Le Bal littéraire : une histoire à danser debout? le samedi 2 avril à 20 h à la Maison de la littérature
(40, rue Saint-Stanislas, Québec)?Entrée : 13,20 $ – 15,60 $ billets en vente sur Billetech ?ou par téléphone, à la Maison de la littérature : 418 641-6797
Le printemps s’annonce entraînant à la Maison de la littérature ! Le samedi 2 avril, la Coopérative d’Écriture (France) nous propose un Bal littéraire. Un concept unique qui a fait ses preuves avec près de 300 représentations à travers le monde depuis une dizaine d’années. Pour cette performance à Québec, ce projet de dialogue entre littérature et chansons populaires rassemblera, sous une boule disco et devant une foule prête à tous les déhanchements, les Français Eddy Pallaro et Emmanuelle Destremau ainsi que les Québécois Maxime Robin, Joëlle Bond et Laurie-Ève Gagnon. Ici, les spectateurs-danseurs sont invités à écouter sagement chaque texte et à danser follement sur chaque morceau – et pas le contraire !
Le Bal littéraire est une histoire à danser debout. Cinq auteurs se réunissent à l’aube autour de litres de café et d’une réserve de leurs chansons préférées. Ils dressent ensemble une liste de dix morceaux de musique populaire (et dansante !). Puis, ils inventent une histoire répartie en chapitres qu’ils écrivent en quelques heures. Règles du jeu?: chaque chapitre doit se terminer par le titre de la pièce musicale qui suit. Un beau défi de terminer un texte par Papaoutai, Paradis City, Poker Face, etc. Après ces longues heures de travail, les spectateurs sont prêts à entrer en piste au son de la musique, et les auteurs, sous les projecteurs, livrent à plusieurs voix cette histoire unique, écrite dans un temps record et entrecoupée de mélodies enivrantes. Que nous réserve le Bal littéraire de la Maison ? Conte d’horreur, histoire abracadabrante, ballade amoureuse, comédie romantique ou récit de science-fiction… C’est une surprise. Une surprise dont les auteurs n’ont encore pas la moindre idée, mais qui vaudra le coup d’être vécue.
Bal littéraire : https://www.youtube.com/watch?v=Rjxzck2W6GU
Créée il y a une dizaine d’années, la Coopérative d’Écriture (France) est composée de 13 écrivains-fondateurs qui, tous, sont publiés, joués et traduits, et qui ont voulu se confronter à l’écriture collective. Chacun possède sa propre esthétique, ses obsessions, ses préférences, ses engagements ; bref, son art. L’expérience collective permet à chacun d’éprouver, en collectif, sa pensée et son écriture, de les questionner à plusieurs en associant souvent les dispositifs d’écriture à d’autres pratiques artistiques comme la danse ou la musique.?Coopérative d’Écriture : http://www.fabricemelquiot.fr/La-Cooperative-d-Ecriture
D’autres événements à surveiller très bientôt à la Maison de la littérature :??Une détonante soirée entre oral garage et rock sale avec Duo Camaro, de Trois-Rivières, le samedi 30 avril. Pour chacun de ses spectacles, cette formation, composée d’Alexandre Dostie et Pierre Brouillette-Hamelin, revoit les instruments qui se trouvent sous le capot de ses chansons. ?https://duocamaro.bandcamp.com/ ?Duo Camaro – samedi 30 avril à 20 h?
Les 5, 6 et 7 mai, la Maison vous propose de faire une petite pause du monde surchargé d’images qui nous entoure avec Fuck toute, un spectacle sonore et… invisible. Ici, la musique – puissante – et les textes – magnifiques – tirés de brûlots poético-politiques et de blogues anonymes vous inviteront à lancer un gros et poétique Fuck à ce qui veut se substituer à la pensée, à la créativité, à l’humanité, à l’amour.
Fuck toute – 5, 6 et 7 mai à 20 h ?Conception du spectacle : Catherine Dorion et Mathieu Campagna.??? La Maison de la littérature? – Composante majeure de la Bibliothèque de Québec, la Maison de la littérature est un concept unique en Amérique du Nord : un lieu de création, d’animation et de diffusion vouée à la littérature et à l’écriture. La Maison de la littérature est un espace de rencontre entre les citoyens, les écrivains et les créateurs en arts littéraires. Elle est issue d’un partenariat entre la Ville de Québec et L’Institut Canadien de Québec qui la gère.
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