, il faut changer de perspective et observer avec les yeux du cœur. Certes, ces signes s’avèrent difficilement mesurables et interprétables avant la mort. Notre personnalité a peine à en comprendre leur signification au moment de leur manifestation, car elle manque des informations importantes. Ainsi, c’est pratiquement toujours après le constat du décès que le sens de ces signes se révèle clairement. Les plus sceptiques diront ici qu’il est facile de conclure que notre perception est biaisée et que nous utilisons les événements pour tirer la conclusion et l’apparence de signes prémonitoires. D’autant plus que, du point de vue médical, il n’est en ce moment pas encore possible de prédire le moment exact de la mort. Alors, comment pourrait-on accorder foi à des signes préalables à la mort qui, dans bien des cas, ne peuvent être mesurés et quantifiés rigoureusement ? Cependant, il faut remettre les choses en perspective. La médecine ne traite que le corps. Elle n’a pas encore intégré l’aspect immatériel de l’être dans ses conclusions. De plus, depuis plusieurs années, la science s’intéresse à de nombreux phénomènes qui surviennent avant la mort, dont certains signes avant-coureurs et les expériences de conscience accrue (ECA), dont nous reparlerons plus loin. Enfin, ce que la science commence à découvrir à propos de la préparation à la mort est reconnu depuis fort longtemps dans les enseignements ésotériques. Alors, ce grand mouvement préparatoire n’a rien d’une fabulation, même si c’est indubitablement la mort qui nous permet de comprendre la plupart des signes reçus ou à tout le moins d’y trouver une certitude.

Bien qu’il faille rester vigilant pour ne pas voir des signes là où il n’y en a pas, il n’en demeure pas moins qu’en observant de manière objective de nombreux événements qui se sont produits avant le décès d’une personne, il appert qu’aucune autre explication logique à la préparation à la mort ne peut être formulée. En voici un exemple :

Je retourne à la maison

Dans le livre Ils nous parlent… entendons-nous ?5, je raconte en détail une communication d’âme à âme que j’ai vécue avec mon grand-père. J’étais en méditation lorsque l’âme de mon grand-père est venue me demander de transmettre un message à ses enfants. Or, à ce moment, il était encore en vie. Cette communication s’est passée autour du 12 décembre et mon grand-père est décédé le 28 de ce même mois. Après ma méditation, je n’étais évidemment pas en mesure de comprendre ce qui se passait. Aux dernières nouvelles, mon grand-papa n’était pas mourant et son état de santé était relativement bon. Je ne pouvais donc avoir la certitude absolue que la communication avec lui était préparatoire à une mort imminente, même si tout y était présage. Pourtant, je me souviens d’avoir éprouvé ambivalence et doutes quant à cette communication.

Quelques jours plus tard, j’ai appris que mon grand-père avait fait un petit AVC le jour où il est entré en communication avec moi. Avec l’éclairage de cette information, je me suis dit que c’était parce que mon grand-père avait frôlé la mort que nous avions pu avoir cette communication. Puis, le 28 décembre, au moment de sa mort, mon grand-père m’a offert le privilège de l’accompagner en énergie. Plus tard, ce soir-là, lorsque j’ai reçu l’appel de ma mère m’informant du décès de mon grand-père, j’ai pu comprendre un bout de l’histoire vécue avec grand-papa. Puisqu’il avait toujours eu très peur de la mort, les communications que nous avions eues ensemble avaient eu lieu pour le préparer à vivre ce passage et pour qu’il se sente accompagné et soutenu.

Puis, voilà que d’autres indices sont venus confirmer cette hypothèse. Après la mort de mon grand-père, ma mère, qui s’occupait de l’administration de ses affaires, m’a raconté qu’au début du mois de décembre, mon grand-père s’est mis à lui répéter : « Je ne veux pas que tu fasses le chèque pour le loyer du mois de janvier, car je retourne à la maison. Tu m’as compris. Ne fais pas de chèque pour janvier. » Comme mon grand-père possédait encore la maison familiale, ma mère a alors cru qu’il souhaitait y retourner. Cependant, son état de santé ne lui permettait plus d’y vivre. Connaissant bien son père, ma mère a décidé d’attendre à la dernière minute pour compléter ce chèque, histoire qu’il réalise de lui-même qu’il ne serait pas en mesure de retourner dans sa maison comme il le disait.

Cependant, l’avenir a donné raison à mon grand-père. Il est rentré chez lui avant janvier et ces mots n’avaient rien à voir avec sa résidence matérielle ! Il avait prévenu ma mère, car il savait inconsciemment qu’il n’occuperait plus sa chambre en janvier. Ainsi, ce n’est qu’après la mort de grand-papa que j’ai pu mettre tous les événements qui sont survenus les uns à la suite des autres et c’est là que le sens est apparu : l’âme de mon grand-père s’est vraiment préparée à ce passage. Par surcroît, elle nous en a donné des signes pour que nous puissions nous aussi nous y préparer et l’aider à vivre ce passage de manière plus harmonieuse. Je lui suis tellement reconnaissante de m’avoir permis de participer à ce grand mouvement de la vie. Ce n’est qu’au fur et à mesure que j’acquiers des clés de compréhension sur ce thème que je mesure l’ampleur du cadeau qu’il m’a alors offert et je sais que je n’ai pas encore fini de m’exclamer…

La mort nous apporte bien souvent l’élément indispensable pour trouver le sens à de nombreux événements passés inaperçus ou qui ont su attirer notre attention sans que nous en comprenions réellement le sens. À ce sujet, de nombreuses personnes qui œuvrent auprès des mourants témoignent d’histoires similaires à celle de mon grand-père. Chaque âme prépare le passage vers l’autre monde. En apprenant le langage de l’âme, nous pouvons beaucoup plus facilement observer et surtout comprendre les messages qu’elle cherche à nous transmettre.

Même si ce n’est souvent qu’après le départ d’un être cher que nous pouvons constater l’ampleur et la grandeur de toute l’orchestration derrière un signe, cela ne doit pas remettre en cause le signe lui-même. D’ailleurs, certains scientifiques l’ont bien compris et ils ont consacré plusieurs heures à observer ces phénomènes pour en comprendre les fondements.

Une conscience accrue

La similitude entre certaines histoires de fin de vie nous incite à voir bien au-delà d’une manifestation du hasard. De nombreuses personnes ont vécu un événement particulier qui s’est produit avant le décès d’un proche. Parfois même, c’est un animal de compagnie qui arrive à pressentir la mort de son maître ou d’une personne dans son entourage. C’est le cas notamment d’un célèbre chat, Oscar, qui a été accueilli dans un département de soins gériatriques d’un hôpital du Rode Island aux États-Unis pour tenir compagnie aux personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer6. Rapidement, quelques membres du personnel soignant ont remarqué qu’Oscar, habituellement très solitaire, avait un comportement assez particulier dans les dernières heures de vie des patients du département. Oscar semblait en effet comprendre que la fin d’une personne arrivait, et ce, malgré des pronostics médicaux contraires. Quelques heures avant la mort, il quittait son refuge solitaire et s’allongeait auprès de l’être qui s’apprêtait à partir. Il y demeurait jusqu’à ce que ce dernier ait rendu l’âme. Au fil du temps, il devint évident que le comportement d’Oscar n’avait rien d’aléatoire. Au contraire, il avait même à plusieurs reprises déboussolé l’équipe médicale. En effet, il est arrivé qu’Oscar se rende auprès d’un patient qui ne semblait pas prêt à partir, de l’avis des soignants, mais, chaque fois, il avait vu juste, laissant tout l’entourage complètement coi.

David Dosa, gériatre, qui a pu observer le comportement d’Oscar, croit qu’il parvenait à détecter un changement dans les composantes chimiques que libère un corps avant la mort grâce à son odorat très fin. Bien que cette conclusion n’ait rien de scientifique, il n’en demeure pas moins qu’il est reconnu que les animaux captent des informations qui passent inaperçues pour la majorité de nos sens humains.

Tournée de conférences – Hiver et printemps 2012

Après la mort, qu’est-ce qui vous attend?

(détails sur www.sylvieouellet.ca)

 

Gatineau –                29 février 19 hres: Cabane en bois rond

Buckingham –                  2 mars 19 hres: Boutique l’Énergie du Cristal

Laval –                       4 mars 13 :30 hres: Centre comm. Champfleury

Trois-Rivières –               13 mars 19 hres: Restaurant Normandin

Drummondville –   20 mars 19 hres: Centre Pierre-Lemaire

Napierville –            10 avril 19 hres: Boutique Mon Ange

St-Hilaire –               11 avril 19 hres: Salle Amaryllis

Rivière-du-Loup – 17 avril 19 hres: Hôtel Lévesque

Edmundston –                  18 avril 19 hres : Salle des pompiers

Dieppe –                    24 avril 19 hres: Collège comm. du N-Brunswick

St-Nicolas –               29 avril à 13 :30 : Hôtel Comfort Inn

Sherbrooke –                   1er mai 19 hres: Jardins de Ville

Ste-Marie –               2 mai : Hôtel La Différence

Rimouski –               5 mai: endroit et heure à confirmer

Chicoutimi –            8 mai 19 hres: Centre des congrès Le Montagnais